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Massaliote 5 janvier 2011 11:32

Cela relève de la tradition du « muti ». En vigueur dans nombre de pays africains le « muti(remède) » demande à ce que le parties prélevées le soient sur des victimes vivantes pour vraiment agir efficacement. Cette tradition est très active et combattue par les autorités notamment en Afrique du Sud. Les autorités reconnaissaient un crime-muti tous les 3 mois. Dans un cas cité, des personnes ont entendu pleurer un bébé au bord d’une voie ferrée, le tout petit avait été émasculé et portait une incision près de l’oeil. Il n’a pas été énucléé parce que son agresseur a pris la fuite. Toutes les parties du corps peuvent être prélevées pour le muti. La police patrouille sous le pont de l’autoroute de Prétoria pour vérifier ce que proposent les « guérisseurs ».


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