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koudou

Ingénieur en Génie Chimique, Docteur en Informatique, voyageur impénitent, photographe et vidéaste.

Parfois pris de frénésie rédactrice, avec un regard par le petit bout de la lorgnette.

Tableau de bord

  • Premier article le 10/01/2007
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Derniers commentaires



  • koudou 25 août 2008 13:26

    Le système actuel (IPV4) ne donne la possibilité que de 4 milliards (environ) d’adresses. Il n’a jamais permis de faire 1000 milliards.

    Le mécanisme du NAT (auquel internaute fait allusion) ne permet pas totalement l’adressage nécessaire, car il faut que toutes les sous-adresses appartiennent à la même adresse IPV4. On résoud éventuellement le problème de tous les ordinateurs d’une maison (à la rigueur d’un immeuble), mais on ne résoud pas celui de deux sites lointains qui sont obligés d’avoir deux IPV4 différentes.

    Les 14% sont une vue de l’esprit. En fait l’ICANN distribue par classes, c’est à dire groupes d’IP. Toutes les IP ne sont pas encore utilisées, mais toutes sont distribuées. C’est à dire que l’ICANN ne peut plus en donner aux chinois, sauf si un de ceux à qui une classe a été distribuée accepte de rendre une sous-classe de ce qu’il a reçu. C’est ce qui arrive couramment aujourd’hui, en particulier avec les associations et entreprises qui avaient reçu des classes A au tout début.

    L’IPV6 utilise 64 bits pour l’adressage d’un point. Les 64 autres bits sont réservés pour ce point afin de les redistribuer en local. On fit que les adresses IPV6 sont affectées en /64
    Actuellement, je suis personnellement totalement en IPV6, et tous les ordinateurs personnels (windows, PC, Linux) sortent actuellement compatibles IPV6.
    L’effort n’est donc plus si grand que cela, car les routeurs ont largement été modifiés. même s’ils tournent pour la plupart en mode compatible (mix IPV6 et IPV4, ils sont capables de faire de l’IPV6).

    En fait, la difficulté de l’IPV6 n’est absolument pas dans son implantation chez l’utilisateur (c’est pour ça que c’est fait), car la difficulté principale n’est pas celle de l’adressage, mais celle du routage..
    La carence des adresses IPV4 est un problème d’adressage : avec la connexion permanente, un ordinateur occupe constamment une IP. et donc il faut partir sur le raisonnement de un ordinateur = une adresse IP
    Le routage est une autre problématique qui est celle de savoir où envoyer un paquet quand il a une adresse IP, que ce soit une IPV4 et une IPV6.
    C’est assez curieux, mais en fait, rien n’empêche une adresse IPV6 de recevoir toutes ses informations qui ont transisté sur le réseau par des adresses IPV4. Par contre, ce qui est très embêtant, c’est que, progressivement, la taille des tables de routage devient énorme, ce qui va poser très rapidement des problèmes de performances. Le routage va donc probablement utiliser un double mécanisme pour tenir compte des appareils mobiles (où la table doit être chargée en entier dès le départ) et des appareils fixes où l’on va pouvoir faire un routage hiérarchique plus efficace (/32 puis /48, et enfin /64)



  • koudou 24 août 2008 18:40

    @olivier blond

    Je suppose que c’est une suite à la discussion en cours ?

    Si c’est le cas, votre réponse n’a rien à voir : moi je parle du bidonnage de la courbe de Callendar sur les mesures de CO2 dans les carottages de glace.

    Cela n’a rien à voir avec ni la théorie de l’influence de des activités humaines sur la production de CO2, ni sur l’influence du CO2 sur le réchauffement climatique, ni d’autres théories dans les articles dont vous fournissez les liens.

    Je dis et je répète que la sélection d’une série de points arrangeants dans un nuage de mesures est un fausse scientifique grave. Et cela ne signifie pas que la théorie soit fausse, mais simplement que la démonstration est fausse.

    ==========
    si votre dernière intervention n’a PAS pour sujet le fait que vous n’êtes pas d’accord avec le mot "bidonné", il aurait mieux valu ne pas mettre votre dernière intervention dans ce fil de la discussion, les articles que vous indiquer amenant d’autres points de vue sur un sujet pus englobant que lmon article.



  • koudou 24 août 2008 18:25

    @Léon

    Le problème de la définition du réchauffement, c’est de savoir réchauffement de quoi par rapport à quoi.

    Si on prend les dernières années, il y a réchauffement. Si on remonte plus loin (millénaires), il y a refroidissement.
    Et encore, la température actuelle st celle qu’on estime être à peu près celle qu’on avait autour du 12e siècle.



  • koudou 24 août 2008 18:21

    @jullien

    Il faut toujours faire attention aux chiffres, car ils sont parfois piègeurs ...

    Pour la remarque de "bon sens", oui, nous rejettons du CO2 de par nos activités. C’est indéniable. mais votre raisonnement ne tien pas compte que du CO2 est piégé. Et cela on en est certain, puisque l’augmentation de CO2 mesuré dans l’atmosphère n’est pas du tout proportionnel à l’augmentation du rejet de CO2, quelques soient les mesures (dont certaines contestées) que l’on prend.
    De plus, il y a d’autres sources d’émissions de CO2, et même de méthane du fait du réchauffement (permafrost) qui ne sont pas compatibilisés encore.
    Bref, de combien le CO2 anthropique est-il responsable parmi tous les CO2 ?
    Et de combien le CO2 est-il responsable parmi tous les GES

    Pour ce qui est de l’argument de l’eau, vous avez oublié de dire que le taux de production de vapeur d’eau est estimé à 12 millions de tonnes par seconde. Il est donc vrai que le temps de séjour est faible, mais le taux de renouvellement est gigantesque. En comparaison, le taux de production de CO2 anthropique est d’environ de 1600 tonnes par seconde.
    La vapeur d’eau est en faible quantité, mais son effet de serre (le pRG) est 8 fois plus important pour l’eau que pour le CO2. C’est à dire qu’une augmentation de 1% de l’eau en troposhère est de l’ordre d’une augmentation de 20% du CO2 (du fait que 70% de l’effet de serre est dû à l’eau et environ 25% au CO2)
    Mais le plus important, c’est que vous dites que le taux de la vapeur d’eau est stable, ce qui semble inexact d’après les mesures des ballons sondes de Boulder en tropopause et troposhère (comment se fait-il qu’il n’y ait d’ailleurs pas plus d’études sur le sujet) ?

    Enfin, vous dites que l’activité humaine na pas dinfluence sur le taux de l’eau, ce qui semble être contredit par les études scientifiques actuelles, en particulier avec l’eau vapeur rejettée par les avions en haute atmosphère (la tropopause varie entre 8 et 1km et les vaions volent en gros autour de 10km). Le GIEC dit siplement qu’il ne tient pas comte de la vapeur d’eau produite par les avions (ce qui a un effet négatif du l’effet de serre) sauf pour les effets de trainées gazeuses (qui diminue l’effet de serre par albédo).

    En passant, c’est un nouveau sujet de réflexion, l’activité humaine est particulièrment mise en cause par le GIEC, mais pas l’activité aérienne qui risque d’avoir un effet terrible (sans que ce ne soit prouvé actuellement, ni dans un sens ni dans l’autre), chose que l’on retrouve dans un des premiers effets de rapport du GIEC (le protocole de Kyoto) danslequel le CO2 des avions n’est pas pris en compte dans les quotas limitant les rejets de CO2 des pays ...




  • koudou 24 août 2008 17:42

    @carnac

    Votre intervention liasse croire que les aides sont très positives (sauf l’aide pour la création d’entreprise aux salariés chômeurs qui est un autre mécanisme). Pour ma part, je ne le pense pas, tout au moins sous la forme actuelle.

    1. Une grande partie des aides distribuées coûtent largement plus cher à l’état en vérifications et suivis que l’argent distribué. Dans de très nombreux cas, les aides feraient mieux d’être supprimées, ce qui permetrrait ) l’état de trouver directement de l’argent plutôt que de rechercher une nouvelle taxe à nous coller pour trouver de l’argent pour les budget nécessaires au pays.

    2. Demander une aide pour une TPE est un travail très important très consommateur de temps. La plupart du temps, on se rend compte après coup que le temps consacré pour obtenir une aide aurait été plus efficace en temps commercial.

    Un haut fonctionnaire de mes amis avait l’habitude dire : "Quand une entreprise me demande une aide financière, je lui demande si cette aide est vitale pour eux. Et en cas de réponse positive, je ne la leur accorde surtout pas". Je trouve ça horrible, mais en pratique, il s’avère qu’il avait raison dans la très grosse majorité des cas.

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