S’opposer aux outrances de JL Mélenchon, c’est une chose.
Transformer des nazillons bretons en militants culturels "ayant -selon l’’auteur- profité de la guerre pour faire avancer leurs objectifs" en est une autre.
Roparz Hemon ne s’est pas contenté "d’animer une radio en breton à Rennes" pendant la guerre. Il fut un authentique collabo.
Je trouve problématiques cette obstination à couvrir d’un voile pudique ou à travestir les activités politiques de militants bretons qui ont sombré dans le fascisme pendant la guerre, et cette volonté de se réclamer de tels individus.