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Didier Barthès

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  • Premier article le 16/04/2010
  • Modérateur depuis le 10/09/2010
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Derniers commentaires



  • Didier Barthès 9 avril 2016 17:25

    La question écologique est la plus importantes de toutes. Sur une planète détruite plus aucun autre problème n’aura la moindre importance

    Antoine Waechter est de plus l’un des très rares écologistes à avoir conscience du plus grave de tous les facteurs de destruction environnementale : à savoir la surpopulation, bien rares sont ceux qui ont le courage d’en parler.

    Pour cette raison je pense sa candidature très intéressante. Il se trouve que par sa formation, il connaît aussi très bien les sujets ayant trait aux équilibres naturels. C’est probablement l’un des plus honnêtes et des plus convaincus.



  • Didier Barthès 26 mars 2016 13:17

    Enfin un article courageux sur le sujet et qui ne se contente pas des propos« bien pensants » que l’on peut lire habituellement. Merci pour votre lucidité.



  • Didier Barthès 10 mars 2016 12:03

    @César Castique

    En effet, vous avez raison, c’est une voie sans doute assez sage.



  • Didier Barthès 16 décembre 2015 14:58

    Puisque les négociateurs de la COP 21 ont oublié de parler du problème principal : la surpopulation, suggérons aux négociateurs de la COP 22 d’en faire un élément essentiel de cette future réunion.

    Je suis très surpris par l’argument repris ici par Croa, en effet il semble dire que puisque nous n’obtiendrons pas rapidement de résultats en matière de démographie c’est sur autre chose qu’il faut faire porter en premier les efforts. Bien au contraire, c’est quand un problème présente de l’inertie qu’il faut agir le plus vite possible. La preuve en est que si on avait pu agir dés les années 1950 nous n’en serions pas là aujourd’hui. Et surtout, quoi que nous puissions faire sur les autres sujets, nous échouerons si nous sommes trop nombreux.

    N’oublions pas non plus que beaucoup de gens pauvres sur Terre ne rêvent que de consommer plus, peut-on le leur refuser ? Il n’y a qu’une façon de satisfaire ce besoin : être moins nombreux et affecter l’essentiel de l’aide au développement à la planification familiale.

    Quant à la question du bonheur, je renvoie à l’ouvrage coordonné par Michel Sourrouille : « Moins nombreux plus heureux », qui montre combien cette question de nos effectifs est au cœur de la problématique écologique et même sociale.

    Bravo enfin à Monsieur Daniel Martin pour cet article très complet.



  • Didier Barthès 6 décembre 2015 14:59

    C’est le grand problème écologique de notre temps et c’est aussi l’impasse dans laquelle semble s’engouffrer la majorité des militants écologistes aujourd’hui. La COP 21 n’en parlera pas. Or, la question du nombre des hommes sur une Terre aux dimensions finies est la question principale. Quel que soit notre mode d’organisation, il sera impossible de faire vivre durablement plusieurs milliards d’individus (prédateurs en plus) en même temps que le reste du monde vivant.

    Récemment encore, lors d’une conférence à Bordeaux Paul Watson déplorait (en accord d’ailleurs avec l’association Démographie Responsable) que la démographie qui était à l’ordre du jour des principales réunions consacrées à la protection de la nature il y a 40 ans ne l’était plus du tout aujourd’hui. Or, dans le même temps le nombre des hommes a été multiplié par deux et le nombre des animaux divisé par deux.

    Comment continuer à fermer les yeux sur cette évolution mortifère ? Comment nier la réalité incontournable de la finitude de la planète ? Comment lutter contre ce dévoiement de l’humanisme qui consiste à le réduire à « plus d’hommes c’est toujours mieux » ? 

    Quand par notre seule présence nous aurons tout détruit, quel regard porterons nous sur le monde ? Quelle excuse nous restera-t-il ? Quelle morale pourrons-nous invoquer ?

    Aujourd’hui la seule voie de l’humanisme est celle de la modestie démographique.

    La démographie n’est pas la seule question qui se pose, mais elle est le point sur lequel un échec réduirait à néant les succès en n’importe quel autre domaine, c’est en cela qu’elle constitue la question centrale, c’est en cela que la négligence des mouvements écologistes est absolument impardonnable. 

    Nous sommes aujourd’hui 50 fois plus nombreux qu’à l’époque où dans la Genèse ont été écrits les fameux propos nous invitant à croître et à multiplier, et nous agissons malheureusement avec une morale bâtie dans un monde tout autre, qui ne comportait pas 2 % de la population actuelle. Si l’on définit l’intelligence comme la capacité d’adaptation alors, la définition est sans appel pour l’espèce humaine dans son ensemble dont le sort pourrait bien être celui qu’elle a globalement mérité.

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