Avant Vatican 2, Mai 68 et la
déconnexion du dollar de sa parité or, il y avait eu les accords de
Bretton Wood qui avaient fait du dollar, une mannaie privée dont la
valeur a toujours été dtéerminé par le consortium de banques dui
en sont les administrateurs via uun arganisme fédérateur privé :
La Fed. Le ver était dans le fruit : l’hégémonie d’une monnaie
privée ayant permis à ses propriétaires d’être les créanciers de
nombreux états en utilisant la protection et la puissance militaire
des États-Unis, et en prêtant de l’argent que les banques
concernées n’avaient pas, il s’en est automatiquement suivie une
situation d’endettement endémique des débiteurs dont les
remboursements paient juste les intérêts mais ne permettant pas de
récupérer le capital dévalué, ce qui les contraint à s’endetter
encore, jusqu’au jour où l’insolvabilité de tout le monde fait que
le système s’écroule.
Pour servir de matels et de gisement
bon marché permettant une création de valeur ajoutée bon maché à
des produits devenus non-rentables, la Chine a permis aux Etats-Unis
de différer leur situation de faillite.
Mais la Chine se trouvant elle-même en
situration de déflation depuis la politique séro-COVID qui n’a par
réussi à stropper la spirale créée par l’éclatement d’une
énorme bulle immobilière, on peut s’attendre à une réaction en
chaîne, comme dans une fission atomique !
Le problème, c’est qu’on est sous les
bombes.