peut-être le mot n’est il pas juste, mais bien significatif.
Là où la prévention engage le processus d’information par le bouche à oreille, par le travail des associations, par concertations / décision entre les parties responsables...une loi impose la fin d’une certaine souplesse et se traduit immédiatement par ce mode que j’appelle : répression.
Cette affaire démontre à quel point, la loi ne peut se substituer à la décision de l’individu en accord avec la famille "unie " qui en a la charge. Ce n’est que par le truchement de la société et l’éclatement de la famille, que cette décision échoue entre les mains des médecins seuls, ou du processus législatif.