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charly10

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  • charly10 5 juin 17:02

    Le problème avec Jancovici est qu’il abonde à fond dans l’argument CO2 anthropique responsable essentiel du réchauffement. Cet homme au demeurant très pragmatique sur les énergies renouvelables, a fait du CO2 son cheval de bataille car il a des intérêts à défendre.

    Il ne faut pas oublier qu’il est un des responsables de la société carbone 4, entreprise mandatée sur études de l’empreinte carbone de toutes nos activités et spécialiste de l’établissement des bilans carbone.

    Quant a son argument peak oil et fin du pétrole il n’en sait pas plus que les experts pétroliers qui se plantent régulièrement sur le problème depuis les années 1973.

     Au premier choc pétrolier de 1973, puis 1977 on nous annonçait « joyeusement » plus de pétrole disponible en 1998. Quant au prix, dernier exemple en janvier 2023, les experts nous prédisaient une envolée du prix du Gaz oïl, suite a mise en application des sanctions contre la Russie fin février. Aujourd’hui le prix du GO est redevenu moins cher que l’essence (ce jour prix moyen essence SP 95 1.860 /l ; GO 1.70 /L).

    Personne ne sait, à l’heure actuelle, ce que sont les réserves de pétrole. Toutes les informations sont basées sur des calculs de probabilité, donc très aléatoires. Je ne vous parle même pas du pétrole d’origine abiotique *(théorie russe, encore peu diffusée chez nous). Voir ce lien très intéressant

    *https://blogs.mediapart.fr/jean-paul-baquiast/blog/280315/petrole-biotique-ou-petrole-abiotique

    Le pétrole reste avant tout une arme économique très sensible. Les états pétroliers et les compagnies pétrolières, ne diffusent que des informations floues qui varient toujours en fonction de leurs intérêts immédiats ou à venir. Ils n’ont aucun intérêt à ce que les marchés sachent exactement ce qu’il en est dans ce domaine, car ce marché du pétrole et du gaz est majoritairement spéculatif il doit pouvoir être manipulé par les différents acteurs.

    Que savons-nous de l’horizon 2050 /2100 en matière de pétrole. Certains extrapolent, mais c’est un domaine dans lequel, on nous affirme que la fin des réserves est proche…depuis des décennies. Or plus on avance plus on s’aperçoit que les réserves existent bien. Les techniques de forage évoluent, les US sont maintenant autonomes. Et puis la politique générale évoluant vers les énergies renouvelables, il n’y a pas de risque majeur de manquer de pétrole. 

     



  • charly10 30 mai 12:38

    La question n’est pas d’épiloguer sur un monde avec ou sans croissance, mais de prendre du recul et redevenir pragmatique, et d’arrêter l’alarmisme sur l’évolution climatique dispensé par des organismes paranos climatiques.

    Se référer à une étude d’Oxfam ne peut pas être gage de vérité ni même de qualité des travaux. Oxfam comme toutes les ONG et associations militantes sont par nature partisanes, leurs études, comme celles du Giec d’ailleurs sont bien trop subjectives, trop orientées vers le concept de culpabilité anthropique.

    En matière de climat, prétendre savoir quels seront les paramètres de température globales de notre planète a échéance de 20, 30, ou50 ans est une véritable imposture.

    Les modèles utilisés par les « experts »climat, intègrent la plupart des paramètres  qu’emploient nos météorologues équipés d’ordinateurs de plus en plus performants. Les météorologistes essaient de mettre en équation un ensemble fondamentalement chaotique qu’est la circulation des masses d’air dans la troposphère ; mais à ce jour ils ne peuvent prévoir le temps au mieux qu’a 10 jours, et encore !..

    Il n’existe pas un climat unique sur notre planète, mais plusieurs zones climatiques dont les interactions, sont parfois très aléatoires. L’exemple du phénomène el Nino sur la zone pacifique est assez représentatif.

    L’élévation de température observée depuis le début du 20 -ème siècle, est attribuée par une doxa scientifique aux activités humaines, principalement via rejets CO2 fossiles. Mais, on ne maitrise que très partiellement les valeurs réelles des échanges entre les éléments rejets et réabsorption par les puits de CO2. Des tableaux sur le cycle du carbone, existent sur certains sites et dans les rapports GIEC, mais les valeurs indiquées ne sont que des valeurs extrapolées par calculs bruts, très peu réactualisées et pour cause, et de plus très difficiles à vérifier dans la réalité.

    « Tant que l’on ne connaîtra pas mieux l’importance relative des différents mécanismes d’absorption du CO2 anthropique, il demeurera difficile de quantifier les incertitudes liées aux projections futures du CO2 atmosphérique » (voir le Rapport GIEC AR5 du Groupe de travail n°1 : chapitres 9 et 10 qui traitent des effets potentiels de ces processus sur le cycle du carbone)

     



  • charly10 18 mai 09:56

    On aimerai savoir sur quels critères est calculée l’élévation du niveau des mers.

    Si on se contente de calculer, le volume des glaces polaires une fois intégré à l’océan actuel après fonte, ça parait un peu léger. Tellement de paramètres difficilement mesurables entrent en ligne de compte.

    Parlons de l’épaisseur et donc d’un volume calculé théorique des glaces polaires.

    En 2019 dans le cadre d’une mission d’étude Polar stern dont on peut revoir l’histoire dans ce document en lien, on voit, 2 chercheurs installer un appareil de mesure d’épaisseur des glaces. En avouant que les mesures satellitaires effectuées jusqu’ici, avaient surestimée cette épaisseur.

     https://www.france.tv/france-5/science-grand-format/2874157-expedition-arctique-au-coeur-du-rechauffement-climatique.html

    Avancez curseur à 00.41 50…..« Les satellites ont surestimé l’épaisseur de la glace »

    D’autre part les océans ne sont pas des piscines rectangulaires à paroi fixes. La lithosphère au fond des océans est en perpétuel mouvement tectonique, sans compter les, phénomènes volcaniques sous-marins, à ce jour seuls 5% des fonds marins ont été explorés.

    90 % du volcanisme terrestre est sous-marin, et on n’en sait pas lourd, comparer aux connaissances nécessaires.

    Exemple récent ; Depuis mai 2018, l’île de Mayotte, qui fait partie de l’archipel des Comores dans l’océan Indien, est le théâtre d’un événement magmatique de grande ampleur

    https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/volcan-immense-volcan-sous-marin-train-former-mayotte-79074/#x

    Fin 2021, le volcan sous-marin Hunga Tonga-Hunga Ha’apai est entré en éruption, créant une nouvelle île qui a fait irruption de manière subaérienne le 15 janvier 2022, envoyant un panache à 58 km d’altitude pénétrant dans la mésosphère

    https://www.climato-realistes.fr/leruption-volcanique-de-tonga-et-les-precipitations-record-dans-lest-de-laustralie-et-de-la-nouvelle-zelande/

     

    On voit bien que tout n’est pas clair dans ce domaine comme dans tout ce qui touche à l’évolution climatique, on est loin de tout maitriser. Les critères pris en compte par les experts Giec et des ONG parano climatiques sont tous plus ou moins orientés, pour alarmer les citoyens depuis des années et les culpabiliser.



  • charly10 16 mai 17:52

    Tondelier c’est qui ? Une représentante d’un parti parano, EELV qui n’accepte pas la contradiction comme d’ailleurs une bonne part des bienpensants de la mouvance gauche. Tous ces gens qui n’ont pas compris que vouloir envahir les médias de leurs propos haineux, va à l’encontre des buts recherchés. C’est ailleurs ce comportement du déni de la réalité qui a tué la gauche sociale libérale ; gauche qui n’a jamais compris qu’on pouvait avoir d’autre vision que la sienne, sans être pour autant partisan de l’extrême droite. Ces gens-là ne connaissent les médias que par le prisme de France inter, ou France télé qui ne sont plus depuis longtemps des chaines pluralistes. Chaque média sa ligne éditoriale et avant de critiquer il serait bon qu’ils prennent le temps de regarder les différents débats sur la chaine incriminée, pour juger… Ce qu’ils ne font pas en général. Un canal unique d’info n’est pas un signe d’ouverture d’esprit. Moi je ne suis abonné à aucune chaine, je balaye en fonction des sujets de discussion car c’est la seule façon d’avoir une vision globale, tout en gardant en mémoire que l’info diffusée par tous ces médias peut être facilement manipulée.  



  • charly10 4 mai 09:04

    @gruni

    Moi aussi je ne peux que constater que le climat évolue vers le plus chaud .Tout au moins sous nos latitudes. Mais ne voir le réchauffement que par le biais du CO2 fossile, est excessivement sélectif et ne reflète certainement pas la réalité.

    De même la thèse de l’effet de serre radiatif, fer de lance du Giec ne peut être vérifiée dans la réalité. C’est un postulat, et je ne conçois pas que des politiques de lutte climatiques soient imposées, sur des hypothèses non vérifiables. Et en admettant cette hypothèse de l’effet de serre radiatif, la communauté  scientifique sait très bien que ce sont essentiellement les océans qui pilotent le climat via interaction avec le soleil, et les points chauds lithosphériques au fond des mers.

    En se réchauffant les zones inter et subtropicales océaniques relargue du CO2 en quantité bien supérieure aux rejets anthropiques.

    En réalité 6% seulement du CO2 de l’air provient de combustibles fossiles, et 94% vient des dégazages naturels des sols et des océans.

    Comme l’explique très bien Camille Veyres, dans son analyse critique des travaux Giec « Le dioxyde de carbone présent dans l’air est une conséquence des températures passées, il ne peut pas être la cause des températures actuelles »

    Revoir ce lien un peu technique mais assimilable par un esprit logique https://youtu.be/PFk34YrmUBQ

    Toutes ces études doivent être développées, MAIS risquent d’infirmer la doxa actuelle. Conséquences on n’insiste pas et on ne « favorise » pas les recherches dans ce sens.

    Masquer et biaiser l’info climatique, voilà ce que je reproche aux médias, aux associations militantes et aux politiques.

    Et comme me disait mon prof de météo un certain Mr Thiber, au début des années 80, « en science il faut toujours remettre en question les évidences ».

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