Dans toute haine, il y a une part d’incompréhension et c’est ce que je pressens à lire les commentaires. La réalité éta,t complexe, il est sage de ne pas sacrifier au manichéisme, ce qui ne veut pas dire qu’il faille se taire.
La faille de la thèse de Stiegler, pointée par d’autres, est de tomber par défaut dans une sorte de catastrophisme. Mais je pense que son constat sur la misère spirituelle vaut, ne serait-ce que parce qu’il ouvre un débat. Evidemment, dans toute thèse il y a des risques.
En résumé, je vois chez Stiegler une critique de la Modernité exprimée dans sa version Urbanité. Et une tentative pour penser un avenir mieux maîtrisé, ce qui présente un intérêt évident en ces temps de populisme politique, que ce soit à droite ou à gauche, avec Evita Royal