Pas de raison, en effet, d’exclure l’une ou l’autre des hypothèses, encore que je sois persuadé que le pétrole abiotique est infiniment majoritaire, l’autre étant plutôt anecdotique.
Ce qui fait la différence géopolitique, c’est que si l’un est en quantité finie, l’autre est tellement abondant que des milliers d’années nous sépareraient d’une pénurie, et que d’ici-là (d’ici peu, je l’espère) d’autres énergies autrement futées auront pris le relai.
Et donc les guerres sont inutiles, les coûts insensés injustifiés, sauf à vouloir nous rendre esclaves.
Le problème est que depuis toujours, l’industrie et les dictatures se nourrissent de guerres, et qu’il faut bien trouver des prétextes pour en faire.