Et il est possible aussi que la canisphagisme avéré de nos amis
memophiles ait renforcé leurs tendances communautaires et à la suprématie du
groupe sur l’individu, le meilleur ami de nous autres Zumains étant notoirement
groupusculeux.
Plus original, la thèse d’ Albe Atroce, selon
lequel la consommation outrancière de nids d’hirondelles leur aurait donné un
cervelle d’oiseau.
Cher Pr. Nicolas,
sur la caniphagie des tao-sojaïstes et kungfuîstes bambouéens, je ne serai
point aussi tranché que vous sur la question, de même que sur le rapport
cérébro-aviaire proposé par Albe Atroce : bien connu pour son hostilité au
sojaïsme, depuis sa malheureuse expérience dans la province de Shitou-Lashpa.
Entre parenthèse,
là, nous voyons la différence entre les gastrologues de terrain et les thésards :
Albe Atroce n’aurait pas connu cette malheureuse expérience si il avait daigné relire
le maître en la matière Imodium Colon et son sublime récit de voyage
gastrologique au Shitou-Lashpa :
Les
Collines de Shigella.
Revenons donc à
la question qui nous occupe : la caniphagie au pays du Soja Levant et au
Bamboustan extrême-oriental : je réfute la thèse qui y voit un lien direct avec le groupusculisme
sojaïsme et bambouéen : je me place résolument dans la lignée de Bredele Von Linzertorte qui préfère voir
dans le groupusculisme sojaïste l’influence
de l’entomophagie rituelle dans le sojaïsme
primitif : je vous renvoie d’ailleurs à son chef-d’œuvre Cultes
diptèromorphiques et Termitisme rituel au Taolithique en pays Niak-Wé. (je
vous ai évité le titre original, connaissant votre méconnaissance du teuton)
Et quel est le défaut évoqué des thèses sur les
églises entrecôtistes ? Elles ne sont pas à point ? (je
sais, c’est vaseux mais je n’y résiste pas)
En effet, les
thèses de Hépatis de Mesclun sont
loin d’être à point sur cette question ! il ose les séparer des courants charichiatiques yankistanais
et préfère y voir un simple courant issu du Burgerisme réformé, occultant de fait la glossophagie rituelle qui est une de leurs caractéristiques
principales et qui les relie donc définitivement aux courants charichiatiques : un vrai bleu sur le coup de ne
pas y voir la marque même de l’influence du père de la pensée charichiatique Vibrion de Méconium qui a clairement exposé la centralité de la glossophagie rituelle dans son traité Sancta Dysenteria : celle-ci étant le seul moyen, selon
la doctrine chariatique, d’être
sauvé par la déjection des péchés pour le disciple qui aura stricto sensu bouffé
du Saint-Esprit.
Voilà donc brièvement, ce qui me fait m’opposer à Hépatis de Mesclun
sur la question de l’Entrecôtisme
yankistanais.
Professeur Eckhart von Treelok,
phD en Métaphysique
acrobatique du Tube et Gérontochiatrie rectale, Enseignant-chercheur en
Théorie de la Turpitude à l’Université de Barvard ( Etat de Xanadu)
Professeur honoris causeur à l’Université Alma Mateur de Shitazuwang
(province de Sushi Oriental), titulaire d’une chaire en physique des condoms
à l’Université Populaire et Socialiste de Vodkagrad ( Oblast de Zubrowka)