Le côté « carré » a parfois du bon : on ne mélange pas ses propres sentiments avec le sujet, on distingue ce qui vient de soi et ce qui vient de l’autre, on vérifie, on confirme, et la parole n’est pas mise en doute en permanence. De plus le sens de l’honneur interdit la diffamation, ce qui ici n’est pas vraiment vraiment le cas...
Dans un milieu militaire, ce que un ou deux personnages se sont permis d’insinuer à mon égard aurait valu la mise à pied, au moins.