Les décisions étant centralisées à Paris, il se pourrait que le gouvernement se soit basé sur les sinistres tendances des offices de hlm parisiens durant ces dernières décennies et qu’il se soit légitimement demandé où passait l’argent. Dessous de mains, attribution de logements d’ordre politique, augmentations de charges injustifiées ou faux dégrèvements, faux travaux de remplacement et d’entretien, absence de réhabilitations, insalubrité fréquente, déplafonnement abusifs des loyers sans contreparties, conseils d’administrations véreux et actionnaires surpayés, etc...
Il est triste que des organismes sérieux, surement comme celui dont l’auteur plaide la cause aient à en pâtir.