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Musicos95

Musicos95

Je suis né à Tours en 1947. Je suis marié depuis 1970, j'ai trois enfants et sept petits-enfants. Je suis à la retraite depuis une bonne décennie après une carrière à EDF puis à GDF où ma spécialité était les télécommunications. Mes activités préférées sont la musique, la photo, l'informatique et les balades à pied ou à vélo pendant lesquelles je fais mes photos que je publie sur ma page "photographe" Facebook : "Île de France & Picardie". Je commente mes albums au gré de mon humeur et des sentiments éprouvés lors de mes reportages. Je rédige des critiques sur les opéras auxquels j'assiste à Strasbourg ou à Mulhouse, étant un passionné d'opéra et de musique vocale. Ma fille cadette et son compagnon sont violonistes à l'orchestre de Mulhouse qui assure en alternance avec l'orchestre de Strasbourg les prestations pour l'Opéra du Rhin qui produit des spectacles pour les villes alsaciennes de Strasbourg, Colmar et Mulhouse. J'ai un autre gendre tromboniste à l'Orchestre de Paris qui me propose parfois des billets de faveur à la Philharmonie, cette superbe salle parisienne à l'acoustique fantastique. J'aime beaucoup écrire : je termine mes mémoires pour lesquelles j'ai noirci plus de six cents pages. Je pratique toutes ces activités avec la même passion, elles occupent bien mes loisirs. J'aime beaucoup les chats, j'en ai deux, le frère et la sœur qui s'entendent à merveille. Je suis clarinettiste depuis l'âge de 8 ans, j'ai étudié la musique pendant dix ans au conservatoire de Tours. Ma tasse de thé musicale est la musique de chambre où chacun peut s'entendre en écoutant ses partenaires, dans un style de musique que j'affectionne particulièrement, le classique. Mes opinions politiques sont à gauche depuis toujours. Je rédige parfois des pamphlets sur la vie politique de notre pays en réaction à quelques évènements de l'actualité. J'aime aussi rédiger des textes sur des faits de l'Histoire de France.

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  • Premier article le 14/05/2018
  • Modérateur depuis le 05/06/2018
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Derniers commentaires



  • Musicos95 Musicos95 3 janvier 2019 14:43

    Très bon article bien documenté et de présentation agréable. Bravo !

    Je suis un musicien à la retraite et je passe mon temps à relire les biographies des musiciens du moyen-âge jusqu’à la musique contemporaine (que je n’apprécie guère) en parcourant toutes les époques : baroque, romantique, post-romantique, XXème siècle. Après Glinka et Tchaïkovsky, j’étudie actuellement la musique russe pour laquelle le groupe des cinq a bien œuvré et votre article a bien éclairé ma lanterne. Merci.



  • Musicos95 Musicos95 16 mai 2018 01:26

    @Eric F

    Vous avez fait votre commentaire en lisant mon texte par le côté droit de la lorgnette, certes Charles de Gaulle a été appelé par René Coty en dernier recours, lequel l’a nommé président du Conseil (le dernier de la IVème République). De Gaulle a obtenu l’investiture au parlement lui permettant de mettre en œuvre ses ambitions. Vous semblez oublier que c’est sous la menace d’une intervention des parachutistes du Général Miquel qui dirigeait l’opération « Résurrection » (dont de Gaulle tirait les ficelles depuis Colombey) prévoyant dans sa phase finale des parachutages à Villacoublay qui seraient suivis de la prise du ministère de la Défense et de l’arrestation des détenteurs de l’autorité : le Président du Conseil Pierre Pflimlin, le ministre de l’Intérieur Jules Moch, de même que les personnalités clés, François Mitterrand et Pierre Mendès France. Des unités stationnées en région parisienne, favorables au coup de force devaient prendre le contrôle de la capitale.En cas de riposte du Parti communiste français, ses dirigeants Jacques Duclos et Maurice Thorez devaient également être faits prisonniers. Souvenez-vous de la réplique de de Gaulle au président de l’Assemblée nationale, le  socialiste André Le Troquer : « eh bien si le Gouvernement vous suit, je n’aurai pas autre chose à faire que vous laissez vous expliquer avec les parachutistes… ». Cela ne s’appelle pas prendre le pouvoir par la force  ? C’est pour cette raison que Christophe Nick nomme cet évènement "un coup d’État démocratique" car la légalité de l’élection du Général, fin politique, s’est faite sous la menace ! Devant la menace d’une prise du pouvoir par la force, le général de Gaulle, est nommé Président du Conseil, le 1er juin 1958, par le président René Coty. La seconde phase de l’opération Résurrection est annulée. L’Assemblée vote les pleins pouvoirs à De Gaulle pour une durée de six mois, il est chargé de rédiger une nouvelle Constitution. De Gaulle a tout bonnement fait un coup d’État qualifié de démocratique ou de velours. Que se serait-il passé si l’opération Résurrection s’était déroulée jusqu’à son terme  ? De Gaulle aurait probablement gardé un régime républicain en imposant sa constitution, il avait trop l’idée de la grandeur de la France pour instaurer un régime militaire qui aurait terni son image. Président investi de pouvoirs régaliens, de Gaulle avait atteint son but. Certes, le régime de la constitution de la quatrième République était détestable et incohérent par son instabilité politique. Fort du nouveau texte constitutionnel, de Gaulle en bon militaire décide de gouverner en monarque pour sortir la France de sa mauvaise santé politique causée par les désordres algériens et le régime instable précédent, la France était alors dans un marasme impossible.J’ai écrit que je comprenais les motivations de De Gaulle devant l’impuissance des gouvernements de la IV ème République face au conflit algérien : certes il était la personnalité charismatique du moment, il le savait et en a usé en appliquant ses thèses du discours de Bayeux de juin 1946 en mettant en place un pouvoir autoritaire qui dure encore de nos jours, bien longtemps après que le problème algérien ait trouvé sa solution pour lequel René Coty l’avait sollicité. Cette autocratie n’a plus sa raison d’être aujourd’hui, où bien des Français ont besoin d’une réelle démocratie. Nicolas Sarkozy a gouverné en « hyper-Président », les journalistes muselés de la Presse française n’osaient pas dire le mot de dictateur, Sarkozy a rapidement privatisé EDF et GDF que de Gaulle avait nationalisés en 1946 comme beaucoup d’entreprises de service public (quelques autres en punition de leur collaboration avec les nazis, tel Renault). De Gaulle doit se retourner dans sa tombe en voyant dans quelle anarchie spéculative les entreprises publiques sont tombées avec les privatisations restaurées par Sarkozy, ce grand menteur au nez de Pinocchio et aux dents rayant le parquet ! J’en suis outré, c’est loin de la pensée du Général qui avait une autre idée de la France. Si c’est cela que l’on appelle le progrès, je veux bien être Pape ! Aussitôt élu,Macron applique son programme ultralibéral en taxant les classes moyennes, les pauvres et les retraités pendant qu’il couvre d’or les riches."Le démantèlement de l’ISF et le plafonnement de la taxation des revenus du capital vont permettre aux cent premiers contribuables à l’ISF d’économiser en moyenne 582 380 euros. Plus d’un demi-million d’euros de cadeau fiscal ! Soit 42 années de Smic (1 153 euros nets mensuels), soit une vie complète de salarié ! A-t-on entendu les bruits d’une révolte ? A-t-on perçu des interrogations dans les rangs des députés La République en Marche, censés être de droite et de gauche, face à une telle machine inégalitaire ? Rien, silence. Macron a beau essayer de s’arracher le sparadrap « président des riches », ces choix budgétaires construisent une société d’inégalités toujours renforcées. Alors que rien ne permet de démontrer leur « efficacité » économique. Cette politique économique vient souligner jusqu’au vertige l’atonie politique du pays. Sur le champ de ruines d’une opposition désintégrée et d’une majorité godillot (tant elle est inexpérimentée), la « verticale du pouvoir » macronien est sans limites. Attention danger."(Médiapart Le 27 octobre 2017.)C’est profondément injuste et choquant. Il met en place un système antisocial voulu par le Medef. Son Assemblée de godillots est à sa botte, elle fera passer toutes les lois voulues par Macron qui est un homme machiavélique méprisant les pauvres et les classes moyennes. Macron est un second Bonaparte (j’exècre les deux Napoléon), il est intelligent, mais petit, donc probablement complexé et teigneux, aujourd’hui il gouverne en despote. C’est le règne de l’argent, du fric restitué par Macron aux plus nantis qu’ils placent dans les paradis fiscaux …Pouah !!! Quelle est cette société dans laquelle on vit ?!... Je hais tous les politiciens du Capital et les bourgeois nantis qui font cette société où l’Homme n’a plus sa place.

    Source https://blogs.mediapart.fr/…/il-y-bien-eu-un-coup-detat-le-…



  • Musicos95 Musicos95 15 mai 2018 11:22

    @Parrhesia
    Dans le paragraphe principal, je n’ai fait que décrire succinctement les faits historiques, je vous conseille la lecture du livre de Christophe Nick auquel je me suis référé  : « Résurrection, naissance de la Vème République, un coup d’État démocratique »  et l’ouvrage de Michel Winock : "L’agonie de la IVème République : 13 mai 1958". Cette réalité semble vous déranger, tout comme bien des gaullistes. Ma conclusion se référant à l’heure actuelle est mon opinion sur notre Président élu par défaut avec un taux d’abstention record ! Emmanuel Macron mène une  politique désastreuse en usant des dispositions régaliennes et antidémocratiques de la constitution pour gouverner la France en despote. Il suit en cela les consignes du MEDEF qui l’a porté au pouvoir en sabordant la campagne des dernières élections présidentielles pour appliquer une politique ultralibérale semblable à celle de Margaret Thatcher en Grande-Bretagne dans les années 1980. Le président favorise les très riches au détriment des classes moyennes et des retraités. C’est profondément injuste.


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