Olivier Bach

A jean,

Vous avez tout à fait le droit de considérer que les non-salariés doivent financer une partie de votre retraite. Il serait peut-être utile de demander aux non-salariés leur avis sachant qu’il ne s’agit pas dans ce cas d’un mimimum de retraite égal pour tous et que cela n’a rien à voir avec la solidarité.

A olivier cabanel,

Il est normal de tirer des conclusions à partir de données chiffrées. Par contre il devrait être normal de modifier ses conclusions quand on constate que les données chiffrées sont fausses. C’est ce qu’on appelle de l’honnêteté intellectuelle. En refusant de modifier vos conclusions compte tenu des informations factuelles qui vous sont données, vous vous comportez comme ceux que vous dénoncez.

A l’auteur,


Ceux que vous considérez comme des experts trompent les Français sur la réalité des chiffres. Aller sur le site de la Cnav et consulter sa situation financière est à la portée de tous. Vous y constaterez que les cotisations salariales et employeurs ne couvrent que 60% des coûts le reste étant compensé par l’Etat.

Les insultes ne modifient pas les réalités financières. Les idéologies rendent malheureusement aveugles leurs adeptes. Le plus grave étant qu’ils n’ont pas l’impression de l’être.

A l’auteur,

Vous écrivez : « En 1950 il fallait 4 travailleurs pour payer la retraite d’un seul individu, et en 2010, il suffit d’1,75 cotisant pour le même résultat. »


C’est faux. Les cotisations salariales et employeurs ne couvrent aujourd’hui que 60% du coût des retraites. Les 40% restant sont financés par l’Etat. Ce chiffre est identique pour le privé et les fonctionnaires de l’Etat si l’on intègre à la cotisation des fonctionnaires une cotisation de l’état équivalente à celle des employeurs du privé.
 Rien que pour la Cnav, sur 100 milliards de coût des retraites, les cotisation salariales et employeurs ne sont que de 61 milliards. C’est l’Etat qui paye actuellement 32 milliards par diverses sources à la Cnav et qui couvre son déficit de 7 milliards.
Le problème n’est pas les déficits actuels des caisses car elles sont déjà financées en grande partie par l’Etat, mais qui doit payer la retraite par répartition des Français qui varie de 700 euros à plus de 10000 euros pour certains hauts fonctionnaires.

A Jowurz,

Décidément, vous êtes encore plus dangereux que je ne le pensais et vous continuez à vouloir donner des leçons.
Hier, vous avez admis que vous vous trompiez sur la Cnav. Aujourd’hui, vous admettez que le coût des retraites de la Cnav est de 100 milliards. Faut-il attendre demain pour que vous lisiez que le montant des cotisations perçues est de 61 milliards et que le financement de l’Etat est donc de 39 milliards pour la seule Cnav.
Il me semble que vous avez de graves problèmes de compréhension. Je ne sais s’ils sont provoqués par la maladie car vous semblez ne pas vous en rendre compte. Quoiqu’il en soit, je ne saurais trop vous conseiller d’aller voir un médecin.
Et s’il vous plait, arrêtez d’insulter inutilement. Cela ne vous grandit pas et ne rend pas vos commentaires plus pertinents.

A Jowurz,

Quand on veut connaitre les comptes de la Cnav, on s’informe sur leur site.
Encore une fois, vous ne savez pas lire. Vous n’arrêtez pas de parler de déficits comptables alors que je parle de déficits différentiels entre les cotisations des salariés et des employeurs avec le coût des retraites. Les cotisations ne s’élèvent qu’à 61 milliards et le solde est financé par l’Etat à hauteur de 32 milliards plus un déficit de 7 milliards que je considère comme financés pas l’Etat puisque les cotisations n’augmentent pas. On a donc 39 milliards de charges financées par l’Etat. Le calcul est le même pour les fonctionnaires de l’Etat.
Le régime par répartition implique un paiement des retraites par les cotisations. Actuellement les cotisations ne financent que 60% du coût des retraites. Nous ne sommes donc plus dans un régime par répartition depuis de nombreuses années mais dans un régime financé de plus en plus par l’Etat.
La France s’écroule à ne pas regarder les réalités en face et vous y participez. Vous trompez ceux qui vous lisent en vous posant comme expert et en contestant des réalités incontestables.