@Ariane. Je viens de découvrir ce texte que vous avez écrit en septembre, probablement inspirée par la douceur toute méditerranéenne que nous avions ces jours-ci...
Cette douceur du temps ne nous rappelle-t-elle pas, avec nostalgie, le Printemps et ses amours enfuis ?
L’hallucinant Télémaque n’est-il pas tout à la fois un leurre et une réalité ? Tout comme notre été indien.
N’aurait-il accosté dans l’île de nos solitudes, que pour incarner cette vérité que l’Amour - ce leurre nécéssaire et premier - est un éternel recommencement qui ne se soumet jamais au Temps et à ses Saisons ?
Oui le coeur a des raisons qui ignorent les saisons. Calypso le sait, le sent, et les Dieux avec leurs règles n’y pourront rien.
Profitez bien de cette douce brise quasi printannière !