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Frédéric Alexandroff

Frédéric Alexandroff

Juriste de formation, écrivain non reconnu (et sans doute non reconnaissable), je suis, pour reprendre les superbes mots que Henri Verneuil met dans la bouche de Jean Gabin dans son film Le Président,« un mélange d’anarchiste et de conservateur... dans des proportions qui restent à déterminer. » Passionné de politique, et accessoirement de littérature fantastique, histoire d’oublier la grisaille et la médiocrité de notre misérable époque, je pense aussi qu’avant l’argent, Dieu ou le sexe, ce sont les mots qui gouvernent le monde. Aussi bien tenterais-je toujours de trouver les mots justes.
 

Tableau de bord

  • Premier article le 04/04/2007
  • Modérateur depuis le 26/10/2007
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Frédéric Alexandroff Frédéric Alexandroff 16 avril 2010 10:20

    « Au fait, il parle de quoi ce nartic ? »

    Personnellement je trouve la question de Léon plutôt pertinente. Je ne vois pas bien quelle est la problématique de l’article. La malhonnêteté et l’incompétence de l’administration Bush -établies de longue date- appliquées au cas particulier de ce monsieur Zubaydah, constitueraient en soi une nouvelle preuve que le 11 septembre (attention, préparez vos stylos rouges) :

    1- il n’y avait pas d’avions ;
    2- a été tourné à Hollywood ;
    3- était un coup des services secrets islandais ;

    Attendons la suite, nous comprendrons peut-être...



  • Frédéric Alexandroff Frédéric Alexandroff 15 avril 2010 11:01

    Merci à l’auteur pour cet article qui cherche à faire réfléchir là où la majorité ne sait que réagir.

    De fait, il est plutôt décevant qu’un homme tel que Luc Ferry (prétendument un philosophe et, ipso facto, quelqu’un dont le c’est le rôle même de prendre de la distance) vienne se joindre au concert mal orchestré des piaillements sur la « barbarie » et autres termes rendus abscons à force d’exploitation médiatique. Or un mot qui n’a plus de sens, privé de définitions, n’est plus qu’un son dépourvu d’utilité. Et c’est la triste réalité de nos univers politique et médiatique : seul le bruit compte.

    Et il est bon aussi de pointer du doigt la tendance inverse, qui voudrait excuser l’acte par des schémas de pensée victimaires, pour ne pas dire hugoliens. La pauvreté et l’exclusion, si elles peuvent contribuer à l’explication, ne sauraient être les sources uniques du mal. L’auteur cite avec raison l’impunité : ainsi dans le cas des « barbares » de Grenoble, on a peu entendu dans les médias que l’agression n’avait fait que clôturer une journée émaillée d’un vol de mini-moto, de faits d’ivresse sur la voie publique et d’une bagarre au sein même de la bande. Autant de faits qui auraient pu, et bien sûr également auraient dû, conduire à une réaction bien plus précoce de la police.



  • Frédéric Alexandroff Frédéric Alexandroff 15 avril 2010 10:48

    Article concis et intéressant en ce qu’il donne des outils pour démonter l’absurdité de la prétendue logique économique sarkozienne, dont l’axiome se résume, d’une manière ou d’une autre, à favoriser « ceux qui ont déjà », qu’il s’agisse de leur entreprise, d’un travail ou d’un toit sur la tête ; au détriment des autres, chômeurs jeunes ou moins jeunes et autres rebuts de la société néo-libérale.

    En cela, la loi TEPA demeure dans cette optique de dresser les Français les uns contre les autres, par la satisfaction d’intérêts partiels et le rejet de toute pensée globale : la culture du « Moi, je » rend inaudible la critique de la défiscalisation des heures supplémentaires par les salariés qui bénéficient de cette mesure. Là encore, l’immédiateté du gain l’emporte sur une réflexion à plus long terme, et il était fort utile que l’auteur rappelle cette vérité première que la salarié qui se croit gagnant dans un premier temps -puisqu’il voit ses revenus augmenter- sera finalement perdant car le calcul de sa retraite ne prendra pas en compte ces fameuses -et fumeuses- heures supplémentaires.

    Quant à l’interminable débat sur les 35 heures, il devrait conduire à se poser cette question toute simple, déjà évoquée par un certain nombre d’auteurs d’Agoravox : y a-t-il assez de travail pour tout le monde ? La réponse à cette interrogation, de mon point de vue nécessairement négative, rend obsolète la notion de « partage du travail », et induit une réflexion plus profonde sur les rapports entre « travail », « utilité sociale » et « revenus ». Le jour où ces concepts auront enfin été séparés, nous irons dans le bon sens.



  • Frédéric Alexandroff Frédéric Alexandroff 15 avril 2010 10:22

    Je plussoie jusqu’à usure des coussinets.



  • Frédéric Alexandroff Frédéric Alexandroff 13 avril 2010 09:30

    C’est amusant, je trouve...

    Après avoir vu ce commentaire, j’ai pris la peine de relire mon article et, ma foi, j’ai été fort surpris de ne pas avoir dépeint Mohammed bin Abdelwahhab comme un chic type, genre « curé de campagne musulman », ouvert, jovial, toujours à l’écoute de ses ouailles...

    Et non, cher monsieur, je ne suis pas « pro-Islam ». Ce camp-là, si vous prenez la peine de relire le paragraphe introductif qui a tant fait baver certains, en prend aussi pour son grade.

    « Sa série de »portraits« se présente comme un travail de rappel historique objectif et factuel. La multiplication des noms, des courants,des évènements vise à suggerer une diversité, une ouverture... »

    Faites-moi rire encore une fois et pondez un article qui invalide les faits évoqués dans les miens. Je dis bien les FAITS, non l’interprétation : on est tout à fait libre de ne pas être d’accord avec moi quand je dis que le Pacte de 1744 était l’alliance d’une ambition cupide et d’une idéologie extrémiste (mais il paraît que je suis pro-musulman).

    Oui, il y a dans l’Islam une diversité et une ouverture, qui sont les principales cibles des islamistes : avant même d’imposer leur Islam au non-musulmans, ils veulent d’abord regrouper les autres musulmans sous leur bannière... et se débarrasser de ceux qui y seraient rétifs. Leur arme est une méconnaissance de l’Islam, car un esprit faible et vide est malléable.

    « Ses positions sont clairement pro-islam et vont à l’encontre des sentiments d’un nombre croissant de citoyen qui prennent conscience de la dangerosité de cette religion. »

    La majorité des gens, puisque c’est elle que vous invoquez, ignore souvent tout de l’Islam, de son histoire et de sa diversité. Hum... que disais-je, plus haut, au sujet des esprits faibles et vides ?

    Je ne défends pas une religion : mon but n’est pas de dire « l’Islam, c’est bien », comme vous proclamez arbitrairement le contraire. Je ne suis pas non plus partisan d’un retour aux religions en général. Je suis pour la connaissance. Je suis pour une République de citoyens avertis, cultivés et capables de tenir une conversation de plus de dix secondes sans balancer des lieux communs entendus au bistrot du coin. Et tant pis si ça fait de moi un élitiste méprisant. J’assume.

    Bien cordialement,

    Frédéric Alexandroff

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