Avec macron, l’opinion est a la politique ce que les subprimes sont a la finance. L’opinion n’est plus qu’un resultat statistique fruit d’un savant travail de segmentation des opinions.
Afficher une intention/dire une chose et son contraire (important pour sonder les reactions pour et contre), lancer un ballon d’essai, ajuster pour optimiser le resultat sur les segments d’opinion représentés sur la scene politique, le tout supporté par un bon modele numérique. Peu importe les opinions des uns et des autres, il s’agit de se positionner de facon a satisfaire partiellement a chacune d’elles.
La valeur du produit n’est que statistique et theoriquement la statistique donne une probabilite quasi nulle a la crise.
Ce qui se passe aujourd’hui est du meme ordre. Macron gere l’opinion comme un banquier.
Seulement, les variables se lient ey les opinions s’alignent sur le rejet. independamment de leur nature.
Pourtant, la revolution a une probabilité quasi nulle...