Le propos n’est pas de mettre Poutine, Deby ou Kadhafi dans « le même sac ». Ils n’ont rien en commun.
Le propos est de s’étonner d’un enchaînement d’évenements récents (amitiés à Deby, félicitations chaleureuses à Poutine et accueil non moins chaleureux de Kadhafi) qui eux ont en commun le fait qu’on puisse les trouver déplacés.