Je crois que le décalage que l’on observe dans les commentaires vient d’une méconnaissance de ce qu’est devenue la stratégie publicitaire en 50 ans. Rien ne doit être laissé au hasard, tout est calculé, « la trivialité » comme « l’apprêté négligé ».
C’est pourquoi il me semble que le discours publicitaire ne doit pas être laissé sans réponse, sous peine que s’installent des « idées reçues », qui ne doivent leur validité qu’à leur répétition sans rencontrer d’objection : « une erreur inlassablement répétée finit par prendre des airs de vérité ».
Et pour cela, quelques termes techniques, sans tomber dans le jargon ni le formalisme, sont inévitables.
Merci, cher Renaud Delaporte, d’apporter tout le poids de votre expérience. Paul Villach