Halte à l’ignoble massacre des blaireaux !

@ZenZoe

si vous saviez de quoi les chats sont capables...

@Fergus
 
 ’’En ce qui concerne la manière dont les blaireaux attaquent les hérissons, elle ne relève évidemment pas de la cruauté intentionnelle ; ils n’agissent ainsi que dans l’optique de se nourrir. Il y a de très nombreux exemples analogues dans la nature.’’
 
 Putain, on en apprend des choses ici !!!

@Fergus

Votre oncle s’appelait Lustucru et la voisine Michelle ?

@ZenZoe
La France se distingue par sa connerie, suivant celle il faut dire des chasseurs. La cinquième extinction est sur les rails, et notre pays ne trouve rien de mieux que de la catalyser. Blaireaux, renards mais aussi geais, partout reconnus comme espèces à protéger en Europe sont livrés en pâture à des abrutis, qui risquent tout autant d’ailleurs de faire un carton sur vous si vous avez le malheur de marcher en forêt. N’allez pas vous plaindre, vous l’aurez bien cherché. Une fois de plus un « incident tragique » s’est passé. Ce ne sont que des chats qu’on a tué, diront certains....Libération a eu le courage d’en faire un article dont je permet de mettre un bout en copié collé. 

"Le lundi 20 septembre, une battue aux sangliers est organisée à proximité d’un lotissement à Laillé, une commune de 5 000 habitants située en Ille-et-Vilaine. La saison de la chasse a ouvert la veille et, deux jours plus tôt, des milliers de chasseurs défilaient en France pour exiger davantage de considération envers leur « loisir ».

Ce jour-là, donc, vers 11 h 30, Stéphane, en télétravail, voit soudain débouler sous ses fenêtres 34 chiens de chasse. Il raconte : « Je suis sorti et j’ai vu ces chiens très excités courir partout dans le lotissement en aboyant. J’ai eu peur. Puis j’ai réalisé qu’une dizaine d’entre eux s’étaient introduits dans le jardin de nos voisins et s’en prenaient à leur chat. Après, tout est allé très vite. » Stéphane parvient à extirper le chat de la meute et le ramène chez lui : « Il était déjà couvert de sang, de traces de crocs, les poils arrachés. »

Puis il ressort et aperçoit le second chat de ses voisins, venu « sauver son copain »  : « Il était terré dans un fourré attenant à notre jardin, poursuit ce témoin. Entretemps, un chasseur était arrivé et regardait la scène sans intervenir, un fouet à la main. J’avais pris mon bâton de marche pour virer ses chiens mais il s’est interposé avec son fouet en disant “On ne touche pas les chiens  ! De toute façon c’est pas la peine, le chat est mort.” Mais il était encore vivant. » Pas pour longtemps  : agonisants, les deux chats décéderont finalement quelques heures plus tard. Un troisième, mordu à l’arrière-train, devra être opéré peu après.

Rapidement, le ton monte entre les riverains accourus sur place et le chasseur. « Il était arrogant, m’a tutoyé, cherchait à m’intimider, m’a interdit de filmer avec mon portable », raconte Stéphane. Alertée par des voisins, une habitante du lotissement rentre rapidement chez elle pour voir si ses chats sont en vie  : « J’étais en colère, je tremblais. Une voisine pleurait. Dans l’intervalle, la maire de Laillé et deux gendarmes étaient arrivés sur place. Ils étaient totalement froids, parlaient d’un “triste incident”… » Stéphane confirme  : « Les gendarmes ont déclaré que nos chats n’avaient pas à divaguer, qu’on ne pouvait pas porter plainte. Quant à la maire, elle disait que c’était regrettable mais qu’on en resterait là, qu’il fallait voir avec les assurances. »

« Nos chats ont été massacrés chez nous et sont morts dans d’atroces souffrances. Et si notre bébé de 19 mois avait été avec eux à ce moment-là, que se serait-il passé  ? »

Extrait de : 

Bretagne : des chasseurs ne font pas cas des chiens qui tuent des chats

@Fergus
Bravo pour votre article. Le blaireau est un bel animal, mais serait il moche qu’il aurait droit de vivre. Couleur gwen ha du, comme le panda. Mais quand un panda est adulé par les chinois, le blaireau est condamné gratuitement comme le baudet du conte. 

Mon fils a dernièrement eu son poulailler détruit. Au milieu des poules mortes il a trouvé deux « terriers endormis », repus de chair il faut le dire, qui après avoir passé sous le grillage ont bouffé les volailles. Un numéro d’identification était sur leur collier. Ils a pu remonter à leur propriétaire. Un type qui élevait ces chiens pour la chasse au blaireau, et qui s’étaient échappés. « Voyez avec mon assurance... ».

le blaireau mange de tout : petits rongeurs, champignons, racines, vers de terre, escargots, grenouilles, insectes, baies, fruits, cadavres d’animaux… Ce n’est absolument pas un nuisible comme la France l’a classé, contrairement aux autres pays où il est protégé. Les dégâts qu’il peut faire sont opportunistes et négligeables, comme ceux du geai, si bel oiseau qui a le culot de prélever quelques grains de maïs dans les silos. Voilà qui suffit aux chasseurs paysans, ou aux paysans chasseurs, comme prétexte. La multiplication des rongeurs dans la nature, est un vecteur de la multiplication des tiques, transmetteurs de la maladie de Lyme, qui flambe, prenant appui sur la disparition des renards et des blaireaux, qui régulent les rongeurs..
C’est une vieille histoire. Pendant des siècles on a tué les chats, « animal du diable » alors qu’il tuait les souris, porteurs du bacille de la peste...La différence, c’est qu’à l’époque on n’était pas doué en épidémiologie. 
. 

@Aita Pea Pea
Bien peu de chats errants maintenant. Beaucoup plus de chasseurs en vadrouille. 
Les chats sont des chasseurs c’est vrai, comme ils l’ont été depuis la nuit des temps. Ils chassaient bien plus d’ailleurs avant, car ils n’étaient pas nourris, et devaient vivre sur le pays, en termes de mulots, souris et oiseaux. Leur imputer maintenant la disparition des oiseaux ne manque pas de sel....Mais les cons, ça ose tout, comme on dit. 
C’est plus facile de désigner les matous que de parler des pesticides et du désastre environnemental, (ondes, disparition des zones protégées, réchauffement, empoisonnement des sols, et j’en passe) qui condamnent d’ailleurs les deux tiers des espèces.
Les chats ne tuent pas les moustiques, hors comme tu le sais sans doute, plus de raison de nettoyer la visière de ta moto, alors qu’il y encore quarante ans, pas possible de faire plus de cent bornes sans devoir s’arrêter pour l’opération.
La disparition des moustiques est d’ailleurs elle aussi un des grands problèmes de la préservation des oiseaux. C’est leur garde manger. 
Noyons les chats, jetons les à la rivière. Peut être que le monde ira mieux. Peut être bien que ça servira à rien mais ça soulagera les cons. 

@velosolex

les chats chassent nourri ou pas, croire qu’il sont a la diete, quand vous dormez est une vue d’esprit,de plus il parle de chats errant(semi sauvage),pas celui de mémé, obese et malade des reins, a cause des croquettes et du sel, le chat errant a moitié suvage, ils sont estimé a 1 millions aux pays bas, et 2 autres millions qui nocturnent, c’est une nuisance

@ZenZoe
"En effet, les blaireaux sont parait-ils les seuls animaux qui ne craignent pas de s’attaquer aux hérissons, en les retournant et en leur déchirant le ventre avec leurs imposantes griffes avant de festoyer.."
Pas les seuls : la tactique du renard est d’uriner sur le hérisson en boule. Ce dernier trouve l’odeur tellement insupportable qu’il essaye de partir et se fait croquer à ce moment là !

@Fergus

ils comptaient les chats avant ?

mais c’est tres possible,qu’ils soient moins nombreux,comme l’espace est aussi restrain pour les autres,on pourrait mettre en perspective que les immeubles tuent encore plus d’oiseau,nuisances aussi,alors le chat,mais en fait c’est l’homme qui ammêne toutes ces nuisances, pas la bête

@Fergus
Comme je disais pour les chats...La mise à ’l’index de ces animaux servent à cacher les vrais responsables. Le chat était particulièrement répandu dans l’Egyote ancienne, où il était adulé, divinisé même.
La déesse Bastet, à tête de chat était l’occasion d’une fête annuelle d’hommage au chat. De grandes bacchanales étaient organisées, et les écrits d’Hérodote qui faisaient la chronique des ces libations semblèrent si extraordinaires il y a un siècle ou deux, qu’on pensa que ce n’était qu’une invention.
Depuis les fouilles archéologiques ont authentifié ces chroniques, et ont vérifié que les Egyptiens embaumaient leurs matous . On comprend que les chats avaient certainement une importance vitale pour les récoltes, et leur stockage, en illuminant les rongeurs, chose que n’ont pas compris les gens du moyen âge, qui mirent un temps à admettre son utilité, autant au niveau préventif qu’épidémiologiste, en s’attaquant aux causes de la peste, le rat, et sa puce transportant le bacille pesteux ;
Je ne pense pas en tout cas, qu’un nombre de chats conséquent aient entrainé en Egypte ancienne une raréfaction des oiseaux. Cela fait même rire de bêtise décomplexée. . 

@ Velosolex

c’était il y a 2000+ ans.avec 250 millions d’humains(on pense),rien avoir avec notre société,si les chats sont utiles dans les musées, ils ne le sont pas partout,

je me rapelle des histoires de loup du moyen age, c’était souvent des chiens semi sauvage,même a notre époque dans la chartreuse on peux voir des dépouilles de moutons, avec une pancarte, pour dire que ce n’était pas un loup, mais un chien

d’ailleur marks my word, bientôt on va mettre des restriction sur les animaux domestique

@Xenozoid
Je vous ne lait pas dire.
250 millions il y a 2000 ans, presque 50 fois plus maintenant. 
Les disparitions d’animaux se sont centrifugés avec la montée de la catastrophe industrielle, et démographique. Nous avons pique le territoire des indiens, et la peau des castors, puis de toutes les espèces, les unes après les autres, ou peu s’en faut. que nous suivrons sans doute dans moins d’un siècle dans la tombe de la dernière extinction !. 
La nuisance du roundup n’a rien à voir avec les bonds du chat. Nous faisons beaucoup d’entrechats désespérés pour tenter de reporter les fautes sur les autres animaux
Voilà donc les « nuisibles », dont la liste opportuniste tient aux intérêts des actionnaires, et à l’avidité de l’espèce humaine, allant jusqu’à remettre en question la vie de ceux qui tentent de manger les miettes pour survivre !.
J’ai entendu que les cormorans, et les goélands sont de nouveau dans le viseur des pécheurs et des chasseurs, qui tiennent toujours à remplir leur congélateur, et ne supportent pas la concurrence. . Vous l’avez deviné. Je hais la chasse et les chasseurs, dans lesquels je vois les pires prédateurs, jouissant de la mort d’un animal sauvage. Bien sûr je fais la distinction avec l’activité qui consistait pour le paysan pauvre d’autrefois ’d’améliorer son ordinaire. Mais les battues au sanglier, sur des bêtes importées parfois en douce de Pologne, comme ça c’est fait par exemple dans mon coin, au mépris du risque de grippe aviaire me révulsent. 
https://bit.ly/3zZYgvJ ; La harde sauvage au village, podcast france culture
Plus rien ne m’étonne sur la bêtise, et le mercantilisme. Comme par exemple le fichage des animaux domestiques. Cela donne l’illusion qu’on fait quelque chose pour l’écosystème. Comme cette ridicule campagne contre le chat, qui est un contrefeu à l’agrosystème et à l’horreur environnementale, qui générera d’autre part des profits en nombre : Eleveurs, fiches de soins, de suivi, taxation....
Le loup que vous évoquez est un sujet intéressant, et clivant. Beaucoup parlent sans savoir. 

@Fergus
« ça n’a l’air de rien mais ça veut dire beaucoup »......c’est la différence entre la chasse qui veut éliminer certains oiseaux et le chant de l’un d’entre eux, qui nous illumine de plaisir. 

Vous avez donc raison de me reprendre

C’est atavique, impossible de mette mon logiciel cérébral en accord avec ce que je sais, depuis qu’un instituteur m’a fait copier deux ou trois cent fois, « je ne dois pas confondre éliminer, et illuminer ».
C’est comme une direction faussée.. « Ca c’en va et ça revient, comme une chanson populaire... »*
 

@Xenozoid
J’ai eu assez de chats et de chattes dans ma vie et dans mon enfance pour savoir de quoi je cause. A la ferme, ils se démerdaient comme ils pouvaient. Des meutes de chats errants sortant des granges, des portées à demi sauvages, efflanqués, qui lapaient parfois le lait répandu mais qui chassaient pour survivre.....
Les chats étaient partout, car les souris et les rats pullulaient, et les chats domestiques étaient rares. Les oiseaux c’est sûr n’étaient pas épargnés, mais leur nombre était si important jusque dans les années 70 que personne n’aurait pensé à cette extinction des oiseaux qui concerne en fait toutes les espèces, hormis les quelques unes comme les sangliers qui prospèrent sur le déséquilibre.
. Le chat est un animal étrange, fidèle à sa nature et à son instinct.
j’en ai un nouveau depuis le printemps. Un chat Parisien, que mon fils qui part au canada m’a confié alors qu’il quittait Paris.,
. Un chat de cinq ans, n’ayant jamais connu que les toits de zinc, et l’étroitesse d’un appartement Parisien. En Mai, il a débarqué.
En voyant le cheval de trait au bout du champ, il s’est sauvé à l’étage. Le moindre bruit l’effrayait, hormis celui des rares voitures. Puis en un mois, il s’est transformé, s’est enfoncé de plus en plus dans le grand terrain, montant aux arbres. C’est vrai c’est devenu un chasseur impénitent, ne faisant pas trop la différence entre musaraignes utiles, souris et mulots plus prédateurs. La nuit, qu’il pleuve ou qu’il vente, il sort, pour revenir au matin fatigué et mouillé, dormir une bonne partie de la journée. Les égyptiens pensaient que le chat avait sept vies, les hindous neuf. Après cela il redevenait un humain.. Par cela on voit que cet animal énigmatique, qui ne se contente pas que des boulettes et de caresses pour vivre , apporte beaucoup plus que ce qu’on lui donne. 

@velosolex

....apporte beaucoup plus que ce qu’on lui donne. 

wiwi

@Aita Pea Pea
Quand tu parle clé de douze, je te suis, quand c’est calibre douze, c’est autre chose

@Aita Pea Pea
A ne pas rater. 
La pluie va durcir la couse. Va falloir savoir sauter comme un chat sur les pavés mouillés. Les Belges sont très costauds à ce jeu. Des sacrés matous durs au mal. J’avais un copain qu’à courru là haut. Jacques Osmond, solide normand, taillé comme un fahute, Passé à coté d’une grande carrière. Ralenti par une barrière de passage à niveau lors d’une étape du tour, qu’il aurait gagné sinon. 
En Bretagne le TRo Bro Leon tente comme d’autres courses de se faire une légende sur ce type de concept : Routes d’un autre temps, chemins de brume et de boue. C’est un retour aux fondamentaux, que les gens adorent, que les coureurs redoutent, mais recherchent

@Fergus

il a a une video de peter sagan a propos de paris roubaix,je vais chercher---ici paris roubaix with no words

@Aita Pea Pea
Les filles ont le droit de sauter sur les pavés comme les gars maintenant.
Mais pas ensemble. Je veux dire pas dans la même course. 
Dommage. !. Il est beaucoup plus facile de balancer son porc sur les pavés qu’ailleurs. . 
Mais le vélo pratiqué sur de telles routes, ne permet pas de lâcher la moindre main baladeuse, privant les prédateurs de toute possibilité opportuniste. 
Dés le début, la cause était entendue. Le vélo, la petite reine, était le meilleur allié de la femme. Impossible de pratiquer le vélo en amazone, cette pratique stupide et dangereuse qu’on imposait à nos compagnes pour monter à cheval. 

@Aita Pea Pea
Difficile de trouver des exceptions sur Paris Roubaix. Que des coureurs taillés dans le roc. Pas toujours très connus d’ailleurs. C’est tellement exigeant que des coureurs très durs au mal, parviennent à s’imposer quand les conditions climatiques sont mauvaises.
Je pense à Roger Rosiers dans les années 70.Eviemment les impondérables liées aux crevaisons et aux chutes sont bien plus déterminantes que dans n’importe quelle course.
Il faut donc de la classe, du courage, et de la chance pour triompher. Je ne parle pas des arrivées foireuses ou sujettes à caution, comme celle de Museeuw triomphant sans sprinter, avec deux équipiers à ses cotés, ou celle de Cancellera, avec une suspicion de moteur électrique. (Jacky Durand à fait un documentaire sur le suet qu’on trouvait sur youtube, et qui est très parlant.....

@Aita Pea Pea
Prends tes cachetons grosse merde.

@Fergus

Ce sont évidemment les pratiques agricoles qui sont la cause de la raréfaction des oiseaux.

Pour l’esprit simple, il faut trouver LA cause, si en plus elle tombe sur les méchants agriculteurs pollueurs, l’insoumis écolo-bobo n’éhésite pas ...

Je vis dans une région sans agriculteurs, ni cultures, de nombreuses forêts, des oliveraies et quelques cultures de plantes de parfumerie ou de maraichage. Et pourtant comme partout, les oiseaux sont de plus en plus rares.

LES causes sont multiples, la disparition des milieux favorables, les habitats réduits, la pullulation d’oiseaux comme les pies, les merles et autres prédateurs qui s’attaquent aux nichées, la raréfaction de la nourriture, ... et bien sur les produits qui nuisent aux insectes qui sont la base de l’alimentation. 

Alors désigner les seuls agriculteurs comme LA cause est bien dans cette démarche simplificatrice qu’adore l’insoumis de base ....

@mmbbb

Le seul fait de mettre la nuance face aux explications simplistes serait donc prendre pour des idiots ? 

Cette histoire de LA cause est assez symptomatique d’un phénomène assez courant consistant à la simplification abusive des problèmes. Le résulta est assez simple, la foire aux solutions simplistes ... Les partis en abusent. L’Etat est en déficit, à gauche la fraude et l’évasion fiscale, à droite la fraude sociale. 

Il n’y a plus de piafs, facile interdire les produits chimiques. C’est y pas beau le simplisme !!!!

@Aristide
 
 Parlons en, de la cause unique, et des simplistee !
 
Le théorème de Guetta  : «  Toute réussite s’explique par l’Europe ; tout échec est imputable au manque d’Europe ; toute réussite et tout échec appellent davantage d’Europe. » 
 
Théorème de Guetta transposé au covid : « Toute réussite s’explique par le vaccin ; tout échec est imputable au manque de vaccination ; toute réussite et tout échec appellent davantage de vaccins. »

@Francis, agnotologue

Oui, et alors ? Le simplisme est assez bien représenté dans toutes les tendances politiques, les croyances, .... 
Un exemple, quand il est difficile de savoir les causes, les raisons de tels ou tels évènement, lui attribuer systématiquement une explication du genre « cuo boni » ou pire contester les faits et les tordre pour qu’ils rentrent dans un raisonnement fixé par avance.
Vous voulez des exemples ?

@Aristide
 
Gardez vos exemples qui sont à n’en pas douter vu que vous confondez simplisme, esprit simple et insoumis, sujets à polémiques.
 
 On n’a pas besoin de ça ici.