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Aldous

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Sache que, dans les derniers jours, il y aura des temps difficiles. Car les hommes seront égoïstes, amis de l'argent, fanfarons, hautains, blasphémateurs, rebelles à leurs parents, ingrats, irréligieux, insensibles, déloyaux, calomniateurs, intempérants, cruels, ennemis des gens de bien, traîtres, emportés, enflés d'orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu, ayant l'apparence de la piété, mais reniant ce qui en fait la force.

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  • Premier article le 24/08/2006
  • Modérateur depuis le 25/03/2011
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Derniers commentaires



  • Aldous Romios 15 mars 2011 16:26

    Un réacteur du type de ceux de Fukushima est charge de plusieurs centaines de tonne de combustible.

    C’est des dizaines de fois plus qu’à Tchernobyl.

    Les 7Kg des quelques 1000 bombes nucléaires testées dans les années 1950-70 donnent un total qui monte à peine à 7 tonnes.

    Ici on a a faire à 800 tonnes de cmbustible pour le seul réacteur n° 2... celui qui qui fuit « officiellement ».



  • Aldous Romios 15 mars 2011 16:18

    Bonjour But2ene,

    Relisez moi : je n’ai pas dit que la couleur du flash suffit à exclure la combustion d’hydrogène. J’ai dit (ou plutot écrit) que le flash rouge est entouré de fumées noires.

    Les fumées noires sont le signe d’une combustion -incomplète- de n’importe quoi sauf de l’hydrogène. Mes cours de chimie ne sont pas si loin :
    2 x H2 + O2 = 2 x H2O

    C’est à dire la combustion de l’hydrogène produit de l’eau, de l’eau et... rien d’autre.

    L’article a été écrit hier à un moment où le réacteur n°2 n’avait pas encore de problèmes de confinement.

    Pourtant les valeurs de radioactivité mesurée et les radio éléments detectés montraient que des sous produits de fission (césium iode) s’échappaient de façon importante dans l’environnement de la centrale.

    Je ne vois trop ce que la trajectoire de la chape de béton de Tchernobyl est supposé démontrer sinon que Tchernobyl n’avais pas d’enceinte primaire du type de Fukushima.

    Je me suis contenté de remarquer que le bâtiment 3 a été le siège d’un « coup de canon » vertical qui ne colle pas avec le scénario d’une explosion de gaz à l’étage supérieur.

    Ma source pour l’info du MOX n’est pas Areva mais l’AIEA.



  • Aldous Romios 25 août 2006 21:26

    Inextricable, oui, c’est le mot adéquat.

    Les diplomates Anglais (mais l’expression est peut être née à Bruxelles)ont utilisé une métaphore plus catastrophiste, (et les Américains on repris à leur compte) : ils comparent l’UE et la Turquie à deux trains qui se foncent dessus à pleine vapeur.

    Le moment de l’impact est estimé aux alentours d’octobre ou novembre prochain, période à laquelle la commission européenne doit vérifier que la Turquie applique bien l’élargissement du protocole d’Ankara, c’est à dire qu’elle est a élargi l’union douanière avec les nouveaux pays membres de l’UE.

    Or la Turquie ne cesse de répéter qu’elle n’ouvrira pas ses ports et aéroports aux transporteur Chypriotes.

    De son coté le commissaire à l’élargissement a répété que l’ouverture de ces infrastructures à tous les pays membres, sans exception, était incontournable.

    Nous sommes donc une logique de guerre des nerfs qui me fait plus songer à Américan Way qu’à la SNCF…

    Il faut cependant noter un point nouveau et très particulier qui rajoute au dramatique de la situation : l’opinion publique turque, chauffée à blanc par les milieux nationalistes, est en passe de basculer majoritairement contre l’adhésion à l’UE.

    Si la tendance se confirme, un clash avec l’UE pourrait offrir au gouvernement turc l’opportunité de se rétracter en pleines négociations d’adhésion tout en rejetant la responsabilité de sa volte-face sur l’intransigeance ou la duplicité supposée de l’UE.

    Mais dans une telle circonstance il conviendrait de se souvenir des menaces fort peu diplomatiques que la Turquie avait proféré quand Chypre a été admise au sein de l’UE : Elle menaçait d’annexer purement et simplement le nord de l’île si sa candidature était rejetée. Menaces qu’on aurait tord de prendre à la légère.

    Au son de ces bruits de bottes, on comprend que l’alliance stratégique qui se dessine entre la France –membre du conseil de sécurité de l’ONU- et Chypre irrite au plus haut point Ankara.

    On comprend aussi la course effrénée que se sont livré Chypre et Ankara pour devenir la base logistique de l’ONU pour la FINUL renforcée au Liban.

    Au final c’est à Chypre que l’ONU va installer non seulement sa base arrière mais également le quartier général de la FINUL.

    Ainsi Chypre devient le seul pays à accueillir simultanément deux mission de l’ONU sur son sol : l’UNFICYP qui est la plus ancienne mission déployée et la FINUL qui est la dernière en date.

    Cette présence renforce de façon importante la position diplomatique Chypriote. On voit mal, en effet, la Turquie attenter à la souveraineté d’un état qui héberge le quartier général des forces de l’ONU dans la région.

    Mais cela suffira-t-il à réfréner les velléités de l’armée turque ?

    Rien n’est moins sûr.

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