Juste deux choses en passant, parce que le sujet me touche.
Il n’y a pas que des « fous » en hôpital psy, je m’explique.
On y trouve des gens en « simple » dépression, des gens comme vous et moi, si nous pouvons vous et moi être considérés comme « normaux » - ce qui reste à prouver -, des gens donc qui ont vu leur vie basculer pour surmenage, rupture, deuil, allaitement, que sais-je. Méfiez-vous donc, un petit tour et puis s’internent les pauvres marionnettes que nous sommes.
On y trouve également du « personnel », qui a bien raison de se plaindre, mais pas seulement. Je ne peux m’empêcher de penser à cette compagnie de théâtre de l’hôpital de Ville-Evrard, à Neuilly-sur-Marne, qui entre autres activités professionnelles prend en charge des petits groupes de volontaires pour jouer un peu au milieu de ce territoire de désolation.
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Des gens motivés pour améliorer la vie d’un pareil lieu, il en existe donc, malheureusement peu soutenus, et toujours sur la brèche.
A qui la faute ? Qui est fou dans cette histoire ?
Alexe