@gruni
En période de guerre il n’y a guère de chef d’Etat qui ne soit pas un « dictateur »,
que ce soit par vocation ou par nécessité : c’est encore un simple
constat. Et la guerre que l’Occident mène contre la Russie, qu’elle soit « froide »
ou chaude brûlante comme aujourd’hui, est quasi-permanente depuis le XIXème
siècle, en fait, et cela ne changera qu’avec l’effondrement de cet « Occident
collectif » désormais combattu non seulement par la Russie mais par bien d’autres
nations éprises d’indépendance de par le monde, dont les BRICS sont l’une des
expressions.
Aujourd’hui, donc, exit le Kollabo Nadejdine, semble-t-il, même si cela reste
à confirmer.
La manière est peut-être inélégante mais le fait est simplement qu’elle n’aurait
pas été possible s’il avait réuni 300 000 signatures ou plus.
Dans cette affaire, donc, Poutine en « dictateur » avisé pour la
défense de son pays ne fait que gagner du temps en exploitant simplement le
point faible de cet ennemi de la Russie.
La confirmation définitive est encore à venir mais cela semble bien être la
fin de cette escarmouche, effectivement. Une « lanterne » redevenue la
« vessie » qu’elle était au départ. Une anecdote, au regard de l’histoire,
même si elle vous « conforte » dans vos certitudes, qui ne sont « rassurantes »
que pour vous.
Luniterre