Sarkophon reste cohérent avec lui-même : faire payer la crise aux pauvres.
Le Fouquet’s le remercie de protéger sa clientèle, sinon il devrait remballer ses serveurs.
Et le banquier a tout compris. Tu me prêtes du fric, j’en dépense la moitié et je demande des notes de frais pour m’en faire rembourser, je spécule sur l’autre et puis je réclame qu’on m’aide quand je me suis trompé.
A avoir lu beaucoup de vos réflexions, je trouve que la plupart des propositions émises ne sont que des économies de bouts de ficelle. Ce n’est pas le capitalisme - à réformer ! qu’il faut tuer, c’est le financiérisme qu’il faut abattre.