• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Les commentaires de passifou



  • lib 8 septembre 2008 18:41

    Passionant votre article. Mais ce sont surtout les commentaires qui valent.

    En fait, ce qui me consterne le mieux, et le plus souvent, c’est la capacité de s’aveugler de beaucoup qui se prétendent de gauche. Cette capacité qui les fait relayer le discours officiel du journalisme habituel, uni comme un seul homme, avec ce qui est bien une pensée unique :
     le PS est foutu, et c’est la faute de ses dirigeants.

    Tout est alors dit, chacun se tape sur le ventre et dans le dos, et on rentre pleurer à la maison, en attendant... Quoi ?

    Le messie. De gauche, merci.

    Seulement voilà, il reste la réalité. Celle là dit que Sarko est un nul, richissime de moyens, et sur-adulé par TOUS les médias.
    Il est nul partout. Et en plus, il est méchant.
    Seulement voilà, il est soutenu par la plus formidable volonté de droite qu’on ait vu depuis longtemps.
    Elle dit sa vérité : exit toutes les valeurs sociales ou socialistes.
     Retour à la case départ, c’est la Réaction, comme on ne l’a connaît que dans les livres d’histoire, et les romans de Zola.
    Et tout va y passer, y compris les congés payés, dans le même temps ou la productivité devient phénoménale, en même temps que les profits.
    Aujourd’hui, l’exemple est chinois. L’esclavage, et un flic, l’Etat, pour protéger les nouveaux patrons.

    Pour la France, on n’en n’est pas encore là, mais le Roi se bouge.
    En face, personne.
    Du moins personne d’audible.
    Sauf sur le net. Et là, on voit du monde.
    Pour commencer toute la cohorte de journalistes, virés, ou en voie de l’être, qui commence à en avoir assez de se faire chauffer par tous ces c... qui font leur loi.
    Donc nouveaux journaux, indépendants, blogs, libres, donc forcément, anti-sarko.

    La vérité est sur le net. Et encore, douce, vu que l’autre maroufle guette, à coups de jugements, et de procureurs...
    Mais on peut dire encore.

    Le PS ?

    C’est le gros morceau.
    Et le très gros morceau, quoiqu’on dise, et à moment donné, il faudra bien atterrir, c’est Ségolène.
    L’anti-clan sarko. Presque l’anti-france, gotlib s’éclaterait aujourd’hui...

    37 %, ça compte.
    Une indépendance vis à vis du parti qui n’est plus à démontrer, et un pragmatisme de campagne, pareil. On l’a vu avec le débat entre deux tours, avec Bayrou, la punaise que sarko cherche à écraser sans y arriver... elle va l’infecter, faut espérer...

    Donc, cette Ségolène qui vous fait tant de vapeurs, elle a explosé Sarko 1 er pendant la campagne, à chaque rencontre, et sur chaque sujet. Il a fallu toute la puissance des médias, et le soutien objectif des ambitieux de son parti, et des abrutis qui les soutiennent. oui, je revendique : abrutis. Au sens propre, devenus brutes, sans cervelle. Qui font mal, sans réaliser à qui ils ont fait vraiment mal, pas à S1er, et pas au Medef, d’ailleurs, à mon avis, Parisot n’en revient toujours pas de toute l’opération...
    Tout cela pour lui enlever sa victoire, à ségolène, parce que c’en est une, et, elle, ne s’y est pas trompé.
    Victoire de fait, celle d’avoir été la seule à pouvoir affronter le monstre.

    Je ne crois pas qu’on réalise bien dans les bla-bla qui font brouhaha.

    En face, l’ ex-ministre de l’intérieur, avec des moyens à nuls autres pareils, ceux de l’Etat, du grand capital, des grands médias, un ram-dam, un rouleau compresseur pas possible, et, de plus, aucun soutien de personne dans son propre parti.
    Aucun grand ténor pour la supporter dans aucun débat, ou face à face, contre des nuls à nul autre pareil. Il n’y en avait pas un, à droite, capable de tenir tête à aucun des socialistes, en tête à tête.
    Mais pas de pot, pas question de défendre Le peuple. Pardon, Ségolène.
    Sauf, qu’elle était notre seule chance. Et maintenant, moi, je dis qu’elle le reste.
    Et moi, je ne suis pas socialiste, je suis de gauche, mais la vraie, celle qui pense qu’on peut vivre ensemble dans un équilibre des pouvoirs, qui fait l’équilibre des vouloir.

    Donc, je me demande comment elle a fait. ou plutôt, je le sais bien.

    D’ailleurs, si vous en doutez, demandez vous pourquoi ce fut elle, et pas Fabius, ou DSK qui a conduit l’opposition ? Elle était plus maligne, plus forte, et surtout plus près du peuple.

    Mais qui se souvient du peuple au PS ?
    Larrouturou.
    Oui.
    Je suis bien d’accord. On y reviendra, puisqu’il y a là les solutions..

    Pour revenir donc à une autre réalité du PS, voilà qu’on nous abreuve du grand combattant Delanoë.

    Sauf que celui-là, c’est le même, en plus féroce que Martine.
    Oh, ils sont tout à fait respectables, mais deux candidatures téléguidées, juste pour crucifier Ségo, d’abord. C’est qu’elle est dure à crever, la bête, pensez, non seulement la défaite ne l’a pas tuée, mais mieux, la voilà encore plus forte.

    Le PS, c’est Ségo, ou ce n’est personne.
    Avalez-le, drôles. A moins que vous ne soyez des DSK, ou d’autres, préférant un Sarko, pour tenter mieux le coup la prochaîne fois, sauf que nous, nous n’avons ni le temps, ni les moyens de supporter un sarko.

    Ni un jour, ni un mois, ni même une seconde, et que cette attitude d’irresponsabilité insconsciente vis à vis du peuple déshonore.
    Mais ceux là ont le temps, et on peut forger tous les complots dans le cocon des ors de la république, surtout que Sarko paye bien les traîtres.

    Si DSK avait été le prochain président, il ferait la guerre à celui qui nous tue, et pas ses petites, ou grandes, affaires, ailleurs.

    Pour Delanoë, je ne l’ai pas trop entendu, moi.

    Et Martine, pauvre Martine, pour qui j’ai le plus grand respect, ne sois pas l’arme anti-ségo, mais bien l’artisan d’une nouvelle France...
    Socialistes, réveillez-vous. Ou disparaissez.



  • lib 7 septembre 2008 12:41

    Très bon article, et surtout très bon débat.
    Forcément, ces sujets ouvrent à la discussion.
    On peut se positionner intelligemment, quoiqu’on pense.

    Ce qui reste, à mon avis ?

    D’un point de vue artistique, superbe. Un grand moment, mais une impression de malaise. Oui, pour des adultes dans un monde d’adultes, c’est très intéressant, très émoustillant, très... Inspirant.

    Et qui bouderait le plaisir, s’il est fin, et innocent, entre adultes consentants ?

    Justement.

    Si le clip était destiné à un public averti, dans une chaîne de boîtes, ou de bars de nuit, par exemple, il n’y aurait rien à dire.

    Mais dans un environnement familial, le débat va vite enfler, comme ce qu’on aurait voulu du reste, sujet oblige. Sans problème.

    Ce qui est érotique devient alors obscène.

    Mais ce n’est qu’une obcénité dans un monde obscène. Ce qui ne pose pas trop de problèmes, le nucléaire en est une autre, la drogue et ses effets, les mines anti-personnel, la faim, la maladie, l’exploitation de l’homme par l’homme, et, bien sûr, obscèneité entre toutes, la guerre...

    Question : qui veut d’un monde obscène ?

    Je ne sais pas pour les autres. Mais moi, j’aime les limites, celle qu’on se plaît à franchir, mais avec la compagnie des gens qui ont l’âge.

    Non à la culture érotico/financière, et au mélange des genres dans le spectacle pour tous.

    Ceci dit, comme il me faut subir ce monde, je peux bien subir un clip, et merci la zappette.

    Lib.



  • lib 31 août 2008 15:28

    Oui, c’est juste.
    Nous avons déjà compris le fonctionnement du rouleau compresseur de la propagande des médias, ceux qu’on peut dire installés.
    En fait un journaliste, aujourd’hui, hors Marianne, ou le Canard, c’est un militant enthousiaste, et sincère, de la liberté d’entreprise au sens du siècle dernier, si ce n’est pas carrément UMP.
    Quand ce n’est pas l’hagiographie du pouvoir, c’est celle d’un esprit tout à fait paradoxal qui cite par exemple la Chine comme modèle économique. C’est à pleurer de rire pour ne pas éclater en sanglots...

    On a un formatage rampant, et manifeste des esprits tout à fait décoiffant, et décapant, tellement d’ailleurs qui ne reste rien du cerveau, semble-t-il, puisqu’on ne voit rien, on n’entend rien, et surtout, on ne dit rien. Rien qui ne soit la stupéfiante réussite du pouvoir, ou des infos totalement destinées à torpiller la moindre vélléité d’opposition. 

     Heureusement, il y a le Web. Alleluia, merci, merci à la divinité quelle qu’elle puisse être... Mais surtout merci à ces esprits frondeurs ou chagrins, d’où qu’on se place, qui nous ont donné rue 89, ouf, et bakchisch, ou les mots on un sens...

    Les moteurs de recherche, à propos de l’actualité, et de la politique, ne connaissent que les grands médias, donc la désinformation. Je suis très fier d’avoir rayé Le Monde, l’Express, le Journal du Dimanche, de mes lectures. Je gardais un oeil sur le Point, mais c’est foutu, pareil pour le Nouvel Obs... J’aurais voulu, mais ils n’ont pas pu...Il n’y a plus personne. Je préfère m’abstenir sur la télé et la radio, où l’on atteint des sommets, sinon on va aller jusqu’à évoquer un passé tragique, et affreusement semblable, si ce n’est similaire, passé qui trop bien précisé peut d’ailleurs nous conduire au tribunal...Qui reste inquiétant même s’il y en a moins... En tous cas, près de chez vous. Ce qui reste des prétoires, les champions de l’intox savent comment les faire fonctionner pour faire taire ceux qui l’ouvrent un peu trop.

    Alors, bonheur, de lien en lien, on a sarkostique, on a les mots sont importants, on a tout un tas de petites gens qui se battent avec quelques moyens, difficilement réunis, Arrêt sur images, ou Médiapart, ou alors pas de moyen du tout, intox 2007.

    Merci à tous ces amoureux de la liberté, qui prennent encore le soin, de réfléchir , de voir, d’écouter et de dire.

    Et bravo pour rappeler que cette idée de surfer, de chercher, de creuser, c’est le fondement de la curiosité, celle de connaître, celle de savoir, pour un jour, qui sait, pouvoir de nouveau.



  • lib 25 août 2008 17:46

    Cqfd. Merci pour cet article.
    La politique n’a rien de noble en soi, mais ceux qui la font pourraient l’être, nobles, suivant leurs actes, elle n’a rien non plus d’indécent, en elle-même, mais ceux qui la font se révèlent facilement obscènes, tout autant, par leurs actes.

    On est toujours au niveau de ce qui justifie les moyens, et de ce qui justifie la fin, selon Camus.

    Il faut se battre, et ne pas se taire.
    La démocratie est un combat, en même temps qu’une chance.
    Et contrairement au mot bien connu de bistouille, trop de démocratie ne tue pas la démocratie, mais c’est bien sûr, l’inverse. Il faut mesurer, évaluer sans cesse.

    L’étalon, non seulement peut se trouver dans la morale, mais plus encore dans l’éthique. Parce que la morale est commune, mais l’éthique est une exigence individuelle, plus complexe, et plus souple.

    On peut vivre sans morale, mais pas sans éthique.

    Bistouille connaît plein de règles morales, qu’il ne suit pas, mais est incapable de se discipliner, c’est pour cela qu’il faut le maîtriser.

    Reste à savoir comment.



  • lib 25 août 2008 17:17

    @Jean-Paul,

    Lol, question débile, et réponse facile : TSS.

    Qui tu veux, même une nouvelle tournée de Chirac plutôt que l’ubuesque.

    Rien ne pouvait être pire.

    Des réformes qui n’en sont pas, une situation politique et sociale, complètement verrouillée, qui va vers une espèce de dictature rampante, la fin du Droit, la fin de la citoyenneté, le culte de l’argent et de la personnalité, le nivellement culturel au niveau des tabloïds britanniques, enfin, bref, n’importe quoi.

    Je signe pour Bayrou, Royal, Juppé, Villepin, Fabius, Strauss Kahn, Aubry, je n’en sais rien, de droite, de gauche, du milieu, d’où tu veux, tout sauf le guide suprême qui nous tuait à petit feu, mais qui vient d’engagr la surmultipliée...



  • lib 25 août 2008 16:55

    Tiens, la remarque est tellement valable, que je pense qu’il faudrait très sérieusement se pencher sur le bien-fondé d’un examen psychiatrique du premier magistrat de france.
    Après tout, il y a encore une frappe atomique dans ce pays.
    Il en a fait tellement, du n’importe quoi, qu’on peut bien se le demander. 
    Sarkozy a-t-il toute sa tête ?
    Là, la décision du guide suprême a été lourde de conséquences, on a plus que des dégâts financiers, c’est du sang, en plus des larmes...



  • lib 25 août 2008 16:49

    La remarque est valable. C’est Ubu roi, ce sarko 1er.

    Prêt à tout, et à n’importe quoi, ça commence avec ses manipulations entre cécilia, les rédactions et sa position de ministre de l’intérieur... Et ça finit avec le bidouillage de la loi n°1 du pays, la constitution.

    Il ne respecte rien, ni personne. et joue sans arrêt avec les allumettes, mais c’est le peuple qui brûle...

    Le peuple souverain ?

    La bonne blague, laissez arriver les machines à voter...Celle de l’excellent Mister Bush.



  • lib 25 août 2008 14:01

    à serge,

    tout à fait d’accord.

    La politique sarkozienne n’est pas une politique incompétente, elle est une ligne idéologique appliquée, qui ne correspond pas comme soution aux problèmes du pays.

    Sarkozy sait très bien ce qu’il fait, là où il est incompétent, c’est lorsqu’il pense que ça marchera.

    Mais lui, de son point de vue, ne peut pas perdre. Puisqu’il fait partie de la classe protégée.
    Quoi qu’il se passe, lui s’en tire. Mais nous, non.
    C’est là que d’incompétent il passe à autre chose. Parce que les conséquences de ses actes, même s’il ne les assume pas, ne sont pas sans effets.

    Quand il l’ouvre un peu fort, et que 5 ou 600 voitures brûlent, ce ne sont pas la sienne, et ce n’est pas lui qui se retrouve avec le problème de trouver un nouveau véhicule du jour au lendemain, parce que s’il ne se brûlait que les voitures de ceux qui ont les moyens d’en changer, ce ne serait pas si grave, mais voilà, il y a un vrai souci pour beaucoup de monde avec ça.
    Mais qu’est-ce qu’il en à faire, du reste du monde, seul lui-même l’intéresse.

    Quand il prétend donner la troupe, là où seuls les plus grands, et les meilleurs spécialistes du combat peuvent avoir une chance d’en sortir vivant, ce n’est pas son fiston qui se fait massacrer.
    C’est celui d’un autre, un qui croit en la France, en plus, alors que le clan au pouvoir l’a montré et remontré, il ne croit qu’en l’argent, et celui des américains...

    On vit une époque affreuse. Et ceux qui devraient nous défendre nous mangent.

    Sarkozy devient un peu trop loup dans la bergerie, ou ogre qui fait la cuisine du réfectoire de l’école...

    Il va falloir qu’il se modère. Et qu’on lui dise comment, tous ensemble. Avant de le virer, sur orbite...Tiens, chez ses copains néo-cons américains, en voisin de son ex.



  • lib 25 août 2008 13:17

    J’aime bien l’article, Et j’adore la fatalité. Après tout, que peut-on contre le sort ?

    Et bien, on peut déjà commencer à parler vrai.

    Pourquoi dire : impossible d’appeler l’opposition à la manœuvre ?

    Elle est en plein dedans, l’immense majorité des régions est gouvernée par l’opposition.
    En fait, il n’y en a qu’une de la majorité de gouvernement, et malheureusement, il y a à dire.
    L’opposition gouverne, ce qui sauve d’ailleurs le sort de pas mal de petites gens. A ce sujet, sarko compte s’en occuper dès la rentrée, et asphyxier autant que possible financièrement les régions, avant de se retailler un costard électoral sur mesure, en bouleversant la carte administrative.

    En quoi : elle est absente, à court d’idées et, trop préoccupée à se parler à elle-même ?
    Cela c’est le discours de la grande, trop grande majorité des médias, qui ne fait que relayer celui de la majorité UMP au pouvoir, et quelques individus soi-disant dans l’opposition, qui ne font que le lit de ce pouvoir. Bref, des taupes.
    Entre les esclaves de leur propriétaire de presse, de type féodal, qui ne connaît de la culture que la loi du plus fort, et celle de qui tient le robinet, et ensuite les drôles qui cherchent à manger à tous les rateliers par manque de conviction, et aussi d’honnêteté intellectuelle, on peut trouver une place pour la vérité des faits. La méthode socialiste est démocratique, elle.

    Pourquoi dire : et puis, il vaut mieux pour le PS laisser passer l’été et revenir à la rentrée, pour critiquer de manière stérile et surtout, ne rien proposer.
    Parce qu’il n’y a rien à critiquer ?
    Parce que le spectacle désolant de ce pays, et du fonctionnement consternant de ses institutions, et de la vie de sa société paraît décent, normal ?
    Et depuis quand le droit à la parole confisqué comme cela ne s’est jamais vu dans une démocratie avancée, sauf chez berlusconi, merci la référence, permet-il de faire passer une proposition ?
    Vous pensez que tout le monde est aveugle ?

    Parce que des propositions, si vous n’en voyez pas, laissez-moi vous montrer :
    http://cozop.com/ma_vie_en_narcisse/les_21_contributions_socialistes

    Elles sont là, et croyez-moi, certaines valent le détour.

    C’est comme le non au traité constitutionnel, ce qui ne me convient pas n’existe pas.
    Sauf que ce type d’attitude augure mal de l’avenir. On ne fait qu’aller au rapport de force, et d’ailleurs, ce pouvoir ne connaît rien d’autre. Pas de discussion, pas de négociation, ça passe ou ça casse. que ce soit aec les amis, mais y en a-t-il ? Ou les adversaires, parce que des partenaires, il ne s’en connaît pas.

    Et quand ça casse, qui est responsable ? Il n’y a plus personne.
    Un chef d’état-major, autrement digne que ceux à qui il avait à faire, a démissionné, pour un évènement qui ’était pas de sa responsabilité.
    J’aurais trouvé juste de voir un ministre faire pareil, au vu du résultat récent de l’incapacité manifeste de ce gouvernement à gérer. Et là, c’est un paquet de morts et de blessés difficile à accepter, sur des décisions clairement assumées.

    Non, non, il y en a assez des discours soporifiques ou empoisonneurs. on ne peut pas sans cesse échapper au juste retour des choses.

    L’opposition existe, et cette majorité est néfaste pour le pays. Il faut qu’elle se corrige jusqu’à ce qu’on puisse en changer.
    Et le plus vite sera le mieux.

     


  • lib 25 août 2008 12:05

    Un peu de suite dans les idées, Artuhr,

    Ce n’est pas l’opposition qui tient les rênes, pratique l’effet d’annonce, style : on ne touchera pas aux trente-cinq heures, pour faire l’inverse, style, s’il n’y a pas d’avancée significative des droits humains en chine, je n’irais pas à la cérmonie d’ouverture, style : ... il y en a trop, il n’arrête pas, depuis qu’il est en place, le bouffon loufoque et lunatique malfaisant qui nous gouverne.
    Quand même, la mainmise sur la télé, sur les journaux, par l’agression caractérisée des journalistes, d’homme à homme, bien sûr, on pourrait presque se croire dans la cour de récré, sauf que l’un a toute la puissance publique derrière lui, c’est quand même le président, et avec, en plus, les propriétaires hargneux et féroces, il n’y a qu’à voir comme ça dégage aussi sec, des organes de presse...

    Quel type d’opposition peut donc susciter une telle caricature de chef de l’Etat ?
     Un type, et son parti, qu’il a installé dans une espèce de cénacle UMP à l’Elysée même, incroyable, d’abord avec des conseillers, complètement irresponsables devant le parlement, mais porte-paroles sans cotestation possible de l’ardeur sarkozyste, et court-circuitant sans vergogne l’officialité et l’honorabilité institutionnelle, au piquet, les ministres et secrétaires d’état, place aux petits raspoutines en tout genre...
    Un type, bien de son parti, qui a dit à tout le monde, ouvriers, petites gens, je suis plus à gauche que vous, et qui, une fois au pouvoir, quand un accord est trouvé entre syndicats et patronat, il le fait casser sur une ligne purement idéologique...
    Un type qui a dit : je suis le président du pouvoir d’achat, et qui a bien arrangé à la hausse celui de tous ses copains, celui des plus favorisés, par des cadeaux fiscaux, le sien même, par des augmentations complètement hallucinantes, et qui dans le même temps a ruiné la classe moyenne, et condamné les plus pauvres à la désespérance.

    Et on va reprocher à l’opposition de se durcir ?

    Je te l’ai dit, réveille-toi. tu ne vois même plus les coups qu’on prend tous les jours, et tu imagines que ça peut durer longtemps ?

    Un étalage pareil de richesses, de profit, l’indécence de ceux qui clament sans arrêt qu’il faut réformer, et se serrer la ceinture, pour aux plus pauvres, pendant qu’ils se gobergent et se gavent de super profits ?

    Est-ce que ça va bien, la tête ? 

    Dehors les exploiteurs, et brouilleurs de cartes, qui font prendre une décision de recul social pour de la liberté du travail...
    Dehors, les menteurs, et les prévaricateurs de l’argent public qui manipulent les décisions de justice pour payer les basse oeuvres électorales...
    Non, mais je crois rêver.
    Vous croyez faire n’importe quoi, continuer de nous foutre en l’air, et qu’on va rester les bras croisés ?

    Je t’en foutrais moi de l’opposition constructive !

    Appuyez-vous sur les vendus, sur les traîtres à leurs convictions, sur ceux qui tournent leur veste, parce que les poches se remplissent mieux par la doublure...Mais n’attendez donc pas que vous ne soyez dfécouverts, et pris pour ce que vous êtes.

    Des exploiteurs, des ennemis du peuple, et de l’avenir de la jeunesse, des vampires qui sucent le sang des soldats envoyés n’importe où, pour pas n’importe quoi, protéger vos intérêts, les gros, pensez donc ! Qui pompent la sueur des délolalisés de chez eux, après avoir immigré les populations vous émigrez les usines, ah, bravo, et tant que ça dure, on pompe, le peu de richesse des uns avec le peu de santé des autres, en retour, que tout le monde se débrouille, les uns avec leurs dictateurs, et les autres avec leurs politicards...
    Ces pourris, soutiens objectifs de ceux qui font fortune sur la malbouffe, l’éducation et la santé à plusieurs vitesses, et bien sûr, la ruine de la nature.

    Vous portez tous les maux ?

    Exactement.
    Qu’est-ce qui fait le damné ? Le diable qui le torture.

    Et bien, retournez donc à votre enfer pavé d’or !
    Et laissons nous travailler pour faire un monde vivable à nos enfants, même si l’on n’y gagne pas de quoi se payer des jets privés, et des yachts à 150 briques, ou plus, la semaine.

    DEHORS !
    Laissez nous vivre.



  • lib 24 août 2008 18:59

    @arturh,

    Hou, hou, debout, il faut se réveiller... C’est l’heure de prendre conscience.

    Il faudrait peut-être un peu regarder les choses en face. Dans ton pays, mon gars, le panier de fruits et légumes est devenu un luxe.

    Et si les gens se mettent au co-voiturage, mais ce n’est pas par amour de la nature, et c’est bien dommage, c’est qu’ils sont bien obligés.

    Sans compte les indicateurs qui clignotent de partout, et que tes copains milliardaires ne peuvent voir, éblouis qu’ils sont par leur brillants mannequins d’épouses, et les toquantes à cinquante-mille euros.

    Rappel : http://www.france.attac.org/spip.php?action=autoriser&arg=5053
    Les hauts revenus en france (1998 - 2006) : une explosion des inégalités
     Camille Landais

    Tiens, instruis-toi, citoyen, et dis-toi qu’il y en a qui rêvent à 1789... Et à la nuit du 4 août.
    Parce que maintenant, cela s’accélère, et les classes moyennes , celles qui font la stabilité des pays, sont foutues.

    Par rapport aux niches fiscales, le massacre des régimes spéciaux de retraites, qui méritait d’être un peu plus pensé, c’est de la roupie de sansonnet.

    Quant au train de vie des loups qui tiennent la bergerie, il n’y a plus besoin de commenter, les masques sont tombés, à coup de vacances somptuaires, d’apéritifs qui font affréter les jets privés, à coup de "la Cour de sa Majesté" s’en va suivre le roi dans Ses Campagnes à travers des milliers de kilomètres pour rien, conseil des ministres en corse, etc......Et leurs électeurs les plus modestes aussi, sont tombés, mais alors de très haut ces derniers.

    Ciao, bello, il n’est plus temps de discuter, mais de vous foutre dehors.

    Lib.



  • lib 24 août 2008 10:18

    En fait, vous reprochez au PS d’être démocratique.

    Ce qui ne manque pas de sel. Oui, une direction qui se bétonne et fait passer son projet, et ignore ce qui remonte des autres tendances, des autres propositions, voilà qui est inutile, risqué, et peu productif.

    Et surtout, quand on s’est découvert l’incapacité à résister à la pire clique politico-fiancière de la cinquième république, chercher à se renforcer, se dynamiser, se légitimer et retrouver des forces usées dans toutes les composantes disponibles, et rassembler les énergies sur un projet commun, c’est nul.

    Et bien, je pense que vous vous trompez.

    Le système UMP, c’est très bon pour lUMP, et les classes sur-protégées, et plus que riches.
    Les autres, qui se voient de plus en plus paupériser, ont besoin d’autre chose. ils n’ont que leur courage, et leur bonne volonté. On les a trompés honteusement, c’est avéré, et s’avère chaque jour, grâce à des médias inféodés comme on ne l’a jamais vu.
    On les pressure, comme aucun gouvernement n’a jamais osé le faire, et l’on manipule un désir naturel de changement, comme l’ aspiration à la prospérité et au bonheur, pour ne satisfaire que les ténors pseudos intellectuels, les banquiers, les affidés, et les mafieux du système.
    Alors, pardon, que les contributions soient étudiées, que ceux qui sont à droite s’en aillent, que ceux qui sont à gauche retrouvent la parole, que ceux qui ont failli s’effacent.
    Et il ne s’agit pas d’avoir failli aux yeux et au jugement des pseudos journalistes dont on sait maintenant qu’ils ne sont que d’odieux propagandistes, ou à l’opinion de ceux là même, les tricheurs, qui prétendent choisir leurs adversaires. Ils ont peur, et ne veulent à aucun prix voir revenir celle qui avait, à l’heure la plus sombre, et sous la pression la plus dure, trahie par ses proches même, obtenu un score plus qu’honorable, et fait bouger les bases pour tenter d’arrêter le désastre..
    Assez du n’importe quoi ! De la vérité !
    Et que les fantoches qui spolient, toute honte bue, de son pouvoir, de ses moyens, de ses avancées, l’ensemble du peuple et de la nation, que ces tigres de papier, couchés devant les tyrans, et tristes matamores devant leurs responsabilités s’en aillent.
     Loin, sur un de leurs yachts, dorés, du sang et de la sueur des autres...
     Et à jamais.

    lib. 



  • lib 2 août 2008 19:11

    Il n’en fait pas ? Ce n’est pas si sûr, mais en tous cas, il y pense ! Et fort, cela, c’est certain.

    Constant dans l’effort, c’est avéré.

    Lib.



  • lib 2 août 2008 18:49

    chiche !

    J’aimerais bien que sarko dissolve... pour voir.

    Lib.



  • lib 2 août 2008 18:40

    @ bulgroz,

    Tu rêves, mon pauvre vieux.

    Evidemment qu’il ne faudrait pas détricoter d’un coup toutes les réformes qu’a fait sarko, et qu’il va faire.

    Mais tu n’as pas le sens de l’histoire, action / réaction. Révolution / réaction.

    Il y aura l’exact retour de bâton qu’a donné sarko.
     
    Pas que la gauche le veuille vraiment, mais elle ne pourra pas faire autrement.
    IL n’y a pas grand monde qui prenne bien la mesure du mécontentement dans le pays. Et de ce que l’étalage du deux poids, deux mesures prvoque dans les esprits. Ils sont devenus fous de leur bulle dorée.
     
    Je pense qu’on va avoir la semaine de quatre jours.

    Je pense qu’on va taxer les revenus du capital, les immeubles non loués.
     Je pense que le retour de bâton sera exactement de la même nature que celui qu’a donné l’ump sarkolâtre.

    On va même perdre le sénat, avec la sixième république.
    Et si tu crois le contraire, regarde ce qu’a fait sarko, c’est lui qui a pété tous les cadres, et c’est lui qui a tiré le premier.

    La gauche va revenir, et j’en connais qui vont pleurer leur mère ...

    Quand on perd tous ses complexes, et qu’on donne le mauvais exemple, ceux qui suivent vont naturellement plus loin encore...

    C’est la vie. et du coup, Jean qui rit,...

    Johnny peut préparer ses valoches.

    Lib.



  • lib 2 août 2008 18:23

    @ fergus,

    Pardon, mais je veux bien que chacun s’exprime à sa façon, c’est bien normal.
     
    Personnellement, je pense tout de même qu’avec une telle équipe, sarko, devedjian, bachelot, darcos, morin, maintenant kouchner qui a définitivement brûlé ses vaisseaux.

    Et devant ces tourne- veste de la soi-disant opposition, ou ces affamés d’on ne sait quoi, qui se tirent la bourre de la gauche caviar, à ce qui reste de gens qui ont les yeux en face des trous... Et qui tous viennent donner encore du grain à moudre à ce pouvoir, qui dit, qui fait, ce qu’il veut , quand il veut.

    Ce pouvoir qui a déchiré tous les contrats tacites entre majorité et opposition, contrats marqués par la force des istitutions. Ce contrat qui a cassé les tables de la loi, pour s’arranger, et aussi casser l’espoir d’une vie meilleure dans une société meilleure pour tous, en revenant à l’insondable folie de la société ogre qui mange ses enfants et les découpe pour les donner à ceux qui sont les mieux nourris, et les plus forts.

    Il n’est plus temps de louvoyer.

    Il faut être clair.

    Sarkozy, c’est le diable, et ses sbires sont des démons, ils nous font un enfer.

    On a raison de se révolter.

    Et chaque fois qu’on baisse la garde, on en prend plein la gueule. il est temps de rendre coup pour coup, et d’arrêter de faire joujou, surtout avec les mots, et face à un pouvoir qui a le génie, du mal, et tous les moyens de la communication.

    Lib.



  • lib 2 août 2008 18:06

    @ mathildeleddimanche,

    Merci,  j’avais bien saisi.

    Je dirais que peut-être est-ce voulu, et assez fin, peut-être ne l’est-ce pas, et la finesse serait d’arroser l’arroseur, ce qui est de bonne guerre, si l’on était à jouer, du style fleuret moucheté.

    Le problème, c’est que si je ne cède pas au catastrophisme facilement, c’est bien une catastrophe que ce pouvoir. Et si vous n’avez pas une fortune en millions d’euros, qui vous permette de vous refaire, tous ceux qui font partie de la cohorte qui n’a que des bras, ou un peu de tête à monnayer, et même les petits détenteurs d’un plus ou moins modeste patrimoine, vont se voir des conditions de vie absolument terribles, et se faire dépouiller.

    Il faut comprendre ce qui s’est passé en Angleterre, ce qui se passe aux Etats-unis.
     
    Le rouleau compresseur de la propagande officielle, tous les gérants de la courte vue, ne visent qu’un intérêt immédiat, et ignorent les avantages d’une société de contrat social fort. On accapare, on tranche dans le bien commun, on met les pauvres à contribution, on exonère les grandes fortunes. et que personne ne bouge ! que personne ne parle ! Sinon...
     
    C’est pourtant chez nous qu’il y a la chance de voir la misère jugulée, tout comme les inégalités par trop criantes, ce qui empêche les débordements violents, entretient un espoir de promotion sociale vivant, et bâti sur l’effort, construit le mérite personnel. Mais sans ce vampire de la compétition sauvage, ce tous contre tous.
     
    La réforme, tout le monde la voulait, pas la réaction, et le retour à l’ancien régime. A quand le sacre à reims, pour le nouveau tyran et sa cour, et ses traîtres d’opérette ?

    Faire jouer l’esprit d’équipe, pour avancer , et rejeter ce qui dissout les liens normatifs, favoriser ce qui noue, croise et fait la solidarité... Et non créer ce monstre froid qui dévore, angoisse et fait des moins généreux d’entre nous les garants d’un avenir d’esclave à nos enfants.

    Ils ont les idées pourries, par le désir de plus d’argent, alors qu’ils ont déjà tout, plus de maison, de bateaux, d’avions, partout, dans chaque capitale, et des armées de larbins ou de sbires... Rien dans la poitrine, mais des voitures blindées, et des yeux affamés pour les regarder passer.

    Une mentalité de latifundiero au pays des droits de l’homme, mais ça va bien ?

    On peut bien rire, et je suis certainement un con, con de n’avoir pas vu venir tout ça de plus loin et de ne pas m’être battu assez pour que ça n’arrive pas. Mais il est temps.

    Et rira bien qui rira le dernier. et se tenir les côtes, on peut le faire pour différentes raisons.

    Qui y voit une menace ? mais il a raison, l’étrille viendra en son temps, pour faire tomber toute cette merde... Disons, 2012, au plus tard.

    lib.



  • lib 2 août 2008 15:36

    @ zygomar,

    Merci pour le commentaire, je me sens tout guilleret, un, au moins, qui a entendu.

    J’espère que vous êtes nombreux dans la catégorie, parce que si l’on ne relève que l’accroche, c’est qu’on a des difficultés avec le reste...Le régime de spoliation de tous les droits, et de la richesse d’un pays...

    Et puis j’adore les menaces, juste ce qu’il faut de voilé, on pratique les officines sur le net ?

    Vous voulez mon adresse ? Mais vous l’avez déjà. Qui croit encore à l’anonymat ?

    Mort aux cons, et mort aux fachos, ceux qui cassent la maison des femmes, et les traînent dans la boue !

    C’est l’avantage de ceux qui n’ont rien, ils ont tout à gagner à vous voir foutre le camp, quitter les leviers d’un pouvoir que vous exercez , au nom des petits intérêts contre les grands, le super court-terme, comme du compte en banque particulier, renfloué par millions, contre ceux de l’avenir des peuples, et soyons grands, de l’humanité.

    Vous vous souvenez, ce qui fait qu’on ramasse les blessés, et qu’on accompagne les malades, et qu’on protège les enfants... Dans une autre planète, avec d’autres gens que ceux que vous portez, la tête à l’envers, le coeur absent, et le knout à la main.

    Mort aux cons. Trois fois plutôt qu’une.
    Et si je crève, de mon côté, ce ne sera pas d’indigestion de fric, et de prébendes entre copains de comptoirs dorés.
    Que je crève, ok, mais que les gosses puissent encore rêver, et chanter, autre choses que les louanges du grand timonier, petit homme, ami des puissants qui savent torturer, assassiner, et spolier les peuples.

    Vous savez, ceux qui trichent si bien aux élections, celles dont vous ne voulez plus, et qui regardent bien en face, tous les lâches qui leur font tapis rouge, rouge sang, comme tous les journalistes du pays.

     Je suis écoeuré, complètement. jusqu’où faudra-t-il aller, jusqu’à quelles bassesses, jusqu’à quelles infamies, quelle honte, quelle ...Il n’y a pas de mot.

    Mort aux cons, c’est même trop gentil.
     
    lib.



  • lib 2 août 2008 15:14

    Pardon, mais excusez-moi du peu, quatre points de marge d’erreur !

    Vous réalisez ce que vous dites ?

    On a un quidam qui flirte avc les bas-fonds de la popularité, non de sa personne, mais de sa politique qui oscille autour des 35 % d’opinions favorables. donc dans les 30 % il aurait pu se trouver à 26, et à 40, il pourrait se trouver à 44, bonjour la marge d’erreur. Sauf qu’on vit dans ce pays, et qu’on rencontre du monde et qu’on discute, et pas toujours les même. c’est stop à sarko et sa clique qui s’en met plein les fouilles, fait bafrer les copains, et écrase le peuple. Et vous croyez que ça va durer ? 

    Il n’y a que les amoureux du désordre, et de la violence pour se réjouir de la situation.

    Un monsieur qui a fait sa campagne électorale sur les sondages, et la soi-disant opinion/ bon sens des français, et qui ,maintenant s’en contrefout. Il ne trouve comme soutien aujourd’hui que ceux qui se trouvaient auparavant une légitimité dans le nombre, et se la trouvent maintenant dans la légalité, et le pouvoir. Même quand cette légalité apparaît maintenant de plus en plus illégitime, tant l’écart entre ce qui a été promis augmente de ce qui est réalisé...

    Il faut arrêter de dire et de colporter n’importe quoi.
    Et retrouver un peu du sens que l’autre pantin des intérêts de classe, et ses sbires, ont fait perdre. Ils surfent sur la nullité avec des pointes de muflerie, et carrément de cynisme les plus éhontées.
    Bachelot, à ce sujet, atteint des sommets. Et dans un ministère qu’elle devrait quitter à l’instant, tant elle est incapable et de la tête, et du coeur.

    Pas facile de les entendre, ils n’en ratent pas une, et pour cause, ils sont ce qu’ils disent, des monstres de prétention, d’indifférence et d’avidité, une palme pour dassault puisqu’on y est. Le grand groupe démocratique du fouquet’s... Ou est allé se ressourcer notre bien aimé président, n’est-ce pas, pour mieux écouter le bon peuple de france.

    Mais celui-là s’intéresse surtout à l’europe, celle du fric, et se fout bien des campagnes, ou des cités...Si ce n’est pour faire marner et payer les petits.

    Prédiction, ça a bien commencé, et ça va mal finir.
    Et j’espère au pénal.
    Parce que à trifouiller les lois et les institutions, pour se faire des costards de printemps, ou d’été sur mesure, cette ump scélérate, et son patron dévoyé, auront bien à rendre des comptes un jour.

    Eva Joly y sera certainement, et nous aussi.

    Lib.



  • lib 2 août 2008 13:31

     Non, mais ça va bien ?

    Sarko, un honnête homme ?

    On croit rêver.
    Et la parole donnée, tant de fois, et jamais tenue, et les positions à géométrie variable, les contrepieds de toute nature, l’anti-parlementarisme rampant, la mise au pas des médias, l’interdiction de manifester son opposition, la fin du droit de réponse, la chasse par la meute et les copains.

    L’horreur pour ce régime, est quelque chose de jamais connu à ce jour. En tous cas, depuis que j’ai l’âge de raison, et j’ai presque 50 ans, je la trouve à travers toutes les couches de la société, sauf la plus riche et la moins partageuse. On dirait qu’ils sont, que vous êtes sans cerveau. Ce que beaucoup ressentent n’est absolument pas perçu.
    Est-ce que vous vous rendez compte de ce qui se passe chez les gens derrière le brouillard des médias ? Mais il y a un monde réel, réveillez-vous !

    Est-ce que vous avez conscience de l’effet des mesures prises, de la situation du monde, et du pays, de ce que des principes aveugles, réactionnaires et complètement surannés, infligent à notre capacité de réaction, de résistance, et de création, bref à nos moyens de tenir le choc du présent.

    Il serait temps, et d’abord chez les sarkozystes, ceux qui vont payer le prix fort de leur attachement à un régime, attachement quasi fanatique, de faire revenir un peu de raison.
    Il n’y en n’a plus , ni de jugement impartial, de constatation simple, de l’évidence des faits.
    Voir ce qui va tous nous vampiriser, sous des oripeaux de philosophie pseudo libérale, et en fait au nom d’une doctrine de l’exploitation de l’homme par l’homme, la plus féroce, et la plus attardée, qu’on ait vue depuis longtemps en europe.

    Aujourd’hui, où tout montre les limites d’un système qui ne sait que proposer la guerre, et la misère, quelle sorte d’homme faut-il être, pour lécher les semelles, et le cul, de ceux qui vous écrasent de leur argent, de leur pouvoir, et qui n’ont à vous proposer que d’être l’esclave de leurs fantasmes, et de leur goût de puissance ?

    N’êtes vous donc que des esclaves, qui tendez le cou vers les chaînes ?
    Qu’avez vous fait des idéaux des droits de l’homme, qu’avez vous donc fait de votre droit à la liberté, à l’égalité, à la fraternité, et au bonheur ?

    Vous n’y croyez plus ?

    Et bien libre à vous.

    Mais libre à nous de nous défendre, et avec nous, la liberté et la fin de ce qui est un nouvel âge de l’esclavage, par la paupérisation économique, et culturelle.

    Défendons nos droits à l’enseignement, au logement, aux soins, à la justice égale, à la liberté de vivre, de travailler, et surtout, de penser.

    Et mort aux cons.

    Lib.