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Les commentaires de Philippe VERGNES



  • Philippe VERGNES 5 avril 2018 19:05

    @ Bonsoir Self con troll,

    … et merci pour ces quelques précisions qui me permettent d’apporter le contradictoire.

    Sur les posts disparus, j’ai vu. De mémoire et sans faire de recherches, ce sont apparemment les commentaires qui suivaient celui de Cadoudal 2 avril 17:10 qui ont « sauté ».

    Pour ce que je conteste de votre message :

    « … Avox, dans son principe, vous permet d’éliminer tout autre manipulateur [que moi, relativement à votre phrase : « … vous seul pouvez y être le manipulateur en chef »]. »

    C’est malheureusement faux. Et le harcèlement qui est présent sur ce site envers certains auteurs (je ne suis pas un cas unique) dément factuellement votre assertion. Si tel était le cas, ce site ne pourrait permettre à un intervenant « sanctionné » par un auteur au moyen du « ciseau » de médire sur lui et de répandre des calomnies à son encontre partout où il en a l’occasion provoquant ainsi la réaction que j’ai eu.

    « Je note que vous [ne] vous déclarez pas maso quand vous déplorez le nouvel avatar d’@arthes, mais quand même pas décidé à descendre du destrier sur lequel vous comptiez accompagner l’amazone. Mais cela ne me regarde pas ... »

    Cette interprétation est pour moi intéressante à plus d’un titre, d’une parce que j’ai toujours soutenu l’idée que nos inférences en disent bien plus sur nous, sur nos a priori, nos préjugés, etc. que ce que nous serions en mesure de le faire, de deux parce qu’elles témoignent indubitablement des erreurs de mes contradicteurs. En restant sur l’image de l’amazone (née d’une de mes boutades, je vous le rappelle), pour descendre du destrier sur lequel, selon vous, je comptais accompagner l’amazone, encore eut-il fallu que je souhaite y monter. Or, libre à vous de fantasmer sur cette image, mais à mes yeux c’est bien simple : c’est une image représentant la liberté… et on ne rêve pas de capturer la liberté. On se contente simplement d’en apprécier me spectacle, car sitôt capturée elle se meurt. (La chanson de B. Lavilliers que j’écoutais étant jeune est très explicite à ce propos.)

    « Je vous ai déjà dit très clairement que publier ici, c’est s’adresser au grand public, du coup c’est l’exercice le plus difficile. Aucun argument d’autorité ne peut porter. »

    Faux… lorsque j’observe justement la façon dont certains usent de cet argument d’autorité tout en mystifiant de nombreux lecteurs, je ne peux qu’être perplexe sur une telle affirmation dont j’ignore ce qui peut bien l’étayer, vu que la réalité des échanges qui se déroule sur cette agora démontre le contraire.

    « Grosso modo, j’attire systématiquement l’attention de ceux qui produisent des modèles du comportement humain sur le risque que cette activité si humaine n’aboutisse à une société déshumanisée. »

    Le malheur, c’est que la société déshumanisée… nous y somme déjà. Ce n’est pas une fiction. Et pour éviter d’aggraver la situation, il conviendrait de comprendre pourquoi, sans jugement de valeur, nous en sommes arrivés là. De fait, élaborer un modèle du comportement humain qui nous permet de comprendre ce processus de déshumanisation va totalement dans le sens de vos préoccupations. Là où le vas blesse, à mon sens, c’est un décalage dans le temps entre la réalité que vous percevez et les phénomènes, bien présents, que moi je perçois. C’est ce que je « modélise » dans mes articles.

    À ce titre, je vous signifierais que votre citation, fort juste au demeurant, peut tout aussi bien s’appliquer à vous qu’à moi. Cependant, il en est une qui s’applique à tout un chacun et que nous négligeons malheureusement tous : « La perversion de la citée commence par la fraude des mots » (Platon)

    … ou des expressions et des définitions de mots ai-je toujours rajouté à la suite de cette citation dont j’ignore si elle est réellement de Platon, car je n’ai pu la retrouver dans ses ouvrages. J’en connais toutefois l’origine de sa diffusion sur Internet qui remonte aux débuts des années 2000 (2004 ?) si je me souviens bien. Quoi qu’il en soit, le témoignage historique de Victor Kemplerer sur la LTI – La langue du IIIe Reich et les quelques études qui ont été réalisées sur ce sujet, atteste sans contestation possible de la véracité de cette citation. Or, cette perversion du langage, nombreux sont ceux qui y sont totalement aveugles. D’où le fait que je dise souvent qu’il faudrait peut-être apprendre à se dessiller un peu.

    Dans cette optique, en effet errarre humanum est, perseverare diabolicum est bien de circonstance.



  • Philippe VERGNES 5 avril 2018 09:09

    @ Self con troll,

    J’ai tardé à vous répondre pour x raisons. La principale étant que si j’apprécie votre sens de la mesure, il est indéniable que vous aimiez flirter avec les limites. Or, votre message mérite un carton jaune à plusieurs endroits. Aussi serait-il judicieux de revoir l’action au ralenti avant de se prononcer sur une éventuelle « faute ».

    Vous dîtes : « Nous sommes ici sous un espace à vous alloué par Avox, vous seul pouvez y être le manipulateur en chef, dont je ne serai plus complice dès que je percevrai qu’il tourne les règles, ni la proie ayant la légèreté du pseudo pour m’envoler. »

    Éludons d’abord pour l’heure la question de la manipulation et concentrons-nous un instant sur ce que vous déclarez concernant cet espace qui me serait, à moi personnellement et sous mes articles, alloué par Avox. Vous pourriez développer ce point s’il vous plaît ? Je vous préciserais alors comment je vois personnellement les choses.



  • Philippe VERGNES 1er avril 2018 11:57

    @ Shawford,


     smiley Exactement !

    Alea jacta est... pour le moment, c’est dimanche. A table !

    Faut que j’entretienne la forme du « petit » bonhomme Michelin... pour convoi exceptionnel. smiley


  • Philippe VERGNES 1er avril 2018 10:22

    @ Bonjour Self con troll,

    « C’est la trêve pascale, je parlerai à PIPO demain. Il reste un pseudo pour moi, mais je l’ai très peu cherché sur le site d’A.Bilheran et le vôtre. »

    Passer de bonnes fêtes pascales…

    Sur l’attitude de la direction d’Avox ?

    C’est scotchant en effet et compte tenu des nombreux messages que j’ai pu envoyer leur demandant de ne pas négliger ce phénomène, leur silence me laisse dés plus perplexes… mais je n’ai pas envie de me prendre la tête pour ça. On verra bien ce qu’il en est. J’ai pas l’habitude de tirer des plans sur la comète. À cette heure-ci, je n’ai toujours pas pris de décision, mais ce qui a évolué c’est que je pense avoir trouvé une solution.

    « Ce serait une drôle de voie pour secouer le cocotier de la sécurité de nos données personnelles que ce procès en cyber harcèlement dont vous menacez votre copsy. Notre Etat français a négligé cela depuis si longtemps. Même pas sûr que les RG soient à la hauteur. »

    Vous pouvez préciser votre pensée… j’suis pas sûr d’avoir tout compris.

    Sur la question des preuves, c’est très simple : lorsque je dis qu’un tel est un menteur, c’est que j’ai la preuve, capture d’écran à l’appui, du mensonge pour lequel j’accuse quelqu’un. Idem pour imposteur, calomniateur, diffamateur, etc.

    Je n’ai pas vu votre question au regard de PIPO comme étant perverse. La perversion, ce n’est pas ça (cf. plus bas l’explication des rôles de chacun dans ce type de situation). Il est tout à fait normal et souhaitable de lever tous doutes ou confusion qui se seraient installés. Mais cela ne peut se faire qu’en acceptant la discussion et non pas en foutant sa merde pour ensuite se débiner dès que les choses deviennent vraiment sérieuses.

    Pour l’épisode Io, pas de provocation, un « montage de bourrichons » à plusieurs avec son chef d’orchestre… qui généralement s’éclipse lorsque les choses tournent au vinaigre.

    Ne vous inquiétez plus de rien, je pense avoir trouvé la solution… involontairement (« synchronistiquement » devrais-je dire) grâce à Shawford. Mon principal problème étant peut-être un peu trop franc du collier, je vous dis que j’appréciais chez vous votre sens de la mesure, même si vous ne résistez pas parfois à frôler les limites, et je le pense, sinon, je n’aurais rien dit de tel. La flagornerie, c’est bon pour ceux qui aime le contrôle et le pouvoir, moi j’aime ma liberté et plutôt crever que de la perdre.

    Un tout petit résumé des rôles de chacun dans ces jeux de pouvoir qui sont mis en place lors en pareil cas. Vous vous ferez votre propre analyse et en déduirez ce que bon vous semble. Je ne l’ai fait que parce que j’avais noté votre intérêt sur ces questions-là :

    « L’auteur d’une attaque perverse s’autorise abusivement d’un jugement qu’il infère, selon le cas, d’une idéologie commune, dominante ou majoritaire, ou de la loi, alors qu’il est en train de la bafouer, mentant et manipulant l’idéologie sans aucun scrupule, sous couvert d’un idéal. Ce « juge » s’identifie à un être suprême, externe et indiscutable, ou, il s’en présente comme le simple interprète. Par ce stratagème verbal, il fait endosser à une instance externe et supérieure les énoncés qu’il émet par sa bouche. En s’autorisant ainsi d’un ordre supérieur et d’un universel qui ne souffre aucune discussion, aucun contrôle, le disqualificateur s’exonère de toute intolérance ou de toute responsabilité personnelle, en tant que sujet désirant. […] Un grand Narcisse de société sait utiliser les parts psychotiques d’autrui, celles qui fuient la réalité et qui, mise en résonnance, produisent des groupes délirants. […] L’arme favorite des grands pervers de société est la disqualification nihiliste ou perverse. […] L’attaque [perverse] ne repose sur rien de tangible, ce qui montre qu’elle est le produit d’une contrainte interne inactuelle sans rapport avec les données récentes ou actuelles. (D’où l’impérieuse nécessité d’en rester au factuel ou d’y faire retour… or, c’est justement lorsqu’on lui impose un tel cadre que les manœuvres perverses et la manipulation apparaissent.) Pour mener cette attaque, il vise d’abord les personnes qui font le plus lien. (Il les « amadoue », soit pour s’en servir de « caution », soit en les prenant pour cible.) La proie (victime, cible ou ennemie) centrale à juguler en premier est celle qui fait tiers et incarne, plus que d’autres dans une instance sociale, les liens, la centration sur la tâche, la loi. Il s’agit de l’annihiler et non de la détruire, l’un des buts étant la jouissance perverse que fournit le spectacle de la mise dans l’impuissance du tiers avec la participation aveugle du plus grand nombre de complices assujettis, actifs ou passifs dûment manipulés.

    Plusieurs places dans ses configurations groupales : d’abord celle exclusive d’artisan de la résonnance et de l’alliance, celle des complices, celle d’otage et bien sûr celle de victime, proie, cible ou ennemi.

    Il y trois types de complices possibles :

    ·  l’auxiliaire actif,

    ·  le complice conscient non véritablement consentant, impuissant qui reste là, alors qu’il pourrait partir,

    ·  le complice inconscient ou naïf qui ne comprend pas ce qui se passe.

    Si les complices conscients ou inconscients, mais refusant plus ou moins confusément, ne peuvent ni intervenir pour changer la situation ni la fuir, alors qu’ils souhaiteraient le faire, ils occupent une autre place, celle d’otage, ce qui les rapproche de ceux qui sont pris pour cible.

    Enfin et précisément il y a la place de cible, de victime, d’ennemi ou encore de proie, à la merci du groupe devenu prédateur, derrière lequel se dissimule l’artisan. »

    Bonne lecture et bonnes fêtes de Pâques.



  • Philippe VERGNES 1er avril 2018 05:35

    @ Shawford,


    Bah... si un jour vous lâchez une info sur cet effondrement à court terme de tout le barnum civilisationnel. Je suis preneur aussi... je regarde ça du côté de la collapsologie et de mes activités liées à l’écologie (cf. mes articles sur la Méditerranée et ses ressources).

    « ... sauf votre respect, on voit bien que vous débarquez dans le vrai « game » que constitue Agoravox. »

    Vous ne me froissez nullement... j’ai dit et re-re-dit que cette activité (?) n’avait strictement aucun intérêt pour moi. Aucun jugement de ma part. Chacun son truc. Il faut de tout pour faire un monde. Mais il y a des choses sur lesquelles je suis « largué » et ça ne me pose aucun problème, ni de le reconnaître, ni de laisser ça aux autres. Si je devais douter de chaque intervenant auquel je réponds, ça n’aurait aucun sens pour moi et je n’ai aucune envie de m’encombrer de ce genre de doutes.

    Pour l’expérience, faite, faite... mais n’oubliez pas d’en communiquer les résultats.


  • Philippe VERGNES 31 mars 2018 23:10

    @ kalachnikov,

    Ça me va… on se comprend, même si « j’explore » toujours…

    Cela rejoint quelque peu une question que j’avais posée à Self con troll et à Shawford, mais qui s’est perdue au fil des discussions. Je la recopie au cas où quelqu’un daignerait vouloir y répondre :

    « Le problème que je pose et qui ne se pose pas qu’à moi, est une question de discrimination des idées, de « priorisation », de hiérarchie, etc. si vous préférez, en fonction non pas de la quantité des informations communiquées, mais de leur qualité. Or, nous vivons dans une société qui vise à la massification, à l’égalisation, à l’unification et au conformisme, etc. des individus. Il faut savoir, si vous ne le savez pas déjà, que la toute première étape pour obtenir cette « massification » est justement de supprimer la possibilité de discriminer les idées. Et là-dessus, nos exploiteurs ont déjà gagné cette bataille-là au niveau des médias. C’est une donnée essentielle pour comprendre comment les totalitarismes se mettent en place, bien avant qu’ils ne soient installés plutôt que de les étudier après coup comme ce fut le cas par le passé. (Mais je doute en fait fortement qu’il soit possible de les prévenir... pourtant, il faut les étudier AVANT qu’ils ne se mettent en place, car ce sont des connaissances qui manquent.) »

    Pour moins, même si je n’affirmerais pas que tout part de là, c’est tout de même un point important, car à l’heure actuelle, et cela rejoint la vidéo sur la fabrique de l’imposture, on a choppé un si gros melon qu’on imagine pouvoir changer la merde en or et faire de l’argent avec. Mais une idée de merde… ben, ça restera toujours une idée de merde et ceux qui la défendent contre vents, marées et tempêtes… on sait ce que sa donne.

    Ps :

    Pour l’absence de modé, j’ai oublié de vous répondre : j’ai parfois l’étrange sentiment que l’on participe tous à une expérience sociale sur ce site. smiley


  • Philippe VERGNES 31 mars 2018 21:17

    @ kalachnikov,


    Il va falloir ouvrir un cabinet alors, parce que vous avez aussi eu le « patient Vergnes »...


  • Philippe VERGNES 31 mars 2018 21:11

    @ kalachnikov,


    Aucun souci... c’était au cas où !


  • Philippe VERGNES 31 mars 2018 19:16

    @ kalachnikov,


    Absolument d’accord... ça vous intéresse une vidéo d’1:41:25 sur le sujet (cf. 26’) ? Aucune obligation, c’est que je la trouve bien faite et qu’avec votre regard personnel, vous pourrez l’analyser autrement que moi.

    L’enfant... oui. Le problème, c’est qu’il te pique tes jouets, les casses et va pleurer à la maîtresse que c’est toi qui lui a cassé ses jouets à lui. Bon, quand ce sont des gosses, tu éduques et tu pardonnes. Mais quand c’est un type de plus de 70 ballais... smiley là, tu te poses des questions.



  • Philippe VERGNES 31 mars 2018 19:05

    @ JL,


    J’ai répondu sous mon autre article où je vous y attends PV 31 mars 18:55.


  • Philippe VERGNES 31 mars 2018 18:55

    @ JL : en réponse à votre message 31 mars 11:10 sous mon dernier article (’Le meutre psychique...« ,

    « … requêtes contradictoires par le fait que vous m’interdisez en même temps de poster ailleurs que là où vous me dites, et en premier lieu, ici même. »

    La contradiction relevée n’est qu’une fois de plus une conséquence de votre désertion du fil de discussion après votre premier et seul message JL 29 mars 16:59. Fil de discussion ici présent où vous êtes invité à vous expliquer franchement en face à face et d’homme à homme avec moi : arguments contre arguments.

    « Je n’ai pas posté “des petits pâtésˮ comme vous dites, mais un commentaire comme il y en a des milliers sur ce site tous les jours. Dès lors que vous biaisez les faits toute discussion entre nous est vaine et je n’ai aucunement envie de polémiquer avec qui que ce soit autrement que sur des idées et des faits avérés, pas sur des interprétations. »

    Ha ??? Vous voulez discuter des faits avérés et non pas sur des interprétations. Fort bien, ça fait des années que je vous le demande. Je suis donc tout ouïe et impatient de vous entendre. Je constate simplement qu’au passage, vous affirmez, sans fournir la moindre preuve, que je « biaise » les faits… ben, vous savez quoi ? Ça commence plutôt mal pour une analyse des faits sans interprétations.

    « Un mot puisque vous m’y incitez : vous faites bien de soulever cette question relative au concepts de médiateur. Quand je parlais de médiateurs je faisais référence au terme employé par Karpman lui-même càd ceux qui, par définition dans ce contexte, se posent en faux psys. Je suis désolé si mon propos a pu prêter à confusion et je fais ici mes excuses aux médiateurs agréés. J’aimerais seulement une réciprocité vis-à-vis des vrais psys que trop de gens ici ou ailleurs, se complaisent à injurier : cf. le livre noir de la psychanalyse, Michel Onfray, et bien d’autres, moindres.  »

    C’est bien de lever la confusion soulevée par votre message JL et de faire amende honorable, mais si c’est déshabiller Pierre pour habiller Jacques, ça va pas trop le faire non plus. Lundi, je publie sur mon blog un article sur votre psychanalyse freudienne et la semaine prochaine, je le soumettrais à la modération de ce site, vous serez cordialement invité à y apporter vos arguments. Mais, dès sa parution de lundi sur mon blog, il est prévu depuis fort longtemps que j’adresse cet article à Jacques Van Rillaer, l’un des principaux auteurs du livre noir de la psychanalyse, car nous avons quelques divergences d’opinions lui et moi sur le sujet. Voulez-vous aussi que je lui transmette votre commentaire par la même occasion ?

    Vous parlez d’injurier, mais préciser s’il vous plait, qui injurie qui dans cette histoire ? Serait-ce que Jacques Van Rillaer injurie Freud ?

    Onfray… à la rigueur… je comprends. Il décrit Freud comme un pervers narcissique sans jamais en aborder la notion. Mais Jacques Van Rillaer, sa recherche est historique et il nous livre les faits bruts des affabulations freudiennes telles qu’il les a relatés dans ses études de cas. Diriez-vous qu’une recherche de la vérité soit une insulte ?

    « Ps. : Vous pouvez user de nouveau de votre droit à me bloquer. Je vous prierai seulement de cesser de me diffamer sous vos articles, car quoi que vous en pensiez, je ne suis pas ici incognito : beaucoup de personnes me connaissent dans la vraie vie et j’écris sous leur contrôle. »

    Vous souhaitez un débat sur les faits avérés et vous vous lancez dans une accusation sans preuve en disant que je vous diffame. Pouvez-vous me donner des exemples, et je vous montrerais réellement ce qu’il en est eu égard à la chronologie des faits, car réagir à une insulte par un insulte, ben… ce n’est que de la légitime défense. Par contre, insulter quelqu’un sans raison, ça… c’est une attaque condamnable.

    À vous !



  • Philippe VERGNES 31 mars 2018 16:38

    @ kalachnikov,


    Et cela vous surprend ? C’est gonflant ce refus systématique du débat, non ? Moi, j’ai eu six ans de ce traitement... envers quelqu’un qui m’a appris à lire Racamier (sans quasiment jamais l’avoir lu).

    (Je regarde Toulon/Munster, ça me rappelle le bon vieux temps et ça me change des « bouffonneries » de certain(s). Je mets toujours au pluriel, mais je ne vise pas grand monde d’autre que mon « ombre » ici.)


  • Philippe VERGNES 31 mars 2018 16:05

    @ Tadashi21/Shawford,

    (Pour le coup, c’est le seul double pseudo que j’ai réussi à « détecter »... par pur hasard.)

    Ne vous en faites pas pour moi, j’ai dit que je réglerais ce problème moi-même (et pour les quilles... j’aurais du dire LA quille, mais à un moment donné, il est vrai que certains m’ont vraiment inquiété). J’ai aussi dis que je défendrais mes droits, mais qu’en dernier recours, sachant très bien la complexité de ce genre de procédure, je supprimerais mon compte de ce forum. Je n’ai pas d’état d’âme pour mon égo, même lui il lui arrive de « morfler » quand mon « Moi » le surprend à avoir fait des conneries.




  • Philippe VERGNES 31 mars 2018 15:42

    @ Tadashi21/Shawford,

    Je travaille avec les synchronicités... toujours. Ce sont « elles » qui m’aident à prendre une décision. Ce qui est marrant, c’est que le symbolisme des chiffres, je ne m’y suis jamais intéressé. Je m’intéresse au symbolisme de façon générale. J’ai plusieurs dictionnaire des symboles, mais mis à part quelques vagues notions qui doivent s’arrêter au chiffre 6 ou 7, j’suis nul. De fait, puisque vous connaissez les synchronicités, vous devez savoir que jamais on ne les forces (du moins, pas moi) et ce chiffre que vous venez de souligner alors que je ne l’aurais jamais remarqué de moi-même, vient de m’indiquer quoi faire alors que je me pose des questions depuis des semaines... et ce de façon juste et sans excès pour mettre un terme définitif à cette situation que je dénonce tout en faisant respecter mes droits.



  • Philippe VERGNES 31 mars 2018 15:26

    @ PIPO,


    Cela fait des années que l’on me demande d’écrire sur la sensibilité. On se l’est déjà dit souvent avec Ariane qui a développé le concept de « sensibilité prédictive », mais on beaucoup de mal à avancer et vous savez pourquoi en parcourant sa page. Bref... toujours la même chose en somme.

    Mais le choix des mots est importants il est vrai... c’est à y réfléchir en tout cas. (Tout comme je réfléchis depuis longtemps au mot « pervers » qui n’est absolument pas adéquat, non pas d’un point de vue clinique, mais du fait de la « valeur » que l’opinion publique y trouve.)


  • Philippe VERGNES 31 mars 2018 15:20
    @ Shawford,

    Tout dépend votre trip... je ne pige rien de rien à vos histoires de double pseudo, de multi-pseudo, de coco-pseudo ou de ce que vous voulez -pseudo... et je m’en contrefous d’une force en plus... mais d’une force... vous pouvez même pas imaginer. J’ai passé l’âge de chasser les « fantômes ». Et comme je suis plutôt « écolo » (très modéré cependant), je ne fais pas non plus dans le tir au pigeon. Par contre, quand on me casse les bonbons, je sais bien qu’on est à Pâques, mais faut pas en plus s’attendre à ce que je tende l’autre joue. J’sais pas faire. C’est pas dans ma nature.

    Perso, je n’ai rien à cacher, même si je n’ai jamais rempli ma fiche de présentation à l’inscription sur ce site. Si vous voulez voir ma vraie « gueule de con », vous la trouverez facilement je pense sur Internet. « Gogoliser » quelqu’un, c’est facile désormais. Comme j’ai fait la connerie de m’inscrire un jour sur une liste électorales, ça doit laisser des traces. C’est ce qu’ont fait certain(s) il me semble, en m’appelant « belle tête de vainqueur ». Il est vrai que dans ma jeunesse, j’ai eu fait le mannequin, mais désormais, je pose plutôt pour le guide Michelin. Et comme je suis en train de prendre de l’élan pour me mettre à rouler, nous verrons bien si quelques quilles vont tomber. Car pour l’heure, celui qui a été invité à s’expliquer ici a pris la poudre d’escampette. Je lui prépare un message pour le ramener à ses « obligations ». Nous verrons bien la suite qu’il y donnera.


  • Philippe VERGNES 31 mars 2018 14:32

    @ kalachnikov,


    Bon... pendant que je rédigeais mon message PIPO vous a répondu. Vous avez suffisamment d’éléments (que vous pourrez encore compléter par le lien communiqué dans mon précédent message) pour vous faire votre propre opinion sur la question.


  • Philippe VERGNES 31 mars 2018 14:29

    @ kalachnikov,

    Je sais très bien être juge de mes propres actions... c’est ce que je voulais vous signifier et. Je sais très bien être con à mes heures, mais je n’ai pas d’égo quand je sais avoir tort... "Je suis capable du pire et du meilleur, mais dans le pire, c’est moi le meilleur  !" Vous devez connaître, je suppose.

    Ce que je dis simplement, c’est que les choses n’en seraient jamais arrivées là si j’avais su arrêter les conneries de JL avant qu’elles ne prennent la tournure qu’elles ont prise. Et ça, c’est ma responsabilité. C’est bien pour cela que désormais plus de « menace » pour poser mes limites à JL que de toute manière il ne respectera pas. L’heure est à l’action désormais. J’ai été trop con.

    Sur Pipo, je comprends que cela vous interpelle, c’est bien aussi l’une de mes interrogations lorsque je pose la question dans mes articles de savoir d’où vient la « soumission ». Plusieurs piste à mon sens, mais l’une des principales que j’exploite et celles des traumatismes (principalement infantiles, mais pas que). Cependant, concernant Pipo, je ne serais pas étonné d’apprendre que c’est un hypersensible (mais nous n’en avons jamais discuté ensemble, juste une « intuition »), tout comme alinea et très probablement tout comme vous aussi derrière vos airs de « gros durs » (c’est amical, ne vous vexez pas pour ça, j’ai eu moi aussi ce genre d’attitudes à mes heures, même si elles sont plutôt exceptionnelles pour moi maintenant). Or, connaissant le parcours des hypersensibles dans cette vie si, je ne cautionne pas trop ce « rentre-dedans ». C’est bien pour cela que si j’avais su que vous étiez lermontoc lorsque vous êtes réapparu en tant que kalachnikov sous un de mes articles, jamais je n’aurais eu cette « charge » à votre encontre. Je me souviens très bien des sentiments que j’avais à ce moment-là. Si vous avez la patience de lire la première partie de cet article, les quelques commentaires qui ont suivi et le rentre-dedans qui s’en est suivi, vous comprendrez facilement pourquoi. Je voulais éviter ça. Vous comprendrez aussi pourquoi je me suis « fermé » dès lors que vous m’avez traité d’idolâtre de Freud.

    Je ne me cherche pas d’excuses : c’est ma faute et point barre. La prochaine fois, je réfléchirai à deux fois avant de dire de grosses conneries. Vous me dites : « Je fais plutôt dans l’analyse et m’intéresse aux motivations des actions ». Parfais, moi aussi, et c’est très exactement pourquoi je resitue le cadre des évènements tels qu’ils se sont déroulés pour être au plus près de la réalité dans laquelle ils ont eu lieu. Je ne fais que vous offrir des éléments pour enrichir votre analyse. C’est comme ça que je vois les choses pour faire avancer le « schmilblick » avec quiconque (lorsque cela est possible, il arrive parfois malheureusement, que l’on rencontre des gens avec qui c’est impossible).

    Et si un jour, vous souhaitez alors me faire part de votre opinion, ce sera avec grand plaisir que je l’accueillerais sachant désormais que kalachnikov = lermontov. Ce qui je ne veux pas dire que je l’approuverais, mais une chose sera sûre : vous aurez toute mon attention.



  • Philippe VERGNES 31 mars 2018 14:14

    @ jalin,

    NON... et je suis formel. C’est le propre même de la théorie de la perversion narcissique que de décrire un mouvement.

    J’ai écrit des dizaines et des dizaines de fois ce qu’en dit Racamier : "Le plus important dans la perversion narcissique est le mouvement qui l’anime et dont elle se nourrit" !

    Le pervers narcissique premier nommé dans la théorie de Racamier, c’est le mouvement pervers narcissique ou mouvement perversif. Mais il est bien entendu que derrière ce mouvement, il y a un organisateur. Vous confondez la théorie avec l’image qu’en donnent les médias actuels. Alors que moi, je fais une p’... de GROSSE différence.

    La confusion est de votre côté et de l’interprétation que vous avez de ce terme, pas du mien.

    J’ai repéré plusieurs contradictions dans son livre (celui de Marcel Sanguet). Je vous en ai données une ci-dessus au sujet du terme perversif, mais il y en a plusieurs. Ce point étant, je l’espère, éclairci, vous voulez qu’on en parle ?



  • Philippe VERGNES 31 mars 2018 10:38

    @ JL,

    Je réponds ici à vos différentes interventions sous cet article que vous avez postées sous le message de @ Jalin.

    Mais tout d’abord, une chose : je ne vous ai pas débloqué pour que vous veniez poster vos petits pâtés sous tous mes articles, mais pour que nous réglions notre différend une bonne fois pour toutes. À ce stade, je ne considère nullement cette affaire close et réglée. Or, vous avez pris la poudre d’escampette du topic destiné à cet effet par une de vos sempiternelles pirouettes dont vous seul avez le secret : une nouvelle accusation inversive du genre de celles qui nous ont conduits où nous en sommes aujourd’hui.

    Je vous prie donc pour la dernière fois, soit d’y retourner et de répondre aux questions qui vous y sont posées, soit alors d’assumer le fait que j’utilise une nouvelle fois le ciseau pour vous exclure de mes articles, car il n’y va pas de la liberté d’expression de tous sur ce forum, mais bel et bien de la vôtre dont vous faites souvent usage pour dominer autrui, ce qui n’est en aucun cas un droit absolu, comme vous le dites.

    LE CONTENTIEUX ENTRE NOUS DEUX RESTE OUVERT TANT QUE VOUS NE VOUS SEREZ PAS EXPLIQUÉ SUR LE COMPORTEMENT DÉLÉTÈRE QUE VOUS AVEZ EU ENVERS MOI DURANT PRÈS DE SIX ANS.

    « Je ne suis pas sur ce forum pour jouer du pipeau. Et Monsieur Philippe Vergnes non plus, très clairement. »

    Je suis ravi que vous le compreniez enfin, mais c’est très, très loin d’être suffisant pour passer l’éponge sur vos attitudes envers moi depuis mon apparition sur ce site : par exemple, répondez je vous prie à la question suivante, vous dites @ Jalin 30 mars 16 :53 : « Le pire c’est quand de faux psys s’interposent en médiateurs. C’est ce qui est très bien analysé dans le concept du Triangle dramatique, un truc que ne leur plait pas du tout. »

    Préciser votre pensée et nommer donc ces psys médiateurs qui n’aiment pas du tout le concept du Triangle de dramatique. A qui faites-vous donc allusion, car en médiation, le tout premier outil utilisé est justement celui du Triangle de Karpmann (ou triangle dramatique). Il ne suffit pas de balancer n’importe quoi et de médire pour médire, le métier de médiateur est une profession fort louable organisée en association et leurs représentants pourraient se sentir diffamés, à juste titre selon moi, par vos propos. Voulez-vous que je les leur transmette ? Ou bien préférez-vous préciser votre pensée ?