Très intéressant.
Le problème de la mutualisation est pourtant crucial, car la pratique actuelle entraine effectivement un empilement de niveaux de décisions, et donc un surcout, dans la plupart des communautés d’agglomération, alors que l’inverse (une réduction des services par mutualisation) aurait dû intervenir.
On assiste aussi à la création de communautéa géantes en Ile-de-France, où les élus ne contrôlent plus vraiment rien (sauf le président et un ou deux adjoints), et où le déficit démocratique est criant.