Quand on voit un Pujadas :
- s’interroger presque toujours sur la forme et pas sur le fond,
- être à ce point aussi fort avec les faibles et faible avec les forts,
- désinformer sciemment quand il prétendait que les doutes sur la version officielle sur les attentats du 11 septembre provenait d’un film d’adolescent boutonneux à tout petit budget
etc.
Quand on voit une véritable inquisition médiatique digne des tristes moments de l’autocritique stalinienne se mettre en branle contre un Taddéi quand celui-ci ose laisser parler un Kassovitz,
Oui un paquet de soit disant pointures des médias français ont jeté la honte et l’opprobre sur la profession !