Il subsiste toutefois une lueur d’espoir chez les labels indépendants : j’ai acheté le dernier album de la Ruda (paru chez Irfan) à 10 euros (en concert), et un de mes amis l’a acquis chez un disquaire d’Angers pour la modique somme de 7.75 euros...
Et le Ruda n’est qu’un exemple parmi tant d’autres d’artistes qui migrent de grosses boîtes (ils ont commencé chez Sony) vers des petits labels sans perdre pour autant leur public et tout en continuant d’en vivre.
Le parallèle de la musique avec ce qu’a connu le jeu de rôle il y a quelques années est évident : à présent on trouve d’aussi bons jeux chez Hexagonal (distributeur français des jeux de White Wolf, offrant des livres soignés) que chez Phenix editions (plus roots) ou même en PDF sur indie-rpg.net. Le parallèle avec « CDs soignés / CDs plus simples en petites structures / mp3 » me semble évident. Que retenir de tout ça ? Que le jdr n’est pas mort !