Bon, ça ne marche pas, reprenons.

C’est Obama qui sera le prochain président américain, et celà ne changera rien que ce soit Obama ou McCain, car personne sur cette planète, à part quelques abrutis, ne souhaite que les Iraniens se dotent de l’arme atomique.

De plus, les Iraniens devraient être les premiers à ne pas le souhaiter, car ce serait le plus sûr moyen de s’exposer à une frappe atomique préventive.

Les Américains ne bougeront pas jusqu’à l’election de leur prochain président, en revanche d’autres ont déjà commencé à s’activer, car ils ont compris qu’on allait les aider : Les Turcs.

Les Turcs sont déjà parvenus à détacher la Syrie de l’aliiance avec Téhéran. Bachir al Assad a lui aussi parfaitement compris ce qui allait se produire dans quelques mois et il préfère sauver son régime, plutôt que de le voir sombrer avec celui des ayatollahs.

Bravo Bachir, tu es très intelligent, et tu assisteras à la parade des Champs-Elysées. Pour ta peine on enverra les Sunnites aux pelotes, ce sont tous des cons à l’image de Ben Laden, il n’y a donc aucune raison qu’ils récupèrent le pouvoir à Damas alors qu’on les a chassé du pouvoir à Bagdad.

La suite viendra après l’élection d’Obama : Les Iraniens n’auront d’autre choix que de mettre les pouces, comme les Coréens du Nord, ou bien ils devront faire face à l’avalanche. Espérons qu’ils s’entêteront comme s’était entêté Saddam Hussein, car ils nous donneront ainsi l’occasion de nous en débarrasser.

Quel pourrait être alors le scenario militaire ?

Des frappes conventionnelles sur toutes les infrastructures et puis les Azéris (Turcs) et les Kurdes finiront le boulot à terre. Il suffira de leur fournir un soutien logistique, à partir de la Turquie et de l’Irak.

Les deux grands gagnants de la partie qui s’engage ? La Turquie et les Kurdes.