Le problème de Sarkozy c’est qu’en réalité il a fort peu de pouvoir comparé à ses prédécesseurs, sauf pour la gestion interne de cette sous-préfecture de l’Euroland qu’est devenue la France.
Contraint par les directives européennes, avouant son impuissance face à ses copains du Cac40, que lui reste-t-il ? La mainmise sur l’audiovisuel et la mise en coupe réglée du paysage social.