• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Frederic Stephan

Ingénieur dans les Industries Graphiques.
Chercheur de Vérité.

Tableau de bord

  • Premier article le 09/01/2008
  • Modérateur depuis le 21/11/2020
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 7 164 387
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 0 0 0
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique










Derniers commentaires



  • Frederic Stephan 21 janvier 2008 20:29

    Pour mieux comprendre le niveau des taux actuels, je vous conseille cette page

    http://www.empruntis.com/financement/actualites/index.php?id_actu=1061

     



  • Frederic Stephan 21 janvier 2008 18:31

    Au risque de vous contredire, actuellement le nouvel indice de référence des loyers (http://www.insee.fr/fr/indicateur/indice_loyer/indice_loyer.asp) est sur une pente de 2,5-3% par an, alors que l’ICC (http://www.insee.fr/fr/indicateur/indic_conj/indconj_frame.asp?ind_id=31) s’envole au delà des 5% par an, certainement à cause de la hausse des matières premières.

    Pour les locataires actuels, il est préférable que leur loyer soit sur une base lié à l’inflation générale plutôt que sur la construction uniquement, même si les salaires ne suivent pas toujours l’inflation.

    Le problème dans la location, c’est que certains propriétaires et agences immobilières profitent de la hausse du marché foncier pour augmenter fortement les loyers lors d’un changement de locataire.



  • Frederic Stephan 21 janvier 2008 17:44

    Effectivement les prix parisiens sont hors de raison et on ne peut que déconseiller l’achat aux prix actuels.

    Il est normal que l’absence de nouveau terrain constructible fasse penser que les prix du marché immobilier parisien ne vont pas baisser. Cependant les prix ont bien baissé sur Paris après 1991. Ci-joint un lien intéressant détaillant la bulle parisienne des années 90 (http://pagesperso-orange.fr/joseph.comby/bulle_paris.html). Dommage que la conclusion de l’auteur en 96-97 (On ne retrouvera donc pas de sitôt les valeurs records de 1990) ne se soit pas confirmé.

    J’espère que le prix de l’immobilier sur Paris sera un des débats principaux de la campagne des élections municipales entre les principaux acteurs de la scène politique parisienne.

    Sur le site foncier.org (http://www.adef.org/statistiques/graphactu.doc) la dernière mise à jour du Tunnel de Friggit confirme le tassement du marché en province, un début de tassement en Ile de France, mais toujours pas de tassement sur Paris. Paris étant la place immobilière ou la spéculation est la plus importante, beaucoup d’acteurs espèrent encore une montée des prix, mais oublient que peux nombreux sont ceux qui peuvent encore acheter.

    La balle est également dans le camp de Nicolas Sarkozy. Si la vente d’une partie du patrimoine immobilier de l’Etat a bien lieu, nous aurons alors confirmation qu’il souhaite vraiment permettre à tous les Français d’être propriétaires de leur logement.



  • Frederic Stephan 21 janvier 2008 15:31

    Attention de ne pas confondre bulle et crise.

    Le terme de bulle immobilière est principalement emprunté au terme de bulle financière sur le marché boursier. On parle de bulle immobilière lorsque la valeur des biens immobiliers augmente sans commune mesure avec les indicateurs économiques classiques et atteint ainsi des prix spéculatifs.

    Les Etats-Unis connaissent actuellement une crise de l’immobilier qui fait suite à leur propre bulle immobilière. Si on parle de crise aux Etats-Unis c’est que de nombreux acquéreurs doivent actuellement revendre leur logement suite à la très forte hausse de leur taux d’intérêts. Ils sont tellement nombreux que les prix chutes (offre >> demande). Pour les personnes qui n’ont pas acheté, cette crise est une aubaine mais pour l’économie du pays, ça ne l’est pas car l’endettement des ménages augmentent très fortement.

    Heureusement, la baisse des prix qui s’annonce en France, ne sera pas aussi dévastatrice qu’aux Etats-Unis, mais il y aura car même des familles très mal conseillées de prendre un taux variable (vu les niveaux des taux ces dernières années) qui vont se retrouver dans des situations trés délicates.

    Si la démographie peut, dans certains cas (Paris, grandes villes), expliquer pour partie la hausse des prix. Cet argument ne tient pas la route pour tous les villages de Province, où la place ne manque pas pour construire et où la démographie est sensiblement la même depuis 10 ans. Dans ces villages, le prix du m² constructible a augmenté de 300% en 5 ans, alors qu’il y a encore des centaines d’hectares disponibles autour de ceux-ci. Nous sommes bien dans un phénomène de spéculation entretenu par les acteurs économiques de l’immobilier.



  • Frederic Stephan 21 janvier 2008 14:16

    En effet, comme vous le signalez énergiquement, la situation est encore plus difficile à Paris qu’en province.

    Espérons pour le cas de Paris et sa banlieue, que la mise en vente d’une partie du patrimoine immobilier de l’Etat permette d’accélérer le retour à la normale du marché foncier.

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv