Le Conseil d’Etat se base sur la jurisrudence dans le sens du ’’progressisme’’, il sanctionne les mesures sécuritaires et approuve les mesures libertaires.
Le cas cité dans l’article dépasse le Conseil d’Etat, et interroge sur l’institutionnalisation des lubies comportementales, sous l’influence d’une minorité d’intellectuels et artistes qui ’’font l’esprit de l’époque’’ (Zeitgeist).
Une forme de despotisme prétendument éclairé de l’intelligentsia.
Des mesures incitatives (par ’’élicitation’’) sur les enfants manipulables, sont une dérive dangereuse. Malheureusement il y a une sorte d’endoctrinement collectif qui conduit à ne pas oser contester ce qui est présenté comme une évolution dans le sens de l’ouverture, de la tolérance, du progrès des idées.