Mon beau-fils, sur ce sujet, a écrit dans sa lettre à sa mère les raisons qui faisaient qu’il était tombé sous l’influence du Grand Michu, par désir d’intégration, se sentant jusqu’alors rejeté au sein de l’établissement, et formulé le regret d’avoir participé à la révolte, concluant - j’en ai hurlé de rire - qu’il exprimerait désormais sa violence en allant s’inscrire dans un parti révolutionnaire de gauche !
Alors voyez que l’élève n’est pas un mouton et qu’il ne comprend pas forcément ce sujet comme une promotion du "caïdat", mais peut justement à l’occasion méditer sur les dangers de l’allégeance ! Sa copie rend caducs vos hurlements un peu vains et hystériques.