Vous avez pleinement raison, d’ailleurs je partage votre révolte. Mais le relativisme que vous évoquez ne se porte aucunement sur le drame de ces fillettes. Comment le pourrait-on ?
Non, le mot « comprendre » que vous citez se rapporte aux parents. Car, contrairement aux idées reçues, les parents de ces fillettes ne se séparent pas naturellement de leurs enfants.
Chercher à comprendre pourquoi pas ces parents abandonnent leurs enfants, ce n’est pas accepter l’inacceptable, c’est au contraire travailler à ce que cela ne se produise plus.