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Fergus

Fergus

Autodidacte retraité au terme d'une carrière qui m'a vu exercer des métiers très différents allant d'informaticien à responsable de formation, je vis à Dinan (Côtes d'Armor). Depuis toujours, je suis un observateur (et de temps à autre un modeste acteur) de la vie politique et sociale de mon pays. Je n'ai toutefois jamais appartenu à une quelconque chapelle politique ou syndicale, préférant le rôle d'électron libre. Ancien membre d'Amnesty International. Sur le plan sportif, j'ai encadré durant de longues années des jeunes footballeurs en région parisienne. Grand amateur de randonnée pédestre, et occasionnellement de ski (fond et alpin), j'ai également pratiqué le football durant... 32 ans au poste de gardien de but. J'aime la lecture et j'écoute chaque jour au moins une heure de musique, avec une prédilection pour le classique. Peintre amateur occasionnel, j'ai moi-même réalisé mon avatar.

Tableau de bord

  • Premier article le 31/07/2008
  • Modérateur depuis le 22/11/2008
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1 mois 5 301 523
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Fergus Fergus 26 avril 09:43

    Bonjour, hommelibre

    Athènes est effectivement très pauvre en espaces verts, ce qui est une calamité pour les habitants.

    (Bien sue ce soit très anecdotique, même l’Acropole est dépourvu d’arbustes qui, pourtant, pourraient rendre ce site par trop minéral plus plaisant et plus attractif. Et cela sans grands besoins en eau, nombre d’arbustes étant très frugaux en la matière.)

    Et effectivement, Berne est remarquablement dotée en espaces verts. Ce qui donne un plus évident à cette ville qui est, en outre, l’une des plus séduisantes capitales d’Europe.

    Mais Oslo est encore mieux dotée : les espaces verts naturels y sont imbriqués dans les espaces urbanisés de manière extraordinaire au point que l’on peut dire que la boutade d’Alphonse Allais « Il faudrait construire les villes à la campagne » a été très largement réalisée. Avec un plus appréciable : le fjord et ses îles verdoyantes aux maisons colorées.



  • Fergus Fergus 26 avril 09:04

    Bonjour, Montdragon

    Eh oui, c’est l’illustration de cette évidence souvent mal comprise : plus l’on vieillit, et plus notre espérance de vie augmente.



  • Fergus Fergus 25 avril 15:26

    Bonjour, zygzornifle

    Impossible ! Même si trop d’individus, et même de peuples, souffrent  hélas ! —, il y a trop de sources de plaisir et de bien-être sur cette Terre pour qu’elle puisse être considérée comme un « enfer ».



  • Fergus Fergus 25 avril 15:23

    Bonjour, Khadija Moussayer

    Toutes mes félicitations pour la qualité de vos articles.



  • Fergus Fergus 25 avril 15:21

    Bonjour, La Bête du Gévaudan

    « L’hygiène et la nourriture ont permis de passer l’espérance mondiale de vie de 25 à 75 ans en moins de 200 ans »
    Je suis très largement d’accord avec vous sur ces deux points.
    A propos d’alimentation, on parle beaucoup de « malbouffe », mais si cette « malbouffe » débouche sur des problèmes (bien réels) de diabète, de cholestérol ou d’hypertension, il ne faut pas oublier que quelques décennies en arrière, on ne se nourrissait pas mieux, notamment en termes de variété des produits, et l’on avait trop souvent affaire à des cas de listériose, de salmonellose, et même de botulisme.
    La nourriture a perdu du goût, mais globalement gagné en sûreté !

    « Beaucoup de « nouvelles maladies » (handicap, génétique, vieillesse, cancers, etc.) apparaissent aujourd’hui »
    Très souvent, les « nouvelles maladies » n’en sont pas : elles deviennent plus visibles du fait de l’allongement significatif de la durée de vie. C’est notamment le cas des maladies neuro-dégénératives qui préexistaient mais n’atteignaient durablement qu’une proportion relativement réduite de personnes âgées. C’est notamment le cas d’Alzheimer et des pathologies associées dont, de nos jours, on peut mesurer les effets durant de longues années alors qu’autrefois ces formes de démence, que l’on qualifiait de « gâtisme », n’affectaient le plus souvent les vieillards que dans les derniers mois de leur existence.

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