"""une procédure en diffamation envers la journaliste et l’éditeur était la seule qui aurait visé à démentir les propos prêtés,"""
Il n’y a pas de "propos prêtés" : la journaliste, qui fréquente Cécilia depuis 2002, a fourni ses notes à l’audience ! Vous fantasmez. Il n’y a pas diffamation non plus, car il n’y a pas intention de nuire (la journaliste est de bonne foi.) Mme ex-Sarkozy ne peut s’en prendre qu’à elle-même. Elle demandait l’interdiction du livre à peine d’astreinte de 200 000 € par exemplaire vendu. Elle a eté déboutée de sa demande.
Un extrait de l’ordonnance du juge des référés (trouvé sur le net, donc...) : la "mesure d’interdiction, même temporaire, serait manifestement disproportionnée, d’autant plus que le livre était déjà mis en vente lors des débats, ainsi que plusieurs magazines hebdomadaires publiant de nombreux extraits de l’ouvrage incriminé sans faire eux-mêmes l’objet de poursuites".