Les commentaires de anamo

Le caractère méprisant et diffamant pour la fonction publique des articles de Capital est indéniable.

Il faut aussi considérer que la fonction publique s’arcboute sur des positions qui freinent son évolution vers un meilleur service et une meilleure reconnaissance de ses agents.

Il est navrant de constater que le fort taux d’adhésion syndical soit l’origine de l’immobilisme de ces institutions, et non un facteur de PROGRES.

L’aricle est intéressant, une réponse tout à fait recevable aux élucubrations de Capital, mais je relève, ce qui peut être un « dérapage » de l’auteur, en guise de conclusion le terme « égalitaire ».

Egalité de traitement et Traitement égalitaire sont deux notions très éloignées, épanouissement de l’individu pour l’un, nivellement des objectifs et des moyens pour l’autre.

Le syndicalisme devrait être l’une des voies de progrès, jamais évoquées, sinon pour les grèves, les revendications, l’obligation à un recours au service minimum, etc ...

Bonne analyse de l’attente des français.

On n’attend pas le changement, sinon un gouvernement qui dirige, un parlement qui légifère, un sénat qui tempère, une cour des comptes qui contrôle, ... , les français entendus et compris, le changement, quoi !

Cet article a la subtilité et le raffinement d’un Bigard d’entre deux-tours de scrutin à Bercy.

Ce même JM Bigard que l’on a sommé de se policer pour les interviews d’après élection.

L’avenir de François Bayrou, et du MD, se jouera dans la mixture du nouveau gouvernement et les ambitions de Strauss Kahn au PS. En noyant le « contre-pouvoir » naissant et rescussitant le bipartisme.

L’auteur a produit un article particulièrement bien documenté. Il nous donne tous les ingrédients de la potion Sarkozy dans cette rocambolesque aventure.

Il n’a pas poussé son analyse jusqu’à donner les effets de cette potion maléfique.

La gauche n’a pas su résister au premier chausse-trappe.

Bayrou ! Garde-toi de ta gauche ! Garde toi de ta droite !

Le programme de Ségolène Royal n’est pas dangereux en tant que tel !

Le vrai danger vient de son inconsistance.

2eme tour des présidentielles : Finis les débats participatifs à l’heure des engagements

A l’issue du scrutin : Finis les dialogues citoyens à l’heure des décisions

La France n’est pas présidente, elle choisit, élit, un(e) président(e) pour la représenter.

Diner de cons ? Pour Sarkozy et son entourage, les cons semblaient être derrière leur petit écran.

Gare aux réactions, les électeurs détiennent toujours leur choix du bulletin de vote.

Nicolas Sarkozy est en bonne voie pour être le prochain président de la république, et, probablement , le premier à ne pas obtenir de « majorité présidentielle » à l’issue des législatives qui vont suivre.

Note à la rédaction d’Agoravox : Un message de moins de 3 lignes rédigées est forcément non argumenté ! Halte à la pollution et aux échanges malvenus

Un grand merci à François Bayrou pour nous permettre, à la veille de ce second tour, de voir des électeurs prendre position sans attendre des -consignes- de vote.

Ou l’on voit que le bipartisme, s’accomodant des extrêmes, nous a privé en 2002 d’un débat démocratique

Ou l’on regrette le positionnement des « verts » à la gauche de la gauche. L’orange sierait bien mieux aux « verts ».

Ou le postionnement de Sarkozy à la droite de la droite n’a pas été le véritable phénomène dévasteur du FN,

Mais bien l’existence d’un mouvement populaire centriste, renvoyant dos-à-dos les 2 grandes factions PS et UMP, ayant permis au citoyen de s’exprimer sur des orientations fortes, démocratiques.

L’essentiel pour le mouvement enclenché par François Bayrou n’est pas au second tour de la présentielle, mais bien aux législatives.

Renouvellez votre vote du 1er tour des présidentielles.

Cet article a ceci d’intéressant : il nie la réalité de l’élection présidentielle, de ce qu’elle représente et de sa finalité, à savoir, la désignation d’un seul et unique personnage détenteur du mandat démocratique, à durée limitée, pour représenter la FRANCE.

L’election présidentielle est hautement élitiste, situation voulue par la constitution pour contrer les errements du passé.

Dans le cadre d’une élection du parlement, cet article trouvera toute sa valeur ...