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Bravo à Martine, bon courage et bonne chance( puisque, dans les élections, il n’y a pas grand chose de rationnel !)

arobase : je me demande bien pourquoi on focalise à ce point ( ici sur ce site mais ailleurs aussi) le vote Le Pen des « travailleurs ». La grande masse de ceux qui votent Le Pen sont indépendants : commerçants, artisans, paysans. Cela ne veut pas dire qu’ils sont informés mais ils ne défendent, ou du moins le croient-ils, que leurs petits intérêts privés. Il n’y a évidemment pas de conscience de classe chez eux.
La conscience de classe, donc cette conscience d’appartenance au peuple, n’existait plus guère ( c’est un euphémisme). Le F de G a cette ambition et, il y réussit assez bien jusque là. Malheureusement, la conscience de classe ( au sens large, c’est presque une conscience « d’espèce ») ne s’apprend pas- ou pas en six mois-, elle se ressent : c’est une question de sensibilité.

Le Chat : il fut un temps, dans nos contrées, c’était du loup dont on avait peur !
Quand on s’instruit et que l’on participe à la vie politique, on n’a peur de rien !

TicTac : Il me semble que les politiques ne doivent pas se contenter de parler ; il faut comprendre, derrière, le grand mépris de ces gens-là ; pour eux, « le peuple » ( et personne aujourd’hui n’est capable de le définir puisque dans ce peuple il y a tout un tas de gens qui font tout pour s’en distancier, aidés en cela par la propagande« je le vaux bien » !), ce n’est que des voix pour leur pomme. Je donne mon billet qu’il n’y a pas dix pour cent des électeurs de Le Pen qui ont étudié son programme. La différence entre le F N et le FdeG, par exemple, c’est que le FdeG n’a pas besoin de payer ses militants ( qui payent leur cotisation) ni ses sympathisants qui donnent ( du temps, de l’énergie,etc.). Tous les politiques font semblant de « parler du souci des gens ». Il n’y a que le FdeG pour avoir un discours POLITIQUE ; Vu ?

Au secours ! il y a u n très grave problème au niveau du vote !