« Imaginons simplement le tollé que ne manquerait pas de provoquer la BCE si elle décidait de privilégier l’industrie automobile Allemande ou l’industrie métallurgique française... »
Je crois que cette phrase résume à elle seule le défaut congénital et rédhibitoire de l’euro : l’Europe n’est rien d’autre qu’un tigre de papier.