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Initiative Citoyenne

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  • Premier article le 24/11/2010
  • Modérateur depuis le 14/03/2011
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Derniers commentaires



  • Initiative Citoyenne Initiative Citoyenne 18 avril 2011 18:13

    Si vous lisez le constat fait par l’InVs, vous pourrez lire :

    « Les données montrent que les taux d’incidence en 2010 ont plus que triplé chez les moins de 1 an et ont augmenté de près de 5 fois chez les adultes de 20 ans et plus par rapport à 2009. Ceci est très préoccupant car les complications (neurologiques ou pulmonaires notamment) sont plus fréquentes et sévères dans ces groupes d’âges. »

    http://www.invs.sante.fr/surveillance/rougeole/Point_rougeole_220311.pdf

    Autrement dit, votre question doit être repensée car les risques d’une rougeole à l’âge adulte sont un des effets collatéraux, à tout le moins favorisés, par la vaccination de masse dès la prime enfance !

    Les médecins du groupe suisse de réflexion estiment plus licite et plus logique de ne vacciner que les adolescents ou jeunes adultes qui n’auraient pas eu la chance de faire la maladie à un âge où elle est la mieux tolérée et trouvent que ce serait aussi plus logique car les risques du vaccin augmentent avec le jeune âge des enfants (dont le système immunitaire n’est pas mature avant 6-7 ans d’âge)

    Ils expliquent ça très bien aux deux liens suivants :

    http://www.infovaccins.ch/rougeole.htm et ici : http://www.infovaccins.ch/rougeole2008.html

     






  • Initiative Citoyenne Initiative Citoyenne 18 avril 2011 17:48

     @Annie

    Même si vous contestez cette étude indépendante du NVKP comparant les enfants vaccinés et non vaccinés, elle montre aussi des différences patentes en terme de troubles du comportement.

    Il y a des faits plus que troublants. Les explications des officiels prétendant que la hausse des cas d’autisme serait uniquement d’origine génétique et due à un meilleur diagnostic n’est pas crédible car cela ne suffirait pas à expliquer une hausse dans de telles proportions et dans ce cas où sont donc toutes les masses d’autistes de plus de 20 ans comme demandé par l’écrivain Sylvie Simon dans « Autisme et Vaccination » ???

    Nous aussi, nous aimerions de vraies réponses à ces questions et pas des prétextes mis bout à bout pour toujours, toujours innocenter les vaccins, par principe. Car hélas, c’est ce à quoi on assiste. Sinon, s’il n’y avait pas de tabou, Annie, merci de nous expliquer POURQUOI le Pr Tardieu qui avais mis en évidence un sur-risque de sclérose en plaques chez les enfants vaccinés par Engerix –t-il été interdit de conférence de presse (selon Le Journal Libération, sous la plume d’Eric Favereau, du 14/10/2008) : http://www.liberation.fr/sciences/0101124147-cachez-ce-risque-que-je-ne-saurais-voir 

     Vous aviez aussi écrit ceci : « J’aimerai poser une question sérieuse, mais je voudrai que l’on m’y réponde aussi sérieusement. Je ne mets pas en doute les effets secondaires ou les risques liés aux vaccins. Mais tout est une question de proportion, et il s’agit de comparer ce qui est comparable, c’est-à-dire une population vaccinée avec une population de contrôle qui ne l’est pas. Bref ma question est la suivante : les effets secondaires de la vaccination sont-ils plus sérieux, aussi sérieux ou moins sérieux que les séquelles ou les conséquences d’une rougeole chez un adulte par exemple ? »

    Le gros problème des « proportions » comme vous dites, il reste entier à partir du moment où, depuis plus de 200 ans de pratique vaccinale, on refuse sous de fallacieux prétextes « d’éthique » de comparer valablement et sans a priori la santé GLOBALE des vaccinés et des non vaccinés. Or on refuse parce qu’on part d’un postulat ou dogme intouchable (comme dans les religions) que priver des gens de vaccins ne serait pas éthique ! Attendez, ça ce n’est plus une attitude « scientifique » !!! Et c’est ainsi que les chiffres d’effets secondaires sont constamment biaisés car ils ne peuvent pas être évalués dans les justes proportions avec le paramètre long terme. Ce n’est pas dur à comprendre car si vous comparez des vaccinés avec d’autres vaccinés, les « autres vaccinés » peuvent aussi avoir des effets secondaires qui pourraient être attribués aux vaccins mais qui ne seront ainsi jamais considérés comme tels et qui serviront juste à « diluer la responsabilité » des nouveaux vaccins testés.

    La tournure de votre question sur la rougeole nous donne envie de vous demander « qu’avez-vous déjà lu comme ouvrages au sujet de la vaccination ? »

    Beaucoup d’ouvrages de médecins et scientifiques expliquent très clairement que la vaccination, faite en bas âge, provoque un déplacement de l’âge de survenue de la maladie : les enfants vaccinés n’ayant jamais une immunité aussi durable que celle conférée par une immunisation naturelle, ceux-ci perdent cette immunité et sont ainsi plus vulnérables aux microbes à l’âge adulte, âge où les complications sont à la fois plus graves et plus fréquentes. Les mères n’ayant plus d’anticorps naturels, durables à vie, arrivées en âge de procréer, elles ne transmettent plus de solide protection non plus aux bébés qui sont ainsi plus souvent atteints, avant même d’avoir atteint l’âge de vaccination habituel à 1 an. Ce faisant, avec les vaccinations de masse, il y a certes une réduction du nombre de cas absolu mais pas une réduction du nombre de complications graves, c’est juste l’inverse, on augmente les cas les plus graves qui surviennent chez les moins de 1 an et les adultes alors que la maladie est la plus bénigne dans la seconde enfance. En voulant faire mieux, on fait pire que bien.



  • Initiative Citoyenne Initiative Citoyenne 18 avril 2011 17:27

    @Annie (suite) :

    Enfin vous avez aussi écrit :

    « J’ai vu des épidémies de rougeole en Afrique qui ont décimé des enfants et fauché des adultes dans la force de l’âge dans des populations non vaccinées. On ne vaccine pas tant pour éradiquer la rougeole que pour éviter ses complications, comme l’encéphalite notamment. »

    Vous ne pouvez pas valablement comparer la situation en Afrique et ici car les conditions ne sont pas les mêmes : là bas, la dénutrition (dont l’immunodépression qui en découle), les carences en vitamine A notamment, favorisent énormément la fréquence de complications graves et de décès, conditions qui ne sont pas réunies ici.

    En outre, vous devez savoir que le vaccin anti-rougeoleux est un vaccin à virus vivant or même les fabricants indiquent dans la notice qu’un état d’immunodépression (systématiquement le cas dans ces pays) est une contre-indication formelle à la vaccination, cette dernière ayant aussi un effet immunodéprimant. Dans ces pays où on vaccine à la hussarde, sans dépistage préalable du SIDA, on imagine bien que ces vies que vous croyées « sauvées de la rougeole » peuvent très bien être précipitées par d’autres maladies opportunistes, dans les suites de vaccination, sans pour autant être reprises dans « les glorieuses statistiques »…

    La vaccination contre la rougeole aussi peut induire des encéphalites et celles-ci peuvent aussi se produirent en dépit d’une vaccination (« Revue Médicale de Tours » -1995- T.29. - N9/10)

    Quand on voit par exemple les tracts que MSF distribuent aux donnateurs potentiels pour lever des fonds et qu’on voit que les bouillies nutritionnelles sont beaucoup plus chères epour moins de gens et qu’avec 50 euros, on a déjà 250 vaccins pour 250 personnes, ça pose un problème éthique très aigu en terme de priorités données à la lutte humanitaire. Car il est évident que ces gens ont d’abord besoin de manger avant d’être vaccinées mais que la vente de ces bouillies est moins rentable pour nos industries occidentales que la vente de vaccins avec toute cette image publicitaire discutable de « bonne action » et de « noblesse » qui en découle vis-à-vis de l’Occident.

    Ce que vous pensiez être « une rumeur » est peut-être beaucoup plus solide que ce vous croyez mais il est assez clair que les mass médias non indépendants travaillent bien pour donner l’illusion à un public de plus en plus formaté que ce qui est distillé est sa propre opinion : ainsi vous lisez dans une revue sous la plume d’un journaliste ignorant, paresseux ou ayant interrogé un « expert officiel » (souvent lié) et vous lisez « c’est une rumeur » et vous finissez par penser et par croire que Votre opinion c’est que « oui, oui, c’est une rumeur ». Un des indices de cette manipulation médiatique est que vous attribuez les « rumeurs » sur le ROR comme exclusivement britanniques alors que ce débat est MONDIAL, exactement comme on a tenté de faire croire, via la presse, que la controverse sur le vaccin HB était strictement franco-française, ce qui est bien sûr absolument faux. Les médias ont aussi donné à penser que l’autisme était le seul sujet de controverse avec le ROR comme la SEP, le seul sujet de controverse avec le vaccin HB alors que la réalité c’est que divers vaccins sont susceptibles selon divers scientifiques de pouvoir provoquer l’autisme (ROR, vaccin hépatite B, DTC, etc) comme divers vaccins peuvent engendrer des cas de scléroses en plaques, là encore selon la littérature médicale !
    Par exemple ici encore, une toute récente étude sur le lien entre vaccins anti-HPV (« cancer du col ») et atteintes démyélinisantes du système nerveux central (CNS), style sclérose en plaques : http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/18805844

    Les effets des vaccins sont ainsi constamment sous-estimés, tant en gravité, en variété possible qu’en fréquence. Mais bien entendu, vous penserez ce que vous souhaitez de notre réponse.



  • Initiative Citoyenne Initiative Citoyenne 18 avril 2011 17:26

    @Annie (suite de notre réponse) :
     

    Il y a des faits plus que troublants. Les explications des officiels prétendant que la hausse des cas d’autisme serait uniquement d’origine génétique et due à un meilleur diagnostic n’est pas crédible car cela ne suffirait pas à expliquer une hausse dans de telles proportions et dans ce cas où sont donc toutes les masses d’autistes de plus de 20 ans comme demandé par l’écrivain Sylvie Simon dans « Autisme et Vaccination » ???

    Nous aussi, nous aimerions de vraies réponses à ces questions et pas des prétextes mis bout à bout pour toujours, toujours innocenter les vaccins, par principe. Car hélas, c’est ce à quoi on assiste. Sinon, s’il n’y avait pas de tabou, Annie, merci de nous expliquer POURQUOI le Pr Tardieu qui avais mis en évidence un sur-risque de sclérose en plaques chez les enfants vaccinés par Engerix –t-il été interdit de conférence de presse (selon Le Journal Libération, sous la plume d’Eric Favereau, du 14/10/2008) : http://www.liberation.fr/sciences/0101124147-cachez-ce-risque-que-je-ne-saurais-voir

    7°) Vous aviez aussi écrit ceci : « J’aimerai poser une question sérieuse, mais je voudrai que l’on m’y réponde aussi sérieusement. Je ne mets pas en doute les effets secondaires ou les risques liés aux vaccins. Mais tout est une question de proportion, et il s’agit de comparer ce qui est comparable, c’est-à-dire une population vaccinée avec une population de contrôle qui ne l’est pas. Bref ma question est la suivante : les effets secondaires de la vaccination sont-ils plus sérieux, aussi sérieux ou moins sérieux que les séquelles ou les conséquences d’une rougeole chez un adulte par exemple ? »

    Le gros problème des « proportions » comme vous dites, il reste entier à partir du moment où, depuis plus de 200 ans de pratique vaccinale, on refuse sous de fallacieux prétextes « d’éthique » de comparer valablement et sans a priori la santé GLOBALE des vaccinés et des non vaccinés. Or on refuse parce qu’on part d’un postulat ou dogme intouchable (comme dans les religions) que priver des gens de vaccins ne serait pas éthique ! Attendez, ça ce n’est plus une attitude « scientifique » !!! Et c’est ainsi que les chiffres d’effets secondaires sont constamment biaisés car ils ne peuvent pas être évalués dans les justes proportions avec le paramètre long terme. Ce n’est pas dur à comprendre car si vous comparez des vaccinés avec d’autres vaccinés, les « autres vaccinés » peuvent aussi avoir des effets secondaires qui pourraient être attribués aux vaccins mais qui ne seront ainsi jamais considérés comme tels et qui serviront juste à « diluer la responsabilité » des nouveaux vaccins testés.

    La tournure de votre question sur la rougeole nous donne envie de vous demander « qu’avez-vous déjà lu comme ouvrages au sujet de la vaccination ? »

    Beaucoup d’ouvrages de médecins et scientifiques expliquent très clairement que la vaccination, faite en bas âge, provoque un déplacement de l’âge de survenue de la maladie : les enfants vaccinés n’ayant jamais une immunité aussi durable que celle conférée par une immunisation naturelle, ceux-ci perdent cette immunité et sont ainsi plus vulnérables aux microbes à l’âge adulte, âge où les complications sont à la fois plus graves et plus fréquentes. Les mères n’ayant plus d’anticorps naturels, durables à vie, arrivées en âge de procréer, elles ne transmettent plus de solide protection non plus aux bébés qui sont ainsi plus souvent atteints, avant même d’avoir atteint l’âge de vaccination habituel à 1 an. Ce faisant, avec les vaccinations de masse, il y a certes une réduction du nombre de cas absolu mais pas une réduction du nombre de complications graves, c’est juste l’inverse, on augmente les cas les plus graves qui surviennent chez les moins de 1 an et les adultes alors que la maladie est la plus bénigne dans la seconde enfance. En voulant faire mieux, on fait pire que bien. Si vous lisez le constat fait par l’InVs, vous pourrez lire :

    « Les données montrent que les taux d’incidence en 2010 ont plus que triplé chez les moins de 1 an et ont augmenté de près de 5 fois chez les adultes de 20 ans et plus par rapport à 2009. Ceci est très préoccupant car les complications (neurologiques ou pulmonaires notamment) sont plus fréquentes et sévères dans ces groupes d’âges. »

    http://www.invs.sante.fr/surveillance/rougeole/Point_rougeole_220311.pdf

    Autrement dit, votre question doit être repensée car les risques d’une rougeole à l’âge adulte sont un des effets collatéraux, à tout le moins favorisés, par la vaccination de masse dès la prime enfance !

    Les médecins du groupe suisse de réflexion estiment plus licite et plus logique de ne vacciner que les adolescents ou jeunes adultes qui n’auraient pas eu la chance de faire la maladie à un âge où elle est la mieux tolérée et trouvent que ce serait aussi plus logique car les risques du vaccin augmentent avec le jeune âge des enfants (dont le système immunitaire n’est pas mature avant 6-7 ans d’âge)

    Ils expliquent ça très bien aux deux liens suivants :

    http://www.infovaccins.ch/rougeole.htm et ici : http://www.infovaccins.ch/rougeole2008.html



  • Initiative Citoyenne Initiative Citoyenne 18 avril 2011 17:17

    @Annie (suite de notre réponse) :

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