Je maintiens, dix-quinze ans pour avoir pris une vie ce n’est pas cher payé. Je mets à part des affaires où les protagonistes étaient tous deux (ou plus...) armés ; où prendre une vie était le seul moyen vrai ou présumé de sauver une autre.
Mais pour des affaires de véritable assassinat (je pense en particulier à l’affaire de l’"Appât", et à d’autres du même acabit), je regrette que les peines soient à mon sens légères et, surtout, que des ’experts’ puissent, de leur propre autorité, réduire les peines.