• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Blackeagle

Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description

Tableau de bord

  • Premier article le 08/11/2008
  • Modérateur depuis le 17/01/2009
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 6 178 96
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 0 0 0
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique









Derniers commentaires



  • Blackeagle 18 mars 2010 00:54

    Encore une fois et comme toujours, on répond à toute théorie mettant en jeu une conspiration par la psychologie. Tentant d’assimiler celui qui soutient cette théorie soit à un fou incapable de regarder la réalité en face, soit à un être perfide aux motivation masqué tentant de faire progresser une idéologie d’extrême droite derrière le masque de la conspiration qu’il prétend dévoiler.

    Incroyable pour plusieurs raison. Tout d’abord une discussion sensée repose sur l’argumentation. Une personne propose une thèse supportée par des arguments, et son contradicteur propose des arguments disqualifiant ceux de son interlocuteur avant de présenter ses propre argument en faveur de sa thèse. L’injure ou la discalification de son interlocuteur sans s’appuyer sur le contenu de son propos témoigne ni plus ni moins de l’incapacité de proposer des arguments pour infirmer ceux qui sont présentés.

    Par ailleurs l’auteur compare les complots aux fantômes ou aux vampires. Le problème c’est que si ceux là sont des créatures mythiques, les complots existe bel et bien et il existe des complots avérés historiquement (incendie du reichstag ou de Rome ou l’assassinat de kennedy. Pour ce dernier sisi c’est avéré une commission officielle américaine à officiellement reconnu sur la base d’enregistrement audio lors de l’assassinat comparés au film de zapruder qu’il était impossible qu’un tireur isolé ai commis le meurtre).

    Alors qui ne veux pas regarder la réalité en face ? Qui ne veut pas accepter l’hypothése de l’existence possible de complots ? Qui refuse de voir l’état de déliquescence qu’à atteint notre société qui ne peut plus être qualifiée de démocratique. Et cela ne se limite pas au 11 septembre. Rien qu’au resultat électorale des régionales.......on voit bien que les responsable politique font comme si ces votes et ces non votes n’avaient aucune signification. Ils se foutent de ce qu’exprime le peuple et ils se foutent de ce que devient le peuple. Deux choses leurs importent : que leur idéologie triomphe quelle qu’en soient les conséquence et qu’une petite partie de la population prospère toujours plus au dépend du reste.



  • Blackeagle 17 mars 2010 10:47

    J’ajoute, qu’en plus en temps de crise s’alarmer sur l’ampleur de la dette ou des déficits ne sert à rien et est improductif.

    Historiquement, depuis 1929 chaque crise à prouvé :

    1. Qu’une politique d’austérité destinée à réduire les déficits, en coupant dans les systèmes de protection sociale, dans les services publics et en privatisant AGGRAVE l’état de crise, et prolonge la récession ou provoque une dépression.

    2. Qu’une politique de stimulation qui laisse temporairement filer les déficits pour stimuler l’économie par la relance de la consommation et l’investissement de l’état permettant à la fois d’améliorer les infrastructures par exemple, de réduire le chômage et de stimuler l’économie productive a toute les chance d’accélérer la sortie de crise.

    Alors dans la situation actuelle, Il ne faut pas regarder les déficit ou les notations, il faut relancer l’économie, point. Une fois que ça se sera fait, on pourra peut être réfléchir à réduire les déficits. Et il y bien deux manières de les réduire : 1. réduire les dépense (c’est ce qu’exige l’Europe et les marchés financier) 2. Accroitre les rentrée d’argent en augmentant les impots.



  • Blackeagle 17 mars 2010 10:34

    Bien que l’article énonce des vérités, il contribue à cette focalisation sur le niveau de dette du pays.......et la conclusion est une erreur.

    Fait numero 1 : UN ETAT NE PEUT PAS FAIRE FAILLITE : il est souverain et restera souverain quoi qu’il arrive. Ses créanciers n’ont pas le pouvoir d’exiger quoi que ce soit de lui. Le seul risque qu’il courent c’est que ces créanciers cessent de lui prêter de l’argent.

    Fait numéro 2 : Ceux qui détiennent la dette de la France sont très exactement, en grande majorité ceux qui sont responsables le plus directement de la crise financière ou ceux qui ont reçus des cadeaux fiscaux ses 15 dernières années responsables de la seconde partie du déficit de l’état et c’est souvent les mêmes (un partie manque à gagner, une partie pour la relance et les couts de la crise)

    Par conséquent, je suggère que les successeurs de Sarkozy cessent tout simplement de rembourser cette dette. Quelles seront les conséquences ? De quoi la France sera elle menacée ? De rien du tout si ce n’est qu’elle aura perdu la confiance des marchés financiers !!! (je croit que si il y avait un sondage, les marchés financier ont déjà perdus la confiance des français). Par contre le budget de l’état reviendrai immédiatement à l’équilibre sans avoir besoin de faire des coupes dans les dépenses ou d’augmenter les impôts. En gardant les mêmes dépenses, il deviendrai même excédentaire....alors qui aurait besoin d’emprunter des fonds sur les marchés financier ? Certainement pas la France. Enfin Qui serai lésé ? Ceux qui nous ont foutu dans la merde, ce ne serai qu’un juste retour des choses !!!!!

    J’espère bien que les Français, comme en Islande ou en Grece refuseront de payer LEURS CRISE.



  • Blackeagle 16 mars 2010 06:39

    La notion de riche/pauvre n’a pas de rapport avec la satisfaction des besoins essentiels mais se définit par les inégalités d’accès aux biens et services produits ainsi que par les relations de « servitude » des uns vis à vis des autres. Vus que dans notre monde, l’accès au biens et service produits se fait par l’argent, et que les inégalités dans ce domaine progresse, il ne peut pas y avoir convergence entre les deux groupes.

    Ensuite, acter du progrès technique ne sert pas à grand chose.

    L’homme est beaucoup plus complexe qu’une simple machine à consommer. La notion de progrès n’est pas liée qu’a celle de l’accroissement de la consommation. Mais touche une multitude de domaine.

    Le progrès d’une société peut se mesurer aux avancées que fait cette société fait dans la recherche de l’objectif qu’elle s’est fixé.

    Les USA il me semble se sont fixé comme objectif le droit ou l’accès au bonheur pour tous. Encore que le bonheur soit déjà difficile à définir, je ne suis pas certain qu’ils progressent ces dernier temps dans cette voie.

    Jusqu’à preuve du contraire en France, c’est de construire une société qui réussisse pleinement à respecter les droits de l’homme. Et cela par la liberté, l’égalité, la fraternité. Depuis 20 ans, il me semble que l’égalité régresse, que les solidarités et donc la fraternité régresse et que les libertés régressent.....alors où est le progrès ?



  • Blackeagle 14 mars 2010 19:00

    Thèse quelque peu extreme de la toute puissance goldman sachs.
    Il est évident que Goldman Sachs n’est pas toute blanche, et qu’elle a largement profité de la crise économique et ne rechigne pas aux magouilles.

    Cependant, la désigner comme le chef d’orchestre d’une symphonie nommé crise économique est peu crédible.

    Une crise économique de l’ampleur de celle que nous connaissons aujourd’hui est un phénomène cahotique dont personne ne peut prévoir l’évolution car elle dépend de tout un tas de variable aléatoires......
    Une crise économique de cette ampleur peut mener à des révolution, à l’émergence de régimes dictatoriaux, ou encore à une guerre à l’échelle mondiale.
    Il faudrait être totalement inconscient pour déclencher ce genre de crise et espèrer la contrôler.

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv