Crise sanitaire : la faillite de la Raison
Dans tous les mass médias et à tous les postes de responsabilité, des prises de positions et des décisions sidèrent par leur décalage avec le réel. Un discours officiel s’impose comme un dogme au mépris même de la sécurité des individus. Impossible de discuter sereinement et même de montrer, preuves à l’appui, les erreurs commises. La crise nous dévoile un monde hypnotisé par ce qui est nouveau et qui serait forcément un Graal sans cesse réinventé. Hélas nous réinventons un système totalitaire, féroce, impitoyable et au final criminel. Dans ce qui se passe, la raison semble avoir déserté la société des hommes.
L’irrationnel au menu quotidien
Plus d’une année après le déclenchement de la crise sanitaire, nous pouvons tous faire un bilan de ce qui nous a été donné à voir, entendre et subir. Nous le pouvons car nous avons à disposition toutes les données utiles à l’appréciation de la situation présente, à condition de faire l’effort d’aller rechercher par nous-mêmes les informations disséminées sur Internet et sur les sites des différentes institutions qui interviennent, de près ou de loin, dans la gestion et/ou le suivi de la crise sanitaire.
Je ne reviendrai pas sur le débat « traitement Vs vaccination » ou « libertés individuelles Vs intérêt général ». J’ai déjà abondamment abordé ces sujets, et d’autres l’ont fait bien mieux que moi encore. Je ne retiendrai qu’une chose de ces écrits passés et de la situation présente : incontestablement nous sommes confrontés à des décisions et à des comportements qui échappent à la rationalité, ou du moins qui échappent à la rationalité telle que nous la percevions jusqu’à cette crise sanitaire.
Nous assistons à des prises de position que l’on pourrait le plus souvent qualifier d’irrationnelles ou d’une rationalité inversée : on tire à boulets rouges sur une molécule ancienne connue, mais suspectée de quelques effets secondaires en cas de surdose, mais on adule des vaccins nouveaux, encore en phase expérimentale, donc inconnus pour leurs effets secondaires. Nous adulons ces nouveaux produits, alors même que quelques semaines après le début des campagnes de vaccination, se révèlent beaucoup d’effets secondaires graves et une mortalité post-vaccinale inquiétante. Le CDC annonçait même récemment qu’en un mois de vaccination aux USA, on dénombrait des conséquences létales deux fois plus importantes que ce qui avait été observé pour les autres vaccins en dix ans. Pire, nous assistons à des préconisations (vaccination des moins de 18 ans ou des femmes enceintes) en contradiction flagrante avec les limites imposées par les autorisations de mise sur le marché conditionnelles des nouveaux vaccins.
Ce qui frappe aujourd’hui, c’est le constat qu’une part appréciable de la population a basculé dans le non-sens et l’absurde. Cette part appréciable de la population n’est pas quantifiée mais nous pouvons tous constater que ce basculement est bien réel auprès de ceux qui, de par leurs fonctions, exercent une influence sur la représentation du réel que peuvent avoir les Français : je désigne ici les journalistes, les politiques et les « experts ». Ce non-sens et cet absurde que j’évoque correspond à la représentation du monde qu’avec un minimum d’esprit critique, on peut qualifier d’imposture.
L’imposture médiatique
Un exemple frappant de ce basculement dans un ailleurs loin des réalités nous est donné de façon archétypale par une émission radiophonique animée par Guillaume Durand sur Radio Classique. Dans un vieil article, j’avais même baptisé cette émission de « Duranderie » tant le journaliste-animateur est capable de dire les pires bêtises avec la certitude de dire le vrai et le sensé. Pour exemple, je citerai une intervention récente de M. Durand au cours de la semaine du 1er avril 2021 : lors d’une « Matinale », M. Durand s’est moqué de ceux qui colportent cette histoire de dîners clandestins au Palais Vivienne qui, bien entendu, n’ont jamais existé selon le journaliste. L’affirmation ne souffre pas la contradiction : selon M. Durand, ces repas clandestins sont pures inventions. A-t-il fait une enquête ? A-t-il pris en compte l’intervention du syndicat des journalistes de M6 qui soutient ceux qui ont fait le reportage dénonciateur de ces repas ? A entendre M. Durand, on pense que le journaliste s’est renseigné, qu’il a ses sources, des sources vérifiées et imparables. Hélas, quelques heures après cette affirmation péremptoire de Guillaume Durand, cette « Duranderie matinale », M. Chalençon a reconnu que ces dîners ont bien eu lieu. Cet exemple, très illustratif du vide journalistique, est anecdotique au regard des sujets qui touchent chaque Français dans leur intimité, et cette intimité est celle de leur corps que ciblent les aiguilles agitées, et souvent esseulées, des « vaccinodromes ».
La réalité oubliée
Toujours dans la semaine du 1er avril 2021, et toujours dans cette matinale de Radio Classique, le professeur Philippe Juvin était l’invité de M. Renaud Blanc. M. Juvin est un homme extraordinaire : sa fiche Wikipédia nous le présente en tant que « professeur de médecine, médecin anesthésiste-réanimateur et homme politique français, membre du parti Les Républicains. ». Cet homme est maire de La Garenne-Colombes, professeur de médecine, chef de service des urgences de l'hôpital européen Georges-Pompidou (Paris) et président de la fédération Les Républicains des Hauts-de-Seine. En clair, il est l’incarnation du notable qui embrasse de sa carrure tous les strapontins du pouvoir et qui dilate les journées en leur ajoutant des heures au-delà de la vingt-quatrième…. En pleine pandémie, et nonobstant ses innombrables fonctions, M. Juvin parcourt les plateaux télé et les émissions radio pour « dire ce qu’il croit être vrai » et le problème est là : M. Juvin est dans la croyance que ce qu’il dit est vrai et il est sorti du champ de la science et de la rationalité. Il croit savoir, donc il sait et il ne remet pas en cause ce qu’il sait. Précision importante en ces temps obscurs et mercantiles : M. Juvin est vierge de tout conflit d’intérêt avec Big Pharma, son seul « conflit d’intérêt » est d’ordre politique. Il ressort de la consultation du site Eurosfordocs que le professeur Juvin n’a touché, de 2012 à 2018, que 1 619 euros d’avantages par les laboratoires, c’est-à-dire rien du tout. L’exemple de M. Juvin, non lié à des laboratoires, est donc pertinent pour illustrer ce basculement dans la déraison. Le 9 avril 2021, M. Juvin était donc l’invité politique de Renaud Blanc. Au cours de cette émission, il a déclaré que les réanimations sont pleines (alors que cela n’est pas le cas de tous les hôpitaux), qu’il faut accélérer la vaccination (la notion de traitement lui est visiblement étrangère), que le confinement est efficace (les pays qui n’ont pas confiné dont la Suède et les différentes études qui démontrent l’absence de corrélation entre confinement et baisse de la contagion lui sont étrangers). Pour M. Juvin, si on n’arrive pas à vacciner massivement, on risque de retrouver une vague à l’été ou l’automne (exemple d’une croyance chic et estampillée Système et Nostradamus). Selon M. Juvin, quand le virus court, il y a des risques de mutations. Le professeur semble ignorer les effets mutagènes du Remdesivir et les risques mutagènes induits par la vaccination. Il ajoute aussi que le vaccin AstraZeneca est efficace chez les personnes âgées, sur la base d’aucune étude citée, et qu’il faut vacciner 24 heures sur 24 heures, 7 jours sur 7 ! L’important, déclare M. Juvin, est de ne perdre aucune dose et d’aller vite. Le constat est clair, M. Juvin est ébloui par le miracle de la vaccination. Pour cet homme, le vaccin nouveau est un Graal qui mérite toutes les exceptions au principe de précaution et qui ne doit pas subir la rigueur critique et prudentielle qui a été adoptée en son temps pour l’hydroxychloroquine et aujourd’hui pour l’Ivermectine. Le deux poids, deux mesures ne le perturbe pas car il semble fort probable que le professeur Juvin ne se rende même pas compte de cette incohérence à être suspicieux avec une molécule connue et aventureux avec un produit nouveau et expérimental. M. Juvin considère que si les gens ne veulent pas se faire vacciner c’est qu’on leur raconte des « trucs qu’ils voient sur Internet », notamment sur les effets secondaires des vaccins. M. Juvin a précisé au cours de cette Matinale de Radio Classique que 20 millions de gens ont été vaccinés avec AstraZeneca et qu’il n’y a eu que 25 cas de thromboses graves et 9 décès. Il conclut par « Combien seraient morts s’il n’y avait pas eu la vaccination ? »
L’exemple de M. Juvin est illustratif de ce que cette crise sanitaire nous donne à voir : des discours, des croyances qui n’ont plus aucun lien avec la rationalité et la réalité. Nous sommes désormais dans l’ère de l’incohérence intellectuelle et de la divination du vaccin. Ce dernier en tant que produit nouveau possède un rang supérieur à tout ce qui nous entoure : nos vies, nos libertés et les principes de prudence élémentaire. Je vais justifier mes propos par le biais de quelques confrontations entre des décisions ou discours officiels et la réalité.
La confrontation les discours, prises de position et le réel
Première confrontation : réalité et irrationalité des mesures ou discours sur la base des autorisations de mise sur le marché conditionnelles (AMMc) des vaccins contre la Covid-19. L’étude de ces AMMc de l’agence européenne du médicament (EMA), nous éclaire sur l’irrationalité en cours. Je ne citerai que quelques exemples puisés dans l’excellent article de Catherine Frade. Il ressort notamment des données des quatre AMMc des vaccins COVID-19 publiées sur le site de l’EMA que :
- Aucune donnée n’est disponible concernant l’interchangeabilité d’un vaccin COVID-19 d’un laboratoire avec les autres vaccins COVID-19 des autres laboratoires pour compléter le schéma de vaccination. Dès lors, la proposition de la Haute autorité de santé de faire administrer à ceux qui ont reçu une dose d’AstraZeneca, une dose d’un autre vaccin est digne d’un apprenti sorcier et n’a aucun fondement scientifique quant à la sécurité d’une telle pratique. Il convient de signaler que l’OMS se refuse à conseiller le changement de vaccin entre deux doses, faute de « données adéquates » mais la Haute autorité de santé le propose !
- L’utilisation du vaccin est indiquée à partir de 18 ans, sauf pour celui de Pfizer indiqué à partir de 16 ans. En effet, « La sécurité et l’efficacité des vaccins chez l’enfant et les adolescents âgés de moins de 18 ans n’ont pas encore été établies ». C’est le cas de Moderna, Astra-Zeneca et Janssen pour lesquels « aucune donnée n’est disponible ». Idem dans le cas de Pfizer « chez les enfants et adolescents âgés de moins de 16 ans avec des données disponibles limitées » : la vaccination des enfants et des adolescents constitue un pari irrationnel sur l’efficacité du vaccin et son absence d’innocuité. De nouveau, les pouvoirs publics et tous ceux qui cautionnent cette vaccination sont des apprentis sorciers. Enfin, vacciner les moins de 18 ans serait aller au-delà de l’AMMc et donc une décision illégale.
- Les données sur les femmes enceintes sont très partielles (critères d’exclusion des essais cliniques) : pas ou peu de données de sécurité et d’efficacité sont connues à ce jour. La vaccination chez la femme enceinte ne peut être envisagée qu’au cas par cas. Pour les 3 vaccins Pfizer, Moderna, Janssen, la notice scientifique représentée par l’annexe I de l’AMM (résumé des caractéristiques du produit) indique qu’il « existe des données limitées sur l’utilisation du vaccin chez la femme enceinte. De nouveau, la décision de vacciner les femmes enceintes échappe à toute cohérence et rationalité et même entre en conflit avec les réserves de l’AMMc.
Bien entendu, cette AMMc des vaccins selon la procédure européenne centralisée accélérée a été « accordée dans l'intérêt de la santé publique pour répondre à un besoin médical non satisfait ». Vous l’avez compris, il était, et il est encore, impératif qu’aucun traitement ne puisse être reconnu comme pouvant apporter une réponse satisfaisante à la lutte contre la pandémie. Cette absence de traitement reconnu est la condition qui permet de jouer à l’apprenti sorcier. La messe est donc bien dite pour l’HCQ, certains macrolides ou l’Ivermectine mais cette messe est hélas aussi dite pour celles et ceux qui paieront cette folie de leur vie.
Deuxième confrontation : le slogan « Vaccinez-vous pour retrouver la vie d’avant ». Il est utile de se pencher sur le cas de cet octogénaire qui, s’étant fait vacciner, entendait bénéficier de la promesse du retour à la vie d’avant. Cruelle désillusion ! Toutes les contraintes qu’il subissait avant la vaccination sont maintenues. L’octogénaire a donc saisi le Conseil d’Etat pour demander au juge des référés de suspendre les restrictions de déplacement prises par le Gouvernement afin qu’elles ne s’appliquent plus aux personnes vaccinées. Evidemment, le Conseil d’Etat dans une décision prise par un magistrat anonyme, a rejeté la requête en reprenant telles quelles les augmentations de l’Etat sans en examiner le bien-fondé donc la réalité et la pertinence. Dans cette affaire, il est intéressant de prendre connaissance de l’argumentation du ministre de la santé qui constitue un éclairage intéressant sur la vaccination et son intérêt ou plutôt désintérêt général. On apprend ainsi en lisant ce mémoire (mémoire 2 téléchargeable sur le site de France Soir) que :
- L’efficacité des vaccins n’est que partielle ;
- Cette efficacité des vaccins est devenue particulièrement contingente du fait de l’apparition des nouveaux variants. Dans son mémoire, le ministre nous annonce que déjà une 2ème génération de vaccins à ARNm est déjà en cours de préparation pour être efficace contre les nouveaux variants. Vous l’avez compris, se vacciner revient à enclencher un processus de vaccination à vie pour peu que ces vaccins accélèrent les mutations du virus et donc l’apparition des variants.
- Les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale, du fait d’une immuno-sénécence (impact du vieillissement du système immunitaire sur la qualité de la protection vaccinale ainsi que sa durabilité) ou de la virulence d’un variant.
- En l’état des connaissances scientifiques, le vaccin n’empêche pas les personnes vaccinées de transmettre le virus aux tiers.
- Il n’y a donc pas de justification à exempter les personnes vaccinées de l’application des restrictions de circulation actuelles destinées à les protéger comme à protéger leur proche ainsi que l’ensemble de la population.
Et le Conseil d’Etat d’écrire que « s’il est vraisemblable, en l’état, que la vaccination assure une protection efficace des bénéficiaires, même si l’impact des évolutions de l’épidémie dues aux variants demeure incertain, les personnes vaccinées peuvent cependant demeurer porteuses du virus et ainsi contribuer à la diffusion de l’épidémie dans une mesure à ce stade difficile à quantifier, ce qui ne permet donc pas d’affirmer que seule la pratique des gestes barrières limiterait suffisamment ce risque. En conséquence, l’atteinte à la liberté individuelle résultant des mesures de couvre-feu et de confinement ne peut, en l’état, au regard des objectifs poursuivis, être regardée comme disproportionnée, en tant qu’elles s’appliquent aux personnes vaccinées. »
Le discours sur la nécessité de la vaccination 24H/24H et 7 jours sur 7 laisse dubitatif.
Troisième confrontation : les effets secondaires répertoriés par l’agence européenne du médicament (EMA). Au 10 avril 2021, l’EMA nous donne les informations suivantes :
- AstraZeneca : 150 863 effets secondaires dont 10 403 en France (2ème pays ayant le plus d’effets secondaires après les Pays-Bas qui avec 16 222 effets secondaires graves ont suspendu ce vaccin) et au total 796 morts.
- Pfizer : 134 606 effets secondaires dont 14 094 en France (2ème pays ayant le plus d’effets secondaires après l’Italie avec 38 030 effets secondaires graves) et 3 521 morts.
- Moderna : 13 426 effets secondaires dont 818 en France (4ème pays ayant le plus d’effets secondaires après les Pays-Bas, l’Espagne et l’Italie) et 1 475 morts
Au total, 5 972 personnes sont décédées peu de temps après une vaccination et 298 895 ont subi des effets secondaires graves.
Pour bien apprécier la portée de ces chiffres, il convient de rappeler :
- que ces signalements d’effets secondaires reposent sur des déclarations volontaires. De fait, ces chiffres sont très en deçà de la réalité. Les signalements pourraient ne représenter que 1% des cas survenus.
- qu’il faut toujours contextualiser des données brutes. Ainsi, les nombres d’effets secondaires et de décès doivent être rapportés au nombre de vaccinations opérées. Or la connaissance du nombre de personnes vaccinées est difficile à obtenir. L’information n’est pas disponible dans la base de données de l’EMA accessible au public puisque nous n’avons pas le nombre de vaccinations réalisées. La presse évoque 80 millions de doses de vaccin qui auraient été administrées au 4 avril 2021. Dés lors, la mortalité post-vaccinale, toutes tranches d’âges confondues, serait de 7,465 pour 100 000, c’est peu mais cela concerne des personnes qui n’étaient pas malades avant la vaccination, ce sont donc des morts en trop. Par ailleurs, nous ne connaissons pas la mortalité post-vaccinale sur les moins de 60 ans, or le taux de mortalité des moins de 60 ans convenablement soignés dans la cohorte de patients de l’IHU de Marseille est égale à zéro sur la première épidémie de coronavirus (février-juin 2020).
Les effets secondaires graves des vaccins représentent 3,73 pour 1000 vaccinés sachant que les effets secondaires (dont la mortalité) des nouveaux vaccins ne sont pas connus à moyen et long termes, ni en cas de confrontation avec des nouveaux variants. Ces effets secondaires se multiplient même dans de telles proportions qu’un centre de pharmacovigilance a demandé aux patients et aux médecins de ne pas tout déclarer afin de pouvoir prioriser les signalements les plus graves. Ce centre semble avoir perdu une de ses missions premières : la vigilance !
La vaccination ne protège pas des rechutes et semble même parfois favoriser la recontamination. Ainsi, en Grande-Bretagne 60 à 70% des victimes de la troisième vague seraient des patients déjà vaccinés.
Il ressort de tous ces éléments qu’il est aujourd’hui difficile de considérer que la vaccination contre la Covid est une solution idoine pour échapper à cette maladie. Pire, les zones d’ombre sur ces vaccins et leurs effets à moyen et long termes sont si nombreux que cette vaccination ressemble plus à un pari risqué ou à un jeu de roulette russe.
L’urgence de se réveiller et d’exercer son esprit critique
Au terme de cet article, on peut affirmer qu’il est plus que légitime de se poser la question de l’utilité vaccinale en l’état actuel des connaissances sur les candidats-vaccins proposés, car ces derniers ne sont que des candidats encore en phase de test (phase 3). De fait, les questions « Qu’est-ce-qu’on injecte à la population ? », « Quels sont les risques ? », « Quel traitement curatif et/ou prophylactique pourrait remplacer la vaccination ? » sont des questions naturelles et en rien complotistes. On ne peut que regretter que des personnalités comme M. Juvin, c’est-à-dire des personnalités compétentes et sans lien d’intérêt avec les laboratoires pharmaceutiques, adoptent des discours indignes de leur esprit critique et de leur liberté de s’affranchir des discours officiels. Plus que jamais, il est temps de revenir à la raison, c’est-à-dire à notre capacité de ne plus croire au pouvoir d’un produit miracle, fut-il présenté par de grands laboratoires pharmaceutiques, et de se référer aux faits, aux expériences de terrain et au bon sens de ces milliers de médecins qui ont pour seul objectif de soigner leurs patients.
Il est temps de mettre de côté les injonctions des médias. Il est temps de retrouver une part de ce qui a sauvé l’humanité depuis sa naissance : l’instinct et la liberté.
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