Cher Paul Villach
On peut se demander si l’enseignement privé , par cette publicité , ne se tire pas une balle dans le pied : en effet , les parents qui envoient leurs enfants dans le privé présupposent ( à tort ? ) que celui-ci sera plus sérieux que l’enseignement public et permettra à leur progéniture d’acquérir " de bonnes bases " en français , au lieu du sabir adolescent , avec ses " trop " à toutes les sauces , et sa disparition phonétique de l’accent circonflexe ( " pates " au lieu de pâtes ) .
En montrant des candidats profs utilisant ce sabir , cette publicité n’est-elle pas une contre-publicité ?