Pour une fois l’adage est vrai qui dit que ce sont les meilleurs qui s’en vont les premiers...
Et nous restons ici, un peu plus seuls, parmi les tristes sires qui se sont donnés rendez-vous sous cet article pour le coup de pied de l’âne. L’hommage du vice à la vertu. Sisyphe nous manquera pour leur porter la contradiction, inlassablement. C’était aussi ça, son rocher...
Au revoir Sisyphe et tous mes voeux dans votre nouvelle vie (j’avoue que j’aimerais savoir quel pays vous avez choisi)