Blackeagle

C’est vraiment se foutre de la gueule du monde. Les marché qui ont conduit à la crise actuelle ont été sauvé par les état transférant ainsi les dettes privées en dette publique.....Et maintenant, on commence à faire des reproches aux état....

Faut faire gaffe, même si les peuples sont divisés et lobotomisés par les propagandes médiatiques. A trop les chercher, ils vont finir par les trouver et provoquer des révolutions.........Evidement se sera violent et chaotique et extreme....mais depuis combien d’année existe il un oppression silentieuse et un violence masquée.

QUI SÈME LE VENT RÉCOLTE LA TEMPÊTE

Prétendre que l’économie comme discipline est une science est totalement absurde.
Se poser la question de savoir si c’est une science exact est totalement stupide.
 
Enfin, une science de l’incertain ne rentre pas en opposition avec une science exact. (x. La physique et son principe d’incertitude quantique)

L’économie n’est pas une science (contrairement au sciences sociales). L’économie s’approche plus de l’alchimie que d’autre chose. TOus ces gens qui recherchent désespérément des loi « naturelle » de l’économie. L’économie n’est que le produit des interaction humaine, les règles qu’elle suit sont trés exactement celle que lui donne les homme. Il n’y a pas à aller chercher plus loin. Et quand les hommes ne lui donne plus de loi ( ultraliberalisme), c’est la loi du plus fort qui s’applique. Le problème principale de l’économie en tant que discipline est qu’elle cherche à expliquer quelque chose qui dépent des relation humaine (en gros de la sociologie) par des lois mathématique complètement décorélées des comportement sociologique. De cette maniéré, elle cours après une chimère qu’elle ne trouvera jamais.

 Keynes avait compris cet aspect de l’économie, c’est bien pour delà qu’il ne voyait cette discipline (changer les règle que l’on applique dans le domaine économique de façon volontariste) comme un moyen de faire évoluer lasociété.

j’avais pas que ça à faire hier.....j’ai pas lu votre N°2......

De toute façon les programme d’avions US ne sont que de la poudre aux yeux en comparaison de leur réel « state of art » en matière d’aviation. Les fameux black project dont le dernier dévoilé date de 1988 à savoir le F-117.
Or depuis, les crédits dédiés aux black project n’ont cessés de croitre pour atteindre aujourd’hui un niveau historique de 50 milliard de dollar annuel. (et encore ce n’est que la partie qui a été défrichée)

Par ailleurs, depuis le début des années 90, la zone 51 connait une expansion accélérée (agrandissement de la piste, contruction de nouveau bâtiment, personnel se rendant sue place en accroissement). Or officiellement depuis 20 ans, aucun nouvel avion n’est testé sur cette base.

Des avions, c’est certain qui ne sont pas connus et qui pourtant volent bien.

Pour mémoire les A12 et F117 ont volé pendant dix ans avant que leur existence ne soit connu.

Alors que sont réellement les fleurons de l’aérospatiale US ?

Ils ne seront probablement connus que lorsque les autres pays se doteront d’appareil similaire ou lorsqu’un nouveau modèle bien plus performant sera conçu, comme s’est généralement le cas. Pour l’exemple, la furtivité du F-117 fut gardée secrete jusqu’à ce d’autre avions furtifs comme le B-2 ne soit fabriqués. En gros jusqu’à ce que cette technologie devienne commune.

L’hypothétique Aurora ? dont le nom est apparu parmi les budgets de l’air force (la réponse officielle étant que ce projet était une couverture pour le B-2, assez absurde puisque le B-2 était publiquement connu)

Mais probablement également d’autre avion dont la mission comme les performances restent encores totalement opaques !!!!

Il faut également rappeler que depuis la fin de la guerre froide (bizarre, debut des années 90 ????) Il n’est plus nécessaire aux USA de produire en grande quantité des avions à l’état de l’art de ce qu’il savent faire. Car l’importance de leur flotte comparée à celles des autre pays conjugué à la progression ralenti des avions concurrente ainsi que l’absence d’un ennemi potentiel doté d’une force aérienne équivalente rend obsolète le maintient de milliers d’appareil aux plus haut degré technologique. Voilà pourquoi les F-15 et F-16 reçoivent une seconde, troisième voire peut être une quatrième vie. Ils répondent encore aujourd’hui aux besoins stratégique des USA.

En revanche le développement de technologies nouvelles sur un nombre restreint d’appareils par l’intermédiaire de Black Project représente en enjeu majeur pour maintenir une avance technologique confortable susceptible d’être converti en production à grande échelle si nécessaire.