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Dudule

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  • Dudule 7 février 2008 00:14

    "Par ailleurs, le film fait partie d’une trilogie : 1. Les aventures du Baron de Mucnhausen, 2. Brazil, 3. Time Bandits"

    Juste, mais il me semble qu’il faut inverser l’ordre des films cités pour avoir l’ordre chronologique de leur réalisation.

    Le Baron de Münchausen est aussi une pure merveille, quoi que pas très bien accueilli par le public et la critique (pas très bien accueilli, mais pas trop conspué non plus, il est vrai... disons pas du tout reconnu à sa juste valeur, à mon très humble avis).



  • Dudule 6 février 2008 23:52

    C’est marrant, lorsque j’étais en terminale, il y a un peu plus de 20 ans, un type à essayer de me faire monter dans un avion. On utilisait cette analogie à l’époque : on entre dans un avion, on paye (200 balles ! Une fortune pour un lycéen à l’époque) le voyage au pilote, puis à son tour on cherche à "monter" un avion... pour faire court.

    Et bien sûr, le gars en question a trouvé suffisamment de pigeons pour se faire des couilles en or. J’ignore combien il en avait trouvé, ceux-ci ne s’en étant pas ventés. Je sais qu’un de mes camarades qui a fait parti du second cercle a aussi fait pas mal d’argent.

    J’avais refuser : j’étais en terminale C, et sans raisonnement compliqué, il était mathématiquement évident pour moi que ce système générait plus de perdants que de gagnants : la suite de ne pouvait pas diverger, à moins que la population du lycée (et donc, conséquemment, son argent de poche total) soit infinie. Le pire, c’est que le gars en question essayait vraiment de nous persuader (moi et d’autres, très sceptiques, en bon savoyards) que si tout le monde montait dans l’avion, tout le monde gagnait... une sorte de génération spontanée de pognon, une corne d’abondance en plein milieu de la cours de récrée, que personne n’avait vu à part lui ! Mieux, le gars nous reprochait notre incivisme, qui empêchait l’enrichissement de tout le monde !

    De toute façon, j’avais des principes, et je trouvais tout ça moralement condamnable.

    J’avais beau lui expliquer que, au mieux, si tout le monde jouait, au mieux, personne ne gagnait rien du tout, puisqu’il n’ y avait pas de création de pognon dans son système, rien à faire : le gars me soutenait mordicus que, de toute façon, on avait qu’à recruter des gens hors du lycée (ce qui fut fait par certains, j’ignore où tout ça s’est arrêté), ce qui ne faisait, à terme, que déplacer le problème et augmenter le nombre de perdants futurs (sans raisonnement compliqués, c’était très clair pour moi).

    Je n’ai jamais su si le type était sincère et un peu con, ou un bon bonimenteur (et tenace avec ça : il m’a bien tanné pendant un bon mois !).

    Ce qui est marrant, c’est que mon lycée était tout près de la frontière Suisse : c’est peut-être bien de là bas que vient cette idée lucrative (pour certains)... en tout cas, ça ne date pas d’hier, même s’il semble que ce soit devenu très à la mode, et qu’on n’y manipule des sommes beaucoup plus considérables.

    Peut-être ai-je assisté à la genèse de l’arnaque ? Allez savoir...



  • Dudule 6 février 2008 23:06

    Exactement la réflexion que je me suis faite : ces fameux cercles de l’enfer ressemblent furieusement à la bourse.

    La flambée des cours de bourse n’est qu’inflationniste : elle mesure les rentrées et sorties d’argent des "investisseurs".

    L’argent entre dans le système, la bourse monte, l’argent en sort, la bourse baisse. Ça ne crée rien du tout. C’est l’argent des entrants qui enrichis ceux qui ont déjà investis. Tout pareil que les "cercles de dons".

    Nulle doute que les "gros" sont déjà sortis (ou vont sortir) de la martingale (avec plus ou moins de dommages). Seuls restent les pigeons.

    Comme disent les "traders" : "Petits actionnaires = Gros cons", et il savent de quoi ils parlent. Demandez aux salariés d’Enron. On leur dit "tant que vous ne vendez pas, vous n’avez rien perdu", les cons ne vendent pas et même suivent des conseils débiles pour acheter profitant des cours bas(normal, tout se casse la gueule), ralentissemant l’effondrement, pendant que les gros vendent en loucedé et achète des devises fortes (Ah !, l’euro ! Merci Mr Trichet...) ou de l’or, enfin des trucs tangibles, pas des bits dans des ordinateurs...

    Vraiment, l’analogie me semble terriblement appropriée. Il va y avoir beaucoup de perdants (et n’en doutons pas, quelques gagnants), des pleurs, et des grincements de dents, le système ayant atteind sa limite.



  • Dudule 29 janvier 2008 00:19

    Je ne voudrais pas jouer les rabats joie, mais Coppens souffre d’une réputation calamiteuse chez les tâcherons de la recherche.... Un peu "à la Allègre", adulé par la presse et le grand public, et considéré comme une personne peu recommandable est très incompétante par ses paires moins médiatisés (il semble que ce soit en train de changer pour Allègre, qui commence à être considérer pour ce qu’il est par à peu près tout le monde...).

    Donc, Coppens suivrait plusieurs dizaines de thésard à la fois, s’approprierait sans vergogne les résultats de ses esclaves modernes que sont ses doctorants et post-doctorants, etc... Bref, un mandarin classique comme il y en a des tas d’autres.

    Enfin, c’est l’opinion que j’ai entendue de la bouche d’un post-doc aigri... Elle vaut ce qu’elle vaut : on ne peut pas avoir que des amis, et l’homme a l’air très sympathique, contrairement à Allègre auquel je l’ai peut-être injustement comparé. De plus c’est un orateur et un "vulgarisateur" passionnant.



  • Dudule 27 janvier 2008 04:39

    C’est simple, le Canard ne dépend que de ses ventes et de rien d’autre.

    Donc, il est indépendant et crédible. La crédibilité est ce qui manque de plus en plus à la presse quotidienne.

    Je n’achète plus ni le Monde ni Libé, depuis une dizaine d’années, alors que je les achetais très souvent précédemment... Mais ils sont devenus tellement convenus, prévisibles, sans aucune originalité, s’érigeant en défenseur de l’odre établit au non d’une morale qu’ils baffouent tout les jours, tout en se prétendant de gauche !

    Bref, illisibles ! Et ça n’a rien à voir avec les syndicats...

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