Du bon usage d’Agoravox, de Rue 89 et de quelques autres sites...
En servant de défouloir à quelques esprits fanatiques et arriérés (voir ci-dessus) que ni les témoignages, ni les aveux, ni les preuves matérielles (si on leur en fournissait) n’ébranleraient puique leur conviction quant à l’innocence du « Patrick Dills de Cargèse », du « Dreyfus Corse » est de l’ordre de la FOI, et non de la raison, ces sites jouent un rôle thérapeutique essentiel : ils détournent la majorité de ces êtres en état de « souffrance mentale » (je n’emploierai pas le mot de « folie » qui conviendrait mieux dans un souci d’apaisement...) d’actes délictueux qu’ils seraient susceptibles de commettre.