Contrairement à ce que certain ont avancé ici, ce n’est pas un besoin de compacité qui a fait évoluer la notation des nombres, mais la volonté d’en comprendre les propriétés.
Faudrait s’entendre : "qui a fait évoluer" sur l’ensemble de la société, ou sur un groupe de mathématiciens ?
Et puis si vous pouviez donner un exemple cocncret de découverte permise par les chifrres arabes et entravée par les chiffres romains, en le prouvant, ce serait pas mal.
Typhon